Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
«Victor, mauvais sort, que fais-tu dehors ?» Depuis quatre mois, cette phrase accompagne des cercles bleus tracés à la craie, durant la nuit, sur les trottoirs de Paris. Au centre de ces cercles, comme prisonniers, des objets perdus : trombone, bougie, patte de pigeon... Le phénomène fait les délices des journalistes et de quelques psychiatres qui théorisent : un maniaque ? un joueur ?Le commissaire Adamsberg, lui, ne rit pas. Ces cercles et leur contenu hétéroclite suintent la cruauté. Il le sait, il le sent : bientôt, l'anodin saugrenu deviendra tragédie.
Un homme trace la nuit des cercles bleus, ceux-ci entourant divers objets insolites. Il intrigue dès le départ Adamsberg. Son intuition ne le trompe jamais et comme il l'avait prévu, les meurtres ne tardent pas. Son entourage a des difficultés à le comprendre et lui-même ne sait pas toujours où il va. J'ai donc eu moi-même des difficultés à le suivre. le début de l'histoire m'a paru un peu long. Adamsberg attend et on attend avec lui... Puis le rythme s'accélère et on finit par s'attacher aux différents personnages.
Un homme trace la nuit des cercles bleus, ceux-ci entourant divers objets insolites. Il intrigue dès le départ Adamsberg. Son intuition ne le trompe jamais et comme il l'avait prévu, les meurtres ne tardent pas. Son entourage a des difficultés à le comprendre et lui-même ne sait pas toujours où il va. J'ai donc eu moi-même des difficultés à le suivre. le début de l'histoire m'a paru un peu long. Adamsberg attend et on attend avec lui... Puis le rythme s'accélère et on finit par s'attacher aux différents personnages.
Le commissairre Adamsberg arrive a Paris pour prendre son poste, un homme distille des cercles bleus dans toute la capitale, Jean-Baptiste Adamsberg as tout de suite un mauvais pressentiment, en ce qui concerne ce fait, il sait très bien que cet individu va finir par commettre des meurtres.
J'ai tout de suite été envoutée par le flegme de l'énigmatique commissaire Adamsberg ou le flair est exceptionnel, de plus l'enquête est assez inhabituelle, un homme qui dessine des cercles bleus et qui laisse toujours une maxime " Victor, mauvais sort, que fais-tu dehors ?"
C'est une investigation assez tranquille, ou peu à peu les indices sont distillés, mais j'ai été très vite embarquer dans cette histoire peu commune, ou on se demande si vraiment ce commissaire est dans le vrai, car cet homme qui dessine des cercles bleus au premier abord n'est pas dangereux, plutôt un original qui as envie qu'on s'intéresse à lui.
On fait connaissance avec plusieurs autres personnages secondaires qui peu à peu nous fait rentrer dans la danse de l'intrigue, j'ai trouvé que c'était remarquablement amener on en à faire à une écriture qu'on pourrait détecter comme calme mais très incisive.
Le rythme est indolent, mais on est prise par la trame de l'investigation, qui est aussi assez hilarante par moment.
C'est mon deuxième titre de cet auteur, et encore c'est une excellente lecture, ou j'ai vraiment apprécié cette lecture qui n'est addictive et pleins de suspens mais justement une action lancinante mais qui monte en pression, au fur à mesure qu'on tourne les pages.
La fin est remarquable, dans les livres de cette auteure, il y a toujours une ambiance particulière, ou on est tout de suite impliquée dans l'univers qu'il nous amène à avancer à petit pas mais intensément.
Je n'hésiterais à continuer la découverte de cette auteure avec les autres livres que je possède dans ma pal.
J'ai beaucoup apprécié la plume de Vargas.
Et ce personnage principal, une vraie réussite, je n'avais vraiment pas envie de le quitter
Un bémol cependant, je suis déçue par la fin.
Cette idée de fil rouge avec cette phrase extraordinaire : "Victor, mauvais sort, que fais tu dehors ?" n'est pas exploitée à sa juste valeur...
Parlons un peu du livre. Comme à chaque fois avec un ouvrage de Fred Vargas, il faut entrer dans l’univers des personnages. Et là, c’est un peu plus difficile, car c’est la première enquête à Paris du nouveau tandem Adamsberg-Danglard. Il faut avoir l’esprit bien ouvert pour comprendre qui sont ces deux personnages aux antipodes l’un de l’autre, mais avec tellement des problèmes avec leur passé que cela forge leur présent. Danglard se retrouve à élever seul ses enfants, car sa femme l’a quitté en lui laissant aussi s’occuper d’un enfant né hors mariage ; il se noie dans l’alcool pour oublier ses soucis personnels, mais n’en demeure pas moins un inspecteur hors pair. Adamsberg est poursuivi par ses fantômes, notamment celui de la seule femme qu’il a jamais aimée et réciproquement, mais qui est partie aussi pour pouvoir vivre une vie normale sans lui. Il arrive à la Capitale précédée d’une réputation de super flic, mais aussi d’une personnalité ambigüe, de rêveur, désordonné (pour les autres, mais pas pour lui) dans ses pensées et l’organisation de son travail.
Il trouve donc évidemment bizarres tous ces cercles bleus dessinés sur les trottoirs de Paris, relatés par plusieurs médias. Alors que certains pensent que ce ne sont que d’inoffensifs dessins d’un artiste ou d’une personne un peu déséquilibrée, lui subodore quelque chose de plus glauque et prédit que des morts vont venir émailler les cercles. Et il n’a pas tort, car rapidement, une femme est retrouvée égorgée dans un des cercles. Et ce ne sera pas la seule victime. La question que tout le monde se pose est de savoir si c’est l’homme aux cercles bleus qui a basculé et se serait mis à tuer ou si quelqu’un se sert de ses cercles pour déposer des cadavres.
On rencontre beaucoup d’autres personnages dans cette histoire, tous aussi abimés par la vie que les deux personnages principaux, dont une personne qui a un lien particulier avec Adamsberg.
Je suis entrée facilement dans l’histoire, car je connaissais déjà les deux protagonistes pour avoir lu d’autres livres avec eux. J’ai adoré les voir se découvrir, faire connaissance, apprendre ce qui fait la force et la faiblesse de l’autre pour l’aider et faire avancer l’enquête.
Bien entendu, j’ai été baladée du début à la fin et j’ai été surprise par qui était l’assassin et la raison de ses crimes. Et c’est cela que j’adore dans les romans policiers et chez Fred Vargas en particulier.
Je ne regrette qu’une chose : qu’elle se fasse si rare dans ses écrits.
L'homme aux cercles bleus est le premier roman de Fred Vargas mettant en scène le commissaire Adamsberg... et le début d'une série d'enquêtes toutes plus intéressantes les unes que les autres.
Ce qui frappe sans doute le plus le lecteur à la première lecture, c'est le style si particulier de Fred Vargas. Inattendu, entre humour, jeux de mots et parfois même poétique, il rend la lecture très agréable.
L'intrigue en elle-même est très bien pensée. On entre doucement dans l'histoire, faisant connaissance avec les personnages qui y joueront plus tard un rôle important. Les scènes psychologiques où les personnages principaux sont développés donnent de l'épaisseur au roman, le rendant ainsi plus réaliste que la plupart des oeuvres de ce genre. Elles sont alternées de manière subtile avec le suspense et les recherche de la police.
Le commissaire Adamsberg est un personnage très spécial. Son intuition qui l’a aidé à résoudre plusieurs enquêtes a fait sa célébrité, mais sa personnalité surprend le lecteur tout comme les autres personnages dont il fait connaissance. On ne peut jamais prévoir ses réactions, ni la manière dont il entend organiser les recherches, mais cela est tout sauf irritant. Bien au contraire, on se sent attiré par ce mystérieux personnage, qui nous est dévoilé petit à petit au cours de l’enquête. On découvre des fragments de sa vie privée, des morceaux de son passé et sa manière bien particulière de mener une enquête.
Les autres personnages sont eux aussi très bien développés. Ils constituent sans aucun doute un des points phares du roman, que ce soit le cynique aveugle Charles Reyer, l’étrange Mathilde Forestier ou l’énigmatique Homme aux cercles bleus. Tous ont de l’importance et Fred Vargas s’en sert pour brosser le portrait de Paris, où lorsque la nuit tombe, tout est possible.
L’enquête est résolue étape par étape, lentement au début, puis de plus en plus vite jusqu’au coup de théâtre final. Malgré cette incroyable surprise, toute l’histoire paraît extrêmement réaliste, ce qui tient probablement en grande partie à la psychologie des personnages : ils ne sont pas des super héros et, comme tout être humain, commettent parfois des erreurs.
En résumé, ce premier livre de la série est une véritable merveille, tant du point de vue de l’intrigue et du suspense que de l’écriture et des personnages.
'L' Homme aux cercles bleus' : 'Victor, mauvais sort, que fais-tu dehors ?' Depuis quatre mois, cette phrase accompagne des cercles bleus qui surgissent la nuit, tracés à la craie sur les trottoirs de Paris. Le phénomène fait les délices des journalistes et de quelques psychiatres qui théorisent un maniaque, un joueur. Le commissaire Adamsberg, lui, ne rit pas.
Très bien écrit, très prenant.. Quant on le commence on le termine
Un excellent suspens, des personnages haut en couleurs
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