Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Dans une supérette de quartier, quelques clients font leurs courses, un jour comme tant d'autres. Parmi eux une jeune mère qui a laissé son fils de 3 ans seul à la maison devant un dessin animé, un couple adultère, une vieille dame et son aide familiale, un caissier qui attend de savoir s'il va être papa, une mère en conflit avec son adolescent... Des gens normaux, sans histoire, ou presque. Et puis un junkie qui, en manque, pousse la porte du magasin, armé et cagoulé pour voler quelques dizaines d'euros. Mais quand le braquage tourne mal, la vie de ces hommes et femmes sans histoire bascule dans l'horreur.
Dès lors, entre victimes et bourreaux, la frontière devient mince. Si mince...
" On pénètre dans un huis clos, mais on traverse un roman choral sur les tourments qui rongent les existences ordinaires de ces personnages. " Le Point " Une tension psychologique qui grimpe jusqu'à son paroxysme, c'est notre quotidien qui devient glaçant. " LiRE
Une intrigue percutante et travaillé, un huis clos ponctué d’espoir et de désespoir, de cynisme, d’humours, de regret, de culpabilité et de non dits. Un roman qui nous remue émotionnellement. Un livre qui nous marque malgré l’avoir refermé. Après avoir connaissance avec ses personnages que l’on aime ou l’on déteste, on découvre leur faille et leur faiblesse.
"Il était grand et solide, il avait cette épaisseur qui rend tout concret, les mots, les gestes, les intentions. Il était de ceux qui déplacent le monde dans leur sillage. Le corps d’aplomb, l’esprit en apesanteur. Aujourd’hui, Théo ne voit plus qu’un vieillard sinon chétif, du moins flétri, comme fané, tristement défraîchi. Les traits en ruine. L’organisme en jachère, l’âme en surpoids. A peine l’ombre de celui qu’il a été."
Comme toujours avec cette auteure, on est embarqué dans ce thriller psychologique ou tout un chacun peut à tout moment basculer de victime à bourreau.
Ce n'est pas le premier livre de l'auteure que je lis, mais celui-ci m'a surpris le thème était pourtant bien un homme qui braque une supérette, des clients comme vous et moi qui sont pris en otage et vu qu'une prise d'otage tourne rarement bien ...
Premier reproche, j'ai cru à un vrai vaudeville ensuite les personnages Jo le jeune junkie pour commencer, j'aurais aimé en savoir plus sur lui, le duo Aline et Théo, c'est du grand n'importe quoi et complètement rocambolesque (leurs choix, leurs parcours) les autres me sont passes un peu à côté avec leur histoire, je mets un plus pour la surprise due à Léa et surtout pour le personnage le plus drôle qui donna une fraicheur à ce bouquin : Germaine. On arrive à la fin et pas de happy end, une chute étrange ... Pour chaque personnage à moins qu'une suite soient en prévision ?
Je n’avais encore jamais lu un livre de cette auteure. Je n’ai pas été déçu. Ce fut un bon moment de lecture.
l'innocence des bourreaux » est dans l'ensemble un bon roman . Malgré que j'ai été déçue par la deuxième partie de ce roman J ai passé un bon moment de lecture. J'ai trouvé que le livre était intéressent et faisait ressentir pas mal d'émotions.
J'ai apprécié me retrouver au cœur de ce huis clos, voir les personne prises au piège, qui essaient de tout faire pour s'en sortir et pour survivre. C'était très intéressant. Cependant j'ai été déçue de toute la deuxième partie de ce livre qui pour moi est devenu beaucoup trop invraisemblable.
En bref je vous le recommande malgré les points negatifs. Comme par exemple le fait que j'ai trouvé les personnages que trop peu attachants malgré qu'ils soit bien travaillés. Mais aussi la tournure trop grosse et invraisemblable qu'a pris l'histoire. J'ai par contre apprécié la plume de l'auteur. Le début du roman était pourtant très prometteur. Dans l'ensemble ce fut quand même une bonne lecture et je vous conseille vous faire votre propre avis.
2 jours pour dévorer ce livre... je n'ai pas été déçue (ce qu'on redoute tous quand on a été transporté par les livres précédents).
on est dans un espace clos, des événements qui s'enchaînent, inexorablement, comme une chute de dominos... on ne peut rien y faire, juste subir.
c'est noir, c'est dur, mais tellement prenant.
et en plus, une fois qu'on a lu ce livre, on se trouve encore mieux parce que cela ne nous est pas arrivé.
Avec ce nouveau polar, Barbara Abel nous propose ce qu’elle sait faire le mieux : un polar psychologique ancré dans la vie quotidienne, en mettant en scène des gens ordinaires plongés dans une situation extraordinaire qui met au jour ce qu’il y a de plus laid au fond de chacun, tout en évitant au maximum les jugements de valeurs. Nous voilà dans une superette de quartier où surgit un toxicomane avec un révolver. Il y a une dizaine de personne dans la superette : un caissier qui aurait du être ailleurs, un couple adultère, une vieille dame acariâtre et son aide ménagère, une jeune femme qui a laissé son petit garçon tout seul deux minutes pour acheter des couches, une quadragénaire aux prises avec un ado en pleine crise. Très vite, le braquage tourne mal et le huis-clôt devient irrespirable. Un événement imprévu, un coup de folie plonge le petit groupe dans l’enfer, les rapports de force changent et personne n’en sortira indemne, au propre comme au figuré. Il y a des choses très justes et efficaces dans le bien nommé « Innocence des bourreaux » (le titre fait penser au « Purgatoire des innocents » de Karine Giebel et quand on y pense, il y a un tout petit quelque chose de ce grand polar noir dans le libre d’Abel), le huis-clôt ne tire en pas en longueur, contrairement à ce qu’on aurait pu croire, vers un gros tiers du livre, on sort enfin de cette superette de quartier, mais pas du tout comme on l’imaginait au départ ! Vient ensuite l’histoire d’une cavale impossible, assez crédible jusque dans son dénouement, inévitable. Ici, il n’y a pas de héros, juste des hommes et des femmes aux prises avec leurs secrets, leurs lâcheté, leurs impulsions, leur passé, leur mauvaises (très mauvaises) décisions. Il y a un rebondissement vers la fin du livre, concernant un des personnages, que personne ne pouvait vraiment voir venir, plus ou moins convaincant d’ailleurs. Le tout petit point faible de ce polar qui se lit vite et sans déplaisir, c’est que le personnage d’Aline Verdoux prends des décisions difficiles à comprendre, et donc à accepter, et cela même une fois qu’on a connu ses motivations profondes. Il y a un pas qu’elle franchit avec une facilité qui laisse songeur, du coup ça sème le trouble sur ce personnage au départ assez sympathique et ordinaire. On peut trouver aussi que la fin, dans la voiture, tire un petit peu en longueur. Et aussi qu’il est frustrant de laisser en plan quelques personnages à la fin, sans savoir comment leur situation va évoluer. Mais malgré ses petites faiblesses, « L’innocence des bourreaux » reste un polar efficace, écrit avec style, construit intelligemment et qu’on a du mal à lâcher.
Faisant parti d'un groupe de lecture, Barbara Abel était frequemment citée. Je me suis donc lancé afin de la découvrir également. J'ai acheté ce livre et je n'ai pas eu de coup de coeur et n'ai pas réussi à me passionner pour cette lecture. Je l'ai lu entierement car je deteste laissé un livre en suspens. Mis à part quelques rebondissements je l'ai trouvé plat, manquant de rythme. Je me suis ennuyé durant ce braquage, j'ai trouvé le temps aussi long que les otages. La fin m'a également deçu. Je suis resté sur ma faim.
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