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« Monsieur le Président de la Terre, je m'appelle Wondone et je t'écris de France. Je ne sais pas quel est ton prénom. Je ne sais pas comment ta maman t'appelait quand tu étais haut comme trois pommes, mais ce que je sais, c'est qu'elle doit se demander ce que tu fabriques à la tête de la Terre. À dix ans, est-ce que tu étais du genre à pousser ton voisin dans les orties après lui avoir volé ses billes ? Et si tu le faisais, est-ce que tes parents te punissaient ? Je te demande ça parce que quand je vois ce qu'on fait subir à des millions et des millions d'enfants sur la Terre, je me dis que ceux qui t'ont appris à vivre doivent être déprimés aujourd'hui. » «N'achetez plus le sang des enfants !» tel est le cri de colère d'un petit garçon sans-papiers. Dans une lettre ouverte au président de la Terre, il écrit sa souffrance et sa colère contre le monde des adultes et dénonce la misère et l'exploitation de milliers d'enfants à travers le monde. Devant l'urgence du respect de leurs droits, il appelle ainsi à une prise de conscience. Il se fait écho du combat d'Iqbal Masih, enfant pakistanais en lutte contre le travail des enfants dans les usines et abattu pour cela. Un magnifique plaidoyer pour l'enfance.
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