Nos idées lecture à dévorer avec une playlist, ou pas !
C'est tant de joie, ces trois premiers accords qui font résonner toute ma chambre, les phrasés qui s'envolent, les triolets qui glissent et qui m'emportent au-delà du jardin, la partition bordée d'un liseré vert, baroque. Dessus, on lit le nom de Wolfgang Amadeus Mozart. Wolfgang Amadeus Mozart. Ce nom-là, je le répète dans ma tête, ça ne fait plus qu'un seul et très long mot, dur à dire, pareil qu'Azay-le-Rideau. Volfgangamadéoussemozare, Volfgangamadéoussemozare. À neuf ans, Cécile découvre la musique de Mozart, et c'est une révélation. Certains enfants s'inventent des amis imaginaires, d'autres vouent un culte à des personnages de fiction. Pour la petite Cécile, le plus grand des héros s'appelle Mozart ! Elle l'aime sans partage et comme un dieu. Devenue journaliste, la passion de Cécile demeure intacte. Elle a désormais une connaissance intime de l'oeuvre de Mozart. Le jour où elle doit interviewer un chef d'orchestre de renom, elle ne sait pas que sa vie va basculer. Au bout du fil, la voix du maestro la trouble comme l'avait troublée et envoûtée la musique de Mozart des années auparavant... Mais tombe-t-on amoureuse d'une voix, fût-elle celle d'un grand maestro ?
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Voila un livre qui s’est imposé à moi : Maestro de Cécile Balavoine dont c’est le premier roman. Même le bandeau présentant une partie de la jeune fille de Klimt m’interpella. Je ne pus que l’acheter. Et j’ajouterai pour mon plus grand bonheur, tellement ce livre est atypique et passionnant. Dès les premières pages, on se retrouve embarqué par cette belle écriture.Maestro, le synopsis
Pourquoi fus-je immédiatement séduite par l’histoire ? Parce que j’ai un point commun avec l’héroïne complètement toquée de Mozart, depuis qu’elle a neuf ans. Certes, sa passion est beaucoup plus dévorante que la mienne. Cette fillette s’éprend de Mozart d’une façon totale, il devient son demi-dieu tandis que ses camarades sont folles de Dépêche Mode ou L’Affaire Luis Trio. Mozart devient un peu son ami-imaginaire. Elle veut tout connaitre de lui, tout apprendre. Elle fait des pèlerinages – on peut dire ça – à Salzbourg, en Italie sur les pas de Mozart. Elle est amoureuse d’un mort.Le roman commence avec un appel téléphonique à ce chef d’orchestre qui se fait appeler Maestro et qui va complètement chambouler sa vie et transcender sa passion de Mozart.Sa passion pour Mozart se trouve cristallisée dans cette voix. La voix de cet homme l’envoûte. Le choix du prénom n’est pas du au hasard : non, bien sûr. Cécile, c’est la patronne des musiciens et Caecilius veut dire « aveugle » et elle, elle tombe amoureuse passionnément d’un homme qu’elle ne voit pas !.
Non, il ne s’agit pas que d’un livre où les références à Mozart pullulent et masque l’histoire, les histoires. Il y en a, même beaucoup mais c’est diablement passionnant, si vivant et si bien écrit. Cécile Balavoine alterne les paragraphes, dédiés à cet amour naissant pour ce Maestro, avec des flash backs qui nous font découvrir sa dévotion pour Mozart que j’oserai qualifier d’amitié tant le virtuose est omnis présent et sa vie de femme et journaliste de quarante ans.
Il y a l’histoire de Cécile-enfant, de son histoire familiale et l’arrivée d’une sœur qui aide à comprendre la genèse de sa passion mozartienne.
Maestro, c’est aussi une très belle histoire d’amour, sensuelle et envoûtante. Ils sont trois avec Mozart.
Les moments de rencontres sont sublimes et voluptueusement décrits pour nous faire vibrer à la musique de leur amour.J’ai évidemment beaucoup aimé les liens extraordinaires avec Wolfgang Amadeus Mozart, si présent.
J’ai souri lorsqu’elle visite à 11 ans, la Mozarts Gebursthaus, elle touche une rambarde en espérant que la trace de sa main s’infiltrerait dans la sienne.. Un espérance que j’ai déjà nourri à diverses occasions et pas qu’avec Mozart.
Un autre élément porteur de plaisir : les voyages. Elle nous fait sans cesse sauter d’un avion à un autre pour NY, Prague, Salzbourg, Paris. On s’y croit.
Un roman qui donne envie de réécouter/écouter Mozart. Un roman sans aucune fausse note.. si ce n’est peut être la fin ? Un roman qui tourneboule que je vous conseille. Sans boule de cristal, je prédis un bel avenir à Cécile Balavoine.
https://www.plkdenoetique.com/maestro-de-cecile-balavoine/
Comment parler de ce très beau texte sans le dénaturer et faire pâlir sa source de lumière.
L’écriture de Cécile Balavoine m’a profondément touchée tant elle est lumineuse, juste et vibrante comme une mélodie. Il règne dans ce livre une atmosphère de douceur et de plénitude, il en émane un parfum de sensualité comme on respire une brassée de fleurs et met tous les sens en éveil.
J’écris ces mots dans une lumière feutrée pour m’imprégner encore plus de son ambiance mystique et pourtant si vivante. J’ai traversé les siècles à la rencontre de Mozart et j’ai appris énormément sur le grand compositeur tout en restant ancrée dans un présent bien réel par la force d’un amour puissant.
Par la voix de la narratrice, Cécile Balavoine raconte comment à l’âge de 9 ans, elle s’est passionnée pour le piano et la musique de Mozart. Une passion peu commune pour une enfant de cet âge. Une dévoration exclusive pour toute l’œuvre du compositeur et pour sa personne, c’est Lui l’élu de son cœur.
Sa passion de petite fille n’est pas une lubie et ne s’éteint pas mais grandit dans son corps de femme en même temps qu’elle veut tout connaître de la vie de Mozart . Adolescente, elle arpente seule les rues typiques de la ville médiévale de Salzbourg, ses étranges bâtisses jaunes et ses petites chapelles sacrées blotties au sommet des alpages. Elle revêt lors des concerts donnés en l’honneur de Mozart, la plus belle des robes , la Dirndl, la robe traditionnelle au tablier blanc si chère au cœur de Cécile.
Mais Cécile se rend compte aussi que cette passion atypique l’enferme dans un passé qui est mort et l’éloigne d’un présent où elle peine à prendre pleinement sa place, alors adulte elle s’envole pour New-York et devient journaliste.
C’est là-bas, dans la ville la plus moderne et bruyante qui soit, que le passé va la rattraper quand elle téléphone à un grand chef d’orchestre pour une interview. La voix de cet homme qu’elle ne connaît pas la bouleverse terriblement car en l’entendant, Cécile ressent au plus profond d’elle-même les mêmes vibrations intenses que celles qu’elle éprouve en écoutant Mozart.
Il y a l’angoisse de la première rencontre, l’attente, la découverte du corps de l’autre, les silences, les fugues, toutes ces sensations très intenses qui vont crescendo, le tout écrit avec un vocabulaire qui donne vie à tous les sens avec une extrême pudeur.
Il y aussi tout ce qui pèse sur les épaules et ralentit le cours de la vie, ces opposés et ces extrêmes entre passé et présent rythment l’évolution d’une relation amoureuse entre deux êtres réunis par Mozart sous la plume magnifique de beauté et de délicatesse de Cécile Balavoine.
C’est un immense coup de coeur !
Pour tenter de distraire leur fille de 9 ans, ses parents lui offrent un piano.
C’est grâce, ou à cause de cet instrument que Cécile fera la connaissance de celui qui envahira sa vie en la magnifiant à travers sa musique, Mozart.
Un film sur la vie du jeune prodige la bouleverse, il y aura la découverte du requiem, de tous les concertos et symphonies.
L’enfant grandit avec sa passion, son plus beau souvenir, un voyage à Salzbourg où elle visite la maison natale.
A son entrée en sixième, elle intègre un chœur d’enfants, la musique est partout, comme un second souffle indispensable à sa vie.
Plus tard vient l’émoi du premier concert dans une salle parisienne.
Lorsque Cécile devient journaliste, elle tombe amoureuse d’une voix entendue au téléphone, il s’agit d’un célèbre chef d’orchestre qu’elle doit interviewer.
La passion prend un autre visage à moins que ce ne soit que la continuité de son amour d’enfance.
C’est une bien belle partition que nous offre Cécile Balavoine, son écriture est élégante, toute en retenue et délicatesse.
« Le silence qui suit Mozart, c’est encore du Mozart », oui, je suis d’accord et à cela je rajouterai que le vide qui suit la lecture de ce très beau premier roman, est empreint de nostalgie, de magie, de plénitude qui m’a empli d’un extraordinaire bien-être.
Quand on vit l'aventure des 68 premières fois on découvre de nouveaux auteurs pour qui il s'agit du premier roman.
Le premier roman c'est comme la première impression lors d'une rencontre, ce sont souvent les premières minutes qui sont les plus décisives...dans un livre, la magie peut opérer dès les premières pages.
Avec Maestro, vous allez plonger dans l'univers musical de Cécile et (re)découvrir Mozart. Pour ma part, je connaissais très mal l'univers de Mozart et je suis ravie d'avoir pu l'associer à une belle lecture.
Cécile Balavoine nous emmène avec elle vivre un grand voyage intérieur. La jeune Cécile va découvrir Mozart quand d'autres enfants se fabriquent un univers totalement différent. A partir de ce jour, l'enfant voudra apprendre toujours plus sur son musicien adoré.
En grandissant, Cécile deviendra journaliste et mettre un peu de côté cette passion jusqu'au moment où l'interview d'un maestro fera basculer sa vie.
L'auteure transpose sur le papier ce qui se passe dans la tête de son héroïne. Et là, les sentiments prennent le pas sur l'aspect plus terre à terre du métier de Cécile. La maîtrise des mots pour exprimer ce que Cécile ressent fait que l'histoire devient plus originale, plus touchante.
C'est selon moi un très bon premier roman. Il est envoûtant et laisse passer un peu de folie dans ce qui pourrait au départ être une histoire d'amour sans rebondissements. Il y a beaucoup de subtilité, de pudeur dans l'écriture de Cécile Balavoine et je trouve que c'est ce qui permet d'être touché par l'histoire.
Et puis, lorsqu'on est enfant et qu'une passion nous percute, il est rare qu'elle disparaisse. Parfois on la laisse dans un coin pendant quelques temps mais souvent elle se renforce en grandissant jusqu'à devenir comme vitale.
Ce récit m'a beaucoup plu car on en ressort apaisé, passionné et ravi d'avoir un premier roman si abouti.
Comment vivre aujourd’hui quand déjà petite fille et adolescente, on n’aime que Mozart, en poster, en sonate, en requiem, à l’école ou en vacances, partout, tout le temps. Comment dire à ses parents qu’on veut aller à Salzbourg pour marcher dans les pas de cet artiste qui a tout compris de la musique alors qu’il n’était encore qu’un enfant. C’est difficile, on peut soit y parvenir, soit étouffer ces aspirations qui vous font vivre en marge du monde. C’est ce qui arrive à Cécile, passionnée par Mozart dès son plus jeune âge
Aujourd’hui journaliste, Cécile a une vie « normale ». Mais l’interview qu’elle réalise d’un Maestro, chef d’orchestre reconnu pour son immense talent bouleverse sa vie. Cette nouvelle approche de la musique lui remémore ces souvenirs d’enfance qu’elle avait oubliés. Quelques mots, une voix, l’amour l’emporte et la consume. Comme une réincarnation du maitre, un signal fort lui indiquant qu’il faut vivre ses passions. L’amour et la relation seront difficiles mais magiques avec ce musicien qui tombe également sous le charme.
Voilà une intrigue magnifiquement écrite par Cécile Balavoine, qui signe là un premier roman tout en finesse, mais aussi terriblement touchant et sincère.
Cécile,
Dès les premiers mots, dès l’introitus, je suis happée, conquise. Vous débutez par votre entretien téléphonique avec le Maestro
« Dans votre voix j’ai huit ans, Maestro…. Et je ne sais pas pourquoi. »
Aussitôt les souvenirs arrivent.
A neuf ans, sur le piano, que vos parents ont acheté pour combler le vide et votre ennui, vous « balbutiez une sonatine » et vous découvrez la joie, vous découvrez Volgangamadéoussemozare, vous entrez en Mozartie, novice en cet ordre musical.
Si jeune et déjà emplie de LUI, même pas peur du Requiem,
« Le calme déchirant des toutes premières mesures ne m’effraie pas. Ni les cordes et les cors en longues plaintes traversées soudainement par la violence des trombones. Je n’ai pas peur en écoutant la fugue sévère du Kyrie eleison ou bien les voix implorantes, donnne-leur, donne-leur le repos éternel. Sans doute parce que, comme tout enfant, sortant à peine de ce néant qui s’éloigne en se rapprochant toujours plus, je sais d’instinct que c’est de là que nous venons. Que c’est vers là que nous tendons. »
Si jeune est déjà si pénétrée par ces choses là
« Dans cette musique, je reconnais que la mort sera belle, et qu’elle sera vivante. »
Vos parents acceptent votre passion et la nourrisse de disques, de livres, de séjours à Salzbourg.
Pour rester dans votre passion, vous apprenez l’allemand à l’école et continuez vos études à Salzbourg, Sa ville tant honnie et aimée, où vous faites des pèlerinages. Partie aux Etats-Unis, vous rompez avec votre petit ami qui est plus jazz que Mozart.
Votre conversation téléphonique avec le grand chef d’orchestre va chambouler votre vie. Là, oh surprise, une osmose se créé entre vos deux voix, la magie opère et vous voilà sous le charme de sa voix. Une histoire d’amour à distance, pas facile de vous retrouver, empreinte du même respect envers Mozart. Une passion qui vous rapproche de Mozart
« Désormais, pour moi, c’était par vous qu’IL revivait. »
Je ne vous ai encore pas parlé de ce père que vous aimez et qui sait vous blesser. Souvenez-vous de l’arrivée de Lucie, votre petite sœur.
« Le souvenir qui me reste est que je rends papa malade. »
Ou cette phrase entendue « Cécile c’est l’ombre, la cécité. Lucie, c’est la lumière » Pas facile, à quinze ans, d’écouter cela « Il m’ouvre les yeux sur ma propre noirceur devant un homme que je ne connais même pas. Je suis l’obscurité. »
Pas facile cette vie autour et pour Mozart. Pas facile de dire aux copines de classe que vous avez un poster de Mozart dans votre chambre. Pas facile tous ces rendez-vous manqués avec SA musique. Pas facile d’être habitée par LUI. Pas facile de sentir, comme une évidence, le fait de connaitre, de reconnaître des lieux où IL a vécu. Pas facile de vivre sa foi, car Mozart est Dieu pour vous qui le portez au Pinacle. Maestro ne serait-il pas sa réincarnation ? Hou, ma chère Colette, tu blasphèmes ! Disons le passeur, le trait d’union entre vous et LUI. Les sentiments que vous vous portez au Maestro ont besoin de l’enveloppe charnelle, de la communion de vos deux corps, mais saurez-vous vous trouver ou vous retrouver dans cette évidente passion de « La juxtaposition du sensuel et du sacré » ?
« Vous prononcez des mots très beaux. Les mots ivresse, lumière et plénitude ».
Maestro a prononcé les mots qui peuvent dépeindre votre relation à Mozart.
Cécile Balavoine, merci pour ce livre très abouti et sensuel, à la fois limpide, fou, mystérieux, évident, amoureux, magique, tumultueux qui aboutit à l’ivresse.
Un coup de cœur
Dans ce premier roman, il est aussi question de l'enfance et de la famille et notamment des relations père-fille, de l'arrivée d'une petite sœur, de la place de chacun des enfants dans le cœur des parents (ou du moins celle que l'enfant croit occuper). Cécile Balavoine décrit avec justesse les événements, mots prononcés, joies et tourments de l'enfance, qui laissent une empreinte persistante jusqu'à l'âge adulte, et peuvent entraver l'existence.
Cécile, 9 ans découvre par hasard Wolfgang Amadeus et Mozart et là, une passion sans limites prend naissance et ne s’arrêtera jamais. Sa vie ne va tourner dorénavant qu'autour de cet artiste! Comme elle le dit, elle aime un mort. A l'aube de ses 40 ans, sa profession de journaliste, l'amène à interviewer l'un des plus grand chef d'orchestre par téléphone et elle ressent alors la même émotion qu'à neuf ans lors de son immersion dans la musique de Mozart. Bouleversée,remuée, elle décide de suivre et de faire confiance à ses émotions réveillant des souvenirs lointains de son enfance tout en laissant place à de futures belles choses... Le chef d'orchestre va être lui aussi remué ...Que vont ils faire??
Mozart est l'un de mes compositeurs/musiciens classiques préférés et un virtuose des accords, arpèges; Cécile Balavoine maîtrise sa dévotion pour ce Grand Homme avec une excellence à la hauteur de son idole. Elle nous emmène dans son monde entremêlé de notes/ références musicales . CE roman est un vrai bonheur à lire , j'ai adhéré littéralement à son style, à la poésie de ses mots, à ce rythme d'adahio et de sonates... Ecoutez Mozart en le lisant avec une part de Sachertorte.: le bonheur total!!!!!!!!
Alors qu’elle est âgée de 9 ans, Cécile découvre Mozart et c’est la révélation. Dès lors, elle n’aura de cesse de s’approprier la vie de ce compositeur, de collectionner les partitions et de les travailler au piano, piano offert par ses parents à la naissance de sa petite sœur. Elle poussera même ses parents à partir en vacances à Salzbourg sur les traces Mozart, où elle reviendra faire ses études afin d’être journaliste musicale.
En 6ème, elle est reçue à l’audition pour intégrer une chorale d’enfants, elle va ainsi s’éloigner de ses parents et se rapprocher encore de Mozart mais une pneumonie va changer la donne et elle retournera auprès de ses parents.
Grâce à son métier de journaliste musicale, elle va faire la connaissance d’un chef d’orchestre qui va raviver son amour pour Mozart. Ce chef d’orchestre qu’elle surnomme Maestro va devenir son amant, elle vivra avec lui une histoire d’amour intense.
Beau roman tout en musicalité qui porte tout d’abord sur l’amour d’un art et sur l’amour entre deux êtres sur fond de passion musicale. Très belle écriture qui nous transporte.
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