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Paris, années 1960. Deux frères, Alexandre et Yann, aiment la même femme, Maria, rencontrée par hasard alors qu'ils sont tous les trois étudiants. Pendant plus de quarante ans, elle va être le pivot de leur vie et la spectatrice intime de ce triangle amoureux dans la capitale française, noyau politique, littéraire et artistique d'un pays en mutation. Alexandre, l'aîné, deviendra professeur de lettres, Yann, avocat, et Maria écrira des biographies. Bientôt, le mouvement pacifiste et hippie fera place aux paillettes du premier néolibéralisme puis aux différentes crises économiques, Truffaut tournera Jules et Jim, Lacan endoctrinera des cohortes de jeunes psychanalystes, Jankélévitch et Levinas croiseront Derrida, Deleuze, et même Lagarde et Michard. L'homme qui aimait ma femme est l'histoire belle mais terrible de ces quarante années d'amour - et de trahison.Sur un air de Jules et Jim, une brillante géographie des sentiments. Marianne Payot, L'Express.
Ce roman parle de plusieurs sortes d"amour",conjugal,aduktère,amical,fraternel,et assez subtilement.L'histoire nous embrouille avec jubilation de la part de l'auteur habituée à nous raconter des équations amoureuses.
Mais pas de happy end..."on reconnaît le bonheur au bruit qu'il fait en partant."
L'homme qui aimait ma femme est un livre qui parle de toutes les sortes d'amour et plus particulièrement de l'amour entre homme et femme et de ses multiples tourments.
Alexandre et Yann, tous deux frères, vont se déchirer une vie durant pour une femme. Initialement draguée par Yann, séduite par Alexandre, Maria va au fil de son existence naviguer de l'un à l'autre.Il y a donc comme je le disais dans cet ouvrage les déclinaisons multiples de l'amour: fraternel, amical, passionné, conjugal, maternel.
L'écriture est fluide et les chapitres courts rendent la lecture agréable et aisée. La réalité ne nous parvient que par bribes et c'est là tout l'art de l'auteur qui réussit à rendre son roman palpitant car on n'a de cesse de vouloir connaitre jusqu'au bout le choix véritable de Maria sans vraiment y arriver. De surcroit, les multiples références littéraires et culturelles, l'analyse sociale qui y apparait rendent encore plus riche ce roman que j'ai vraiment beaucoup apprécié malgré sa tristesse et son cynisme.
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