Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
je suis en train de lire ce récit et je le trouve très intéressant, il nous éclaire sur la vie de ces trois soeurs
Les soeurs Brontë sont un mystère. Isolées du monde, filles d'un pasteur de village, elles ont révolutionné l'histoire littéraire en publiant, sous pseudonymes masculins, des romans brûlants d'amour et de vie comme Jane Eyre et Les Hauts de Hurlevent.
Haworth, 1836. Dans les landes du Yorkshire, Charlotte (20 ans), Emily (18 ans) et Anne (16 ans) écrivent à la lumière de la bougie. Comment ces jeunes femmes de condition modeste, sans relations ni entregent, vont-elles devenir des auteurs qui comptent ? Quel rôle tient leur frère Branwell, artiste raté, dans cette fratrie à la fois soudée et rongée par les non-dits ?
Partie sur les traces des soeurs Brontë, Laura El Makki nous plonge dans leur intimité, leurs alliances, leurs déchirements, et nous raconte le destin de trois femmes aux prises avec l'adversité, qui ont su trouver en elles la force d'exister.
Patrick Prunty a quitté son Irlande natale, ses parents, ses neuf frères et sœurs à 16 ans pour émigrer en Angleterre. A 25 ans il intègre le St John College de Cambridge où il est inscrit sous le nom de Branty. Son diplôme obtenu, il choisit d’entrer dans les ordres et devient vicaire à Wethersfield sa première paroisse. A 35 ans il épouse Maria Branwell une orpheline méthodiste. Très vite les enfants se succèdent : Maria en 1814, Elizabeth en 1815, Charlotte en 1816, Branwell en 1817, Emily Jane en 1818 et Anne en 1820. C’est l’histoire de cette fratrie que nous raconte le livre. Leur nom Brontë apparaît pour la première fois lors de la publication d’un livre écrit par Patrick. Comme leur père, ses enfants partagent une même passion pour l’écriture. A la mort prématurée de Maria, Patrick se retrouve seul à élever six très jeunes enfants dont un bébé. Soucieux de leur éducation, il envoie les deux aînées dans un pensionnat qui se révélera être un endroit sombre, humide, glacial à la nourriture chiche. Maria et Elizabeth en mourront de tuberculose. La fratrie restante passe ses journées entre les promenades sur la lande et l’écriture.
Laura el Makki sait faire revivre sous sa plume ces années de création, de privation, de différence entre les filles qui à certains moments partent travailler à l’extérieur comme enseignante ou gouvernante et Branwell le seul fils. Son père est persuadé qu’il deviendra un artiste et malgré leurs difficultés financières lui paye des cours à différentes reprises. Mais Branwell gâchera son talent et sombrera dans l’alcool et la drogue.
Les trois sœurs restantes finiront par se retrouver dans ce presbytère et écriront chacune un roman en s’inspirant de leurs expériences. Elles n’arriveront à se faire publier qu’en prenant des pseudonymes masculins. Et une fois la vérité révélée, elles ne profiteront pas longtemps de leur célébrité. Après Branwell, c’est Emily puis Anne qui disparaissent laissant Charlotte gérer leurs écrits. On peut se demander quel a été son rôle dans la disparition de certains textes de ses sœurs ? Elle-même mourra en 1855. Après avoir perdu sa femme, Patrick verra mourir ses 6 enfants.
En lisant ce livre parfaitement documenté, avec de nombreuses références, on comprend mieux l’oeuvre des sœurs, leur solitude, leur amour de la lande, la force de leur caractère ; toutes ces choses que l’on retrouve dans leurs romans.
Laura el Makki nous permet aussi de découvrir Anne qui a été comme « gommée» par Charlotte qui seule avec Emily est réellement passée à la postérité.
Malgré l’intérêt sans conteste de ce livre, l’écriture est parfois fastidieuse et il m’a fallu poser ce livre afin de mieux le reprendre.
…ou la preuve, s’il en fallait, que seuls les imbéciles ne changent pas d’avis !
Car ma première impression, si elle n’était pas mauvaise, fut loin d’être enthousiaste à la lecture de cette somme érudite sur la fratrie la plus célèbre de la littérature anglaise. Il me semblait fort surprenant d’entreprendre pareil travail de fond, de rassembler tant de références (ces notes, mon Dieu, ces notes !!), de vérifier tant de détails sans joie visible, sans passion apparente. Toujours sur une retenue quasi professorale, Laura El Makki semble s’appliquer à rester à la surface des sentiments, exposant de façon très factuelle les liens qui unissent les membres de cette famille mutilée par la maladie, la pauvreté et l’insalubrité du siècle qui l’accueille.
Malgré l’austérité apparente du propos, je n’ai pu que persister dans cette lecture au demeurant fluide (si l’on voulait bien faire abstraction des rejets…Ah ! Ces notes ! Ces notes !!) , fort agréable et passionnante pour qui ignorait à peu près tout de ces auteures peut-être trop vite cataloguées « pour jeunes filles en fleur ». Progressant dans ma découverte du contexte géographique, historique, sociologique où évoluèrent Charlotte, Emilie et Anne (sans oublier Branwell, la partie obscure de la force créatrice), j’en vins à la conclusion que, loin de desservir son sujet, cette austérité apparente s’y prêtait fort bien, rejoignant, dans sa tonalité, la rigueur toute protestante qui imprégna chaque parcelle de la vie de ces enfants de pasteur.
A l’image des strictes robes noires des sœurs Brontë recelant des personnalités foisonnantes d’intelligence, de curiosité et de vivacité d’esprit, le travail consciencieux et systématique de cette détective de vie privée devient un patchwork tout en nuances qui rend justice aux particularités et au talent de celles que l’on a pour habitude d’unir trop souvent sous les contours un peu flous d’un monstre à 3 têtes. Cette « force d’exister », qui sous-titre si justement le livre de Laura El Makki, est perceptible du début à la fin de chacune de ces vies qui, comme tant d’autres auraient pu être soufflées encore plus rapidement qu’elles ne le furent, sans avoir laissé au monde et à la postérité la moindre trace de leur passage. Polymorphe, cette force intervient sur tous les plans. Physique d’abord, en donnant à ces trois-là ainsi qu’à leur frère la vigueur nécessaire pour ne serait-ce que survivre là où leur mère et deux de leurs sœurs rendront les armes. Affectif ensuite, en resserrant les liens de la fratrie abandonnée à elle-même lors du décès trop rapide et trop brutal d’une mère et épouse chérie. Intellectuel, enfin, ne cessant de conforter ces infatigables écrivaines dans la certitude de leurs aptitudes à l’Ecriture.
Ce document est d’un intérêt historique et sociologique vraiment percutant autour de cette époque.
J’ai ressenti un grand engouement lors de cette lecture. La construction de cette famille d’artiste est assez impressionnante.
J’ai lu Jane Eyre et Les hauts de Hurlevent il y a plusieurs années et les avaient trouvé très puissant, connaitre les coulisses de leurs écriture m’a véritablement enchanté.
Une très belle découverte
…ou la preuve, s’il en fallait, que seuls les imbéciles ne changent pas d’avis !
Car ma première impression, si elle n’était pas mauvaise, fut loin d’être enthousiaste à la lecture de cette somme érudite sur la fratrie la plus célèbre de la littérature anglaise. Il me semblait fort surprenant d’entreprendre pareil travail de fond, de rassembler tant de références (ces notes, mon Dieu, ces notes !!), de vérifier tant de détails sans joie visible, sans passion apparente. Toujours sur une retenue quasi professorale, Laura El Makki semble s’appliquer à rester à la surface des sentiments, exposant de façon très factuelle les liens qui unissent les membres de cette famille mutilée par la maladie, la pauvreté et l’insalubrité du siècle qui l’accueille.
Malgré l’austérité apparente du propos, je n’ai pu que persister dans cette lecture au demeurant fluide (si l’on voulait bien faire abstraction des rejets…Ah ! Ces notes ! Ces notes !!) , fort agréable et passionnante pour qui ignorait à peu près tout de ces auteurs peut-être trop vite cataloguées « pour jeunes filles en fleur ». Progressant dans ma découverte du contexte géographique, historique, sociologique où évoluèrent Charlotte, Emilie et Anne (sans oublier Branwell, la partie obscure de la force créatrice), j’en vins à la conclusion que, loin de desservir son sujet, cette austérité apparente s’y prêtait fort bien, rejoignant, dans sa tonalité, la rigueur toute protestante qui imprégna chaque parcelle de la vie de ces enfants de pasteur.
A l’image des strictes robes noires des sœurs Brontë recelant des personnalités foisonnantes d’intelligence, de curiosité et de vivacité d’esprit, le travail consciencieux et systématique de cette détective de vie privée devient un patchwork tout en nuances qui rend justice aux particularités et au talent de celles que l’on a pour habitude d’unir trop souvent sous les contours un peu flous d’un monstre à 3 têtes. Cette « force d’exister », qui sous-titre si justement le livre de Laura El Makki, est perceptible du début à la fin de chacune de ces vies qui, comme tant d’autres auraient pu être soufflées encore plus rapidement qu’elles ne le furent, sans avoir laissé au monde et à la postérité la moindre trace de leur passage. Polymorphe, cette force intervient sur tous les plans. Physique d’abord, en donnant à ces trois-là ainsi qu’à leur frère la vigueur nécessaire pour ne serait-ce que survivre là où leur mère et deux de leurs sœurs rendront les armes. Affectif ensuite, en resserrant les liens de la fratrie abandonnée à elle-même lors du décès trop rapide et trop brutal d’une mère et épouse chérie. Intellectuel, enfin, ne cessant de conforter ces infatigables écrivaines dans la certitude de leurs aptitudes à l’Ecriture.
http://leslivresdejoelle.blogspot.fr/2018/03/les-surs-bronte-de-laura-el-makki.html
Cette biographie des sœurs Brontë nous relate leur vie de leur enfance à leur mort. Une vie où la tuberculose est omniprésente puisqu'elle va emporter leur mère en 1821 alors qu'Anne n'a qu'un an, Emily trois ans et Charlotte cinq ans. Cette terrible maladie aura raison quelque temps plus tard de leurs deux sœurs aînées.
Élevées dans la pauvreté avec leur frère Branwell dans le modeste et austère presbytère d'Haworth dans les landes du Yorkshire où officie leur père pasteur, la fratrie va s'habituer à ne compter que sur eux-mêmes dans le souvenir d'une mère qui leur a transmis sa passion des livres et auprès d'un père qui aime lire et qui écrit tous les jours des poèmes et des articles.
Tous les quatre commencent à écrire par équipe, Charlotte avec son frère, Emily avec Anne, ils inventent des mondes imaginaires où ils trouvent refuge, ils jouent à créer des fictions dans une émulation intellectuelle permanente.
Devenus adultes, même si chacun évolue sur sa propre voie, gagnant son indépendance en devenant gouvernante par exemple pour Charlotte, la fratrie se retrouve régulièrement réunie au presbytère, soudée par un amour inconditionnel. Les trois sœurs, pourtant ébranlées par les frasques de leur frère, vont soutenir cet artiste raté qui se noie dans l'alcool et l'opium, un frère dans lequel leur père avait mis tous ses espoirs. L'auteure montre bien l'impact que le calvinisme, branche réformée de l'Église protestante a eu sur leur personnalité, chacune des sœurs a été profondément marquée par la rigueur de l'éducation reçue.
Le livre se termine par la publication en secret, sous le pseudonyme masculin des frères Bell, d'un recueil de leurs poèmes puis de leurs romans qui ont marqué l'histoire de la littérature : Jane Eyre dans lequel Charlotte s'inspire de son enfance au pensionnat et Les Hauts de Hurlevent d'Emily. L'ascension des trois sœurs coïncide malheureusement avec la déchéance de leur frère.
Cette biographie nous décrit une époque marquée par les ravages de la tuberculose, nous montre une Charlotte investie dans son rôle d'aînée, mélancolique et assez peu sympathique mais ce récit a le mérite de mettre Anne dans la lumière alors qu'elle a toujours été la petite dernière, protégée mais oubliée, un peu laissée pour compte par ses sœurs et qu'il reste peu de traces de sa vie.
Le récit est très documenté avec une multitude de notes bibliographiques. De nombreuses phrases voire simplement de simples mots sont insérés dans le récit sans qu'ils me soient apparus d'un intérêt majeur, ils ont contribué à rendre ma lecture assez peu fluide.
L'auteure s'appuie sur les situations qu'elles ont prêtées à certains personnages de leurs romans, très proches des situations qu'elles avaient vécues elles-mêmes, on apprend aussi beaucoup d'elles aux travers de leurs lettres en particulier de celles que Charlotte a échangées avec son amie Ellen. L'auteure insère également des extraits de leurs poèmes, de leurs différents écrits qui traduisent leur état d'esprit du moment.
Malgré certaines longueurs, j'ai trouvé que c'était une lecture intéressante qui n'est pas réservée aux inconditionnels des Brontë.
je suis en train de lire ce récit et je le trouve très intéressant, il nous éclaire sur la vie de ces trois soeurs
En plein cœur du Yorkshire, a vécu la famille Brontë dont leur histoire nous est retracée dans ce document qui se lit comme un roman. Issues d’un milieu social modeste, Anne, Emily et Charlotte forment une fratrie soudée et unie par une même passion, l’écriture.
Loin d’être épargnées par les drames, la tuberculose va emporter brutalement leurs deux sœurs aînées. Leur mère Maria disparaît également très tôt. C’est Patrick, le père qui va chaperonner la famille et voir s’éteindre un à un tous ses enfants.
Une tribu dont on découvre leur intimité et leur environnement marqués par leur affection pour les landes dans lesquelles elles vivent, mais aussi par des conditions de vie rudes et par ce besoin permanent d’écrire.
Trois femmes au fort tempérament qui n’ont pas hésité à prendre leurs destins en main en se faisant publier sous des pseudonymes masculins. On découvre également leur étonnante volonté de vivre malgré les épreuves et un frère rongé par l’alcool.
Laura El Makki s’attache ici à redorer l’image d’Anne, souvent mise à l’écart. Elle met également en exergue le fait que leur vécu transparaît à de maintes reprises dans leurs écrits. Je suis plutôt novice en ce qui concerne la vie de cette célèbre fratrie. Par conséquent, cette lecture s’est révélée passionnante pour ma part même si la trame reste assez classique.
Avec cette superbe biographie, Laura El Makki immortalise les sœurs Brontë. Trois femmes fascinantes qui ont laissé une empreinte indélébile dans la littérature et que l’on prend plaisir à (re)découvrir par le biais de ce vibrant hommage.
Des coïncidences se produisent parfois et de façon totalement inattendues mais qui ne sont pas dénuées de charme. Comme celle de lire un document sur les sœurs Brontë au moment où souffle une tempête, tourner les pages du livre et imaginer des feuilles virevolter dans les landes du Yorkshire, avancer pas à pas dans l’histoire d’une famille et voir au loin la demeure de Hurlevent…
Cette nouvelle biographie sur l’une des fratries les plus célèbres du monde littéraire est un peu à leur image : sobre, réservée, élégante. Et ce petit plus qui apporte du mystérieux à l’étrangeté des destins déchirés, mais où se forgent « la force d’exister ».
Car il en fallu de la force pour affronter les obstacles, la précarité, les humiliations, les deuils, mais à chaque fois et, même si des divergences planaient au sein de la famille, le socle tenait bon et chacun croyait en un avenir meilleur. C’est là que la figure du père, Patrick, est remarquablement narré par la biographe.
Si Charlotte et Emily sont plus connues, tout au moins pour « Jane Eyre » et « les Hauts de Hurlevent », Anne et surtout le frère Branwell, restent bien en retrait de la célébrité. Les passages sur Branwell sont l’un des piliers du livre car il a été trop effacé de l’histoire des Brontë. Oui, un pilier… qui permet à un spectre de reprendre figure… Laura El Makki s’intéressant à tous les membres de la famille, permet au lecteur de mieux cerner les mécanismes de la création littéraire des Brontë et de se rendre compte, une fois encore, que le roman est souvent le miroir d’un vécu.
A côté de cette saga qui s’achèvera en 1855 par le décès de Charlotte, victime elle aussi de la redoutable faucheuse phtisique, c’est un envoutant plongeon dans l’Angleterre du XIX° siècle avec ses principes, ses hiérarchies, sa rudesse mais également le début d’une ère nouvelle, pour les femmes notamment, avec en 1837 l’arrivée de la reine Victoria.
Une lecture qui traverse les brumes des destins, destins dans la lumière, destins dans l’ombre, au gré des crépuscules éoliens, des coulées de larmes et du vivifiant des espoirs.
http://squirelito.blogspot.fr/2018/02/une-noisette-un-livre-les-surs-bronte.html
Des sœurs Brontë, j’avais le souvenir de « Jane Eyre » qui m’avait marquée et des « Hauts de Hurlevent », lectures de l’adolescence, ouvrages conseillés par le bouche à oreille familial ; pour le reste un certain mystère planait autour de cette famille marquée par les décès prématurés que j’imaginais perdue dans la lande brumeuse du Yorshire de l’Angleterre Victorienne.
C’est avec curiosité que j’ai ouvert le livre de Laura El Makki, comme on pousse la porte d’un vieux manoir poussiéreux connu jadis.
Fourmillement de création, d’idées, frénésie de lecture, écriture collective ou individuelle émulation, histoires inventées, jouées ou écrites. J’ai été éblouie par cette fratrie.
Pourtant leur condition modeste ne les épargne pas de la rudesse de l’existence, l’éclairage à la bougie, le froid, la tuberculose qui fait des ravages et emporte la mère très jeune laissant Patrick le père à la tête de cette fratrie. La tuberculose qui emportera aussi Marie et Elisabeth. Pourtant c’est lui le père qui insuffle à ses enfants l’amour de l’écriture et en devient le guide. L’unique fils Branwell aura le privilège de se voir offrir un apprentissage destiné à une carrière d’artiste. Hélas ses choix d’adulte ne seront pas à la hauteur de cette destinée. Pourtant il sera acteur des histoires imaginaires de ses sœurs, précieux conseil dans leurs travaux d’écriture.
La place d’une fille est plus ingrate, destinée à se marier ou à devenir gouvernante, au mieux enseignante.
Un destin hors du commun que celui de Charlotte, Emily et Anne et une reconnaissance qui viendra avec la publication de « Jane Eyre ».
A la lecture de certains passages je me suis beaucoup interrogée ; en effet, nous vivons à une époque où l’écran a envahi les chambres d’enfants et les cours de récréation, les alertes des professionnels sur l’impact de leur utilisation massive ne semblent pas toujours trouver d’interlocuteur. Et pourtant, la lecture du livre de Laura El Makki pourrait éveiller des consciences, que seraient devenues Charlotte, Emily, et Anne sans cet éveil à l’imaginaire ?
Je conseille vraiment la lecture de cet ouvrage ; le seul bémol étant le style et l’écriture un peu monocorde et austère qu’il faut dépasser.
Lu dans le cadre du Jury Lectrices Elle 2018
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Pour ma part je garde un avis assez mitigé sur ce livre... Je suis ravie qu'il vous plaise.