Le 5 avril au cinéma, découvrez le chef-d’œuvre d’Alexandre Dumas comme vous ne l’avez jamais vu...
Dans Les Trois Mousquetaires revit toute l'Histoire : le Moyen Âge parce que c'est une épopée chevaleresque ; le XVIIe siècle dominé par Richelieu fondateur de la France moderne ; le romantisme parce que des héros exceptionnels, qui ont disparu d'une société contemporaine dépoétisée, se réfugient dans le roman. L'auteur y a mis tout son art : la surprise, la vitesse, l'humour, la couleur, le sens du mystère et de la grandeur. Le lecteur se sent un instant aventureux comme d'Artagnan, séducteur comme Aramis, hercule comme Porthos, profond comme Athos, poète comme Dumas.
Le 5 avril au cinéma, découvrez le chef-d’œuvre d’Alexandre Dumas comme vous ne l’avez jamais vu...
Comme à son habitude, Alexandre Dumas parvient à retranscrire avec brio toute l’atmosphère d’une époque passée en en retranscrivant même la langue. Je connaissais la trajectoire historique du véritable d’Artagnan mais je n’avais encore jamais lu ses prouesses romancées. J’avais était totalement captivée par le comte de Monte Cristo mais, cette fois-ci, il m’a fallu plus de temps pour entrer et dans pleinement dans l’histoire. J’ai eu un peu de mal à m’attacher aux quatre protagonistes principaux et se sont finalement les personnages secondaires, l’intrigue entre la reine et le comte de Buckingham ou les plus terribles ennemis des mousquetaires : le cardinal de Richelieu et, bien-sûr, son infernale acolyte Milady qui ont su capter mon attention. Je lirai avec plaisir la suite : « Vingt ans après » et j’ai hâte de savoir de quelle manière le génie de Dumas a su redonner vie au règne de Louis XIV.
J'ai enfin lu ce grand classique et je reconnais que c'était un réel plaisir de lecture. Pourtant je n'ai jamais beau aimé les films de capes et d'épées, j'arrive pas à accrocher. C'est peut être pour ça que je ne m'étais jamais décidé à lire ça.
Mais surprise, je ne savais pas que Les trois mousquetaires pouvait être édité en 2 parties et je n'avais là que la première. Il faut donc que je me dégotte la suite.
Et plus tard : 20 ans après et Le vicomte de Bragelonne
Plaisir de relire tous les 15 ou 20 ans ...
Un classique indémodable!
Bonjour, je remercie Lecteurs.com de m'avoir permis de redécouvrir ce chef d'oeuvre! J'avoues : j'avais peur d'être déçue car l'ayant lu au collège j'en avais de bons souvenirs mais l'âge aidant...Eh bien non, j'ai été emballée de suite et je l'ai lu très rapidement.
Le premier de la série des "mousquetaires" est donc : D'Artagnan.
Le roman raconte les aventures d'un jeune gascon D'Artagnan, venu à Paris pour intégrer le corps des mousquetaires du roi.Son père qui était lui même mousquetaire lui a appris l'art de l'épée, art où ce jeune excelle.A peine arrivé à Paris, il se querelle avec un inconnu qui a humilié son cheval(le Comte de Rochefort accompagné d'une belle femme Milady)qui lui dérobe son petit pécule et sa lettre de recommandation.Puis il provoque en duel les trois mousquetaires Athos, Portos et Aramis.Ceux -ci deviendront ses amis et alliés dans leur lutte contre le Cardinal de Richelieu qui dans l'ombre complote contre la reine.
J'ai vu des adaptations de ce roman à la télé, au cinéma mais on se laisse emporter par les mots , celivre est magique :on replonge en enfance.
Les trois mousquetaires d’Alexandre Dumas Edition de Simone Bertière.
C’est un petit pavé de 890 pages aux éditions Livre de Poche que je viens de terminer. Son titre Alexandre Dumas, Les Trois Mousquetaires. Un livre que j’ai eu plaisir à lire, bien que je me souvienne qu’enfant je l’avais lu. J’ai eu véritablement du plaisir à redécouvrir ce roman d’Alexandre Dumas ou intrigues politiques, rixes, galanterie, coups tordus, vengeance, sont légion. Bien qu’on y côtoie Louis XIII, la Reine d’Autriche, le Cardinal de Richelieu ce n’est pas un roman historique car Alexandre Dumas est fâché avec la chronologie des évènements passés et a truffé son roman de personnages fictifs comme Le comte de Wardes, Rochefort, Lord de Winter, Constance Bonacieux, le procureur et sa femme Coquenard et les fameux laquais de D’Artagnan, Porthos, Athos et Aramis, Grimaud, Bazin, Planchet et Mousqueton mais aussi de personnages historiques : la Duchesse d’Aiguillon bien que dévote qui passait pour la maitresse du Cardinal Richelieu ; Anne d’Autriche, reine de France qui fut nommée régente et dirigea la France avec l’aide du cardinal Mazarin et mourût d’un cancer en 1666 ; François de Bassompierre, Maréchal de France qui participa au siège de La Rochelle, puis effectua un long séjour à la Bastille pour avoir soutenu Marie de Médicis pendant la journée des Dupes ; Georges Villiers, duc de Buckingham qui périt sous le couteau de Felton le 23 septembre 1628 ; Chalais comte Henry de Talleyrand qui organisa à l’instigation de sa maitresse la duchesse de Chevreuse un complot contre Richelieu ; Marie de Rohan, duchesse de Chevreuse , bête noire de Louis XIII et de Richelieu , redoutable séduisante ayant eu d’innombrables amants ; Felton John Officier de marine britannique assassin de Buckingham ; Louis XIII roi de France en 1610 , renfermé, timide, passionné de chasse mais détestant la vie de cour et s’irritant de l’emprise de son ministre Richelieu ; Arnaud- Jean du Peyrer comte de Tréville qui tout dévoué à Louis XIII réussit à exiler en 1642 Richelieu pour ne citer que ceux-ci. Mais je ne terminerai pas cette critique, sans revenir sur d’Artagnan qui apparait dans la correspondance de Mme de Sévigné et dans les Mémoires de l’Abbé de Choisy dont Dumas, en le vieillissant par rapport aux pseudo mémoires de Courtilz de Sandras, lui attribue des aventures fictives, lui prêtant une personnalité plus brillante, plus chaleureuse, plus enthousiaste, plus sympathique. Athos, le vrai se nommait Armand de Sillègue et tirait son nom de la petite terre d’Athos près de Sauveterre en Béarn est né vers 1615 et entré aux Mousquetaires vers 1640. Il mourut trois ans plus tard. Milady est un personnage composite entre le modèle réel, la Lady Carlisle des mémoires de La Rochefoucauld et le modèle fictif, la Miledi des pseudo-mémoire de Courtilz de Sandras, déjà évoqué. Porthos, en réalité Isaac de Portau servit dans la compagnie des gardes de M. Des Essarts avant d’entrer aux Mousquetaires. Dumas en fera un colosse de légende peu intelligent mais fidèle. Aramis est Henri d’Aramitz du nom d’un gros bourg proche d’Oléron. Alexandre Dumas lui donnera ses traits spécifiques, le faisant balancer entre le métier des armes et l’Eglise. On retrouvera Aramis dans Vingt ans après sous le nom d’Abbé d’Herblay qui deviendra évêque général des jésuites, arbitre occulte des destinées de la France et de l’Eglise. Vous vous interrogez peut-être sur le fait que j’ai spécifié Edition Simone Bertière ? La réponse vous l’avez lue dans les lignes que je viens d’écrire précédemment. En effet dans cette édition Les Trois Mousquetaires d’Alexandre Dumas, outre le roman vous découvrirez en ouvrant cet ouvrage : un chapitre d’introduction qui vous présente Alexandre Dumas au début des années 1840 qui bien qu’auteur dramaturge reconnu, va répondre à la demande d’Emile Girardin en créant un feuilleton pour le lancement de son journal La Presse avec l’indication de « la suite au prochain numéro ». Puis vous découvrirez dans ce chapitre : la genèse des Trois Mousquetaires, une notice historique : situation politique ; idylle entre Anne d’Autriche et Buckingham et ses incidences politiques ; les anticipations de Dumas ; des indications sur les mesures et les monnaies de l’époque pour finir par des annexes : Mémoires de la Rochefoucauld ; des orientations bibliographiques et terminer par un répertoire des personnages. Ce qui m’a grandement aidé pour écrire cette critique. « C’est cette verve prodigieuse d’Alexandre Dumas, son entrain facile, son bonheur de mise en scène, son dialogue spirituel, et toujours en mouvement, ce récit léger qui court sans cesse », loués par Sainte-Beuve qui n’ont pas vieilli que je vous invite à découvrir ou redécouvrir dans cette édition de Simone Bertière. Bien à vous.
Encore un classique que je n’avais pas lu, et dont, plus surprenant, je n’avais vu aucune adaptation cinématographique (le dessin animé où Aramis est un épagneul ne compte pas bien sûr).
Alors, à l’annonce de la sortie d’une adaptation que j’avais clairement envie de voir (le casting étant le principal argument soyons honnêtes), j’ai décidé de faire enfin connaissance avec ces fameux mousquetaires.
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Comme lors de ma découverte du Comte de Monte-Cristo, j’ai été totalement embarquée par le roman d’Alexandre Dumas.
Les mousquetaires sont tous des personnages attachants et intéressants, même si j’avoue une préférence marquée pour Athos ; lu plus jeune, j’aurais sans doute préféré d’Artagnan mais là, sa fougue et son énergie me correspondent certainement moins que le mystère entourant Athos.
Mais le personnage le plus fascinant à mes yeux, le plus complexe, reste Milady, une superbe « méchante » qui mériterait un roman à elle seule.
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Le rythme donné à leurs aventures est d’une efficacité sans faille, pas de temps mort dans ce pavé de plus de mille pages.
Et last but not least, ce ton, mesdames et messieurs ! Ecrire des scènes d'action où se côtoient l'humour et la noirceur, créer une atmosphère qui semble au départ assez légère et se transforme insensiblement en quelque chose de plus sombre, bravo Monsieur Dumas, chapeau (de mousquetaire) bas.
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Heureusement, il me reste quasiment toute son œuvre à découvrir, à commencer par Vingt ans après, qui me permettra de retrouver mes petits mousquetaires.
En premier lieu, merci à lecteurs.com pour l’envoi de cet ouvrage ! Dans la première partie du roman "Les Trois Mousquetaires" M. Alexandre Dumas nous présente le jeune d'Artagnan, protagoniste principal. C’est un personnage particulièrement bien développé, car M. Dumas nous le montre comme un jeune homme impulsif et plein d'énergie, quittant sa province natale pour rejoindre le célèbre corps des mousquetaires du roi.
Dès le début du roman, le lecteur est entraîné dans les aventures de d'Artagnan, et ce dernier démontre rapidement un mélange d'ingénuité et d'astuce assez phénoménal. Ses rencontres avec les trois mousquetaires, Athos, Porthos et Aramis (d’Artagnan sera le quatrième de la bande, et non le moins important), sont empreintes d'humour et de rebondissements inattendus, ce qui contribue à rendre le récit captivant (plus addictif qu’une série Netflix, oserai-je). Et puis, l'évolution du personnage de d'Artagnan au fil des chapitres est également intéressante, puisqu'il apprend à surmonter ses propres défauts, tout en créant de forts liens d'amitié avec ses compagnons d'armes. Enfin, son amour pour Constance Bonacieux, trame romantique de l’ouvrage de maître Dumas, ajoute une dimension de passion à cette première partie du roman.
En bref, cette première partie des "Trois Mousquetaires" est incontestablement une œuvre passionnante. En plus d’offrir un regard riche et instructif sur l'époque du XVIIème siècle et ses rebondissements historiques (que M. Dumas interprète magnifiquement pour les transformer au service de son récit), cette première partie développe de manière passionnante la figure de d'Artagnan en tant que jeune homme plein d'ambition et d'idéaux. Un classique indémodable !
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Et je l'ai maintenant lu dans sa totalité, c'est un bonheur confirmé. Je comprends le statut de grand classique qu'il détient, ce n'est pas usurpé.
Je m'attendais à un style totalement bon enfant mais j'ai été agréablement surpris par moment de la violence sous jacente de certaines scènes ou du comportement parfois impitoyable de nos héros (surtout le passé de Athos).
Bref, à recommander sans modération.