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Les Racines de la conscience (1954) reprend, développe et approfondit la notion d' archétype qui occupe, on le sait, une place centrale dans la pensée de Jung. Ce concept en effet peut se comparer aux catégories de la philosophie traditionnelle (Aristote, Kant) ou aux structures des modernes (Piaget, Lévi-Strauss, Lacan). Les archétypes sont les schèmes éternels de l'âme humaine, les images et symboles qui peuplent l'inconscient collectif et modèlent le flux de l'énergie psychique. Leur nature et leur signification sont ici commentées sous des angles différents et complémentaires - histoire, exposés de cas, pratique et théorie psychologiques - qui donnent son unité à ce recueil. Après une définition des archétypes présents dans l'inconscient collectif - en particulier l'image de la mère et l'idée d'anima -Jung illustre son propos par l'analyse des symboles contenus dans l'oeuvre d'un alchimiste et gnostique du IIIe siècle, par l'étude radicalement nouvelle du rite chrétien de la messe et par celle des représentations archétypiques de l'arbre dans les mythologies et les religions.
L'ouvrage s'achève par une réflexion théorique sur la nature du psychisme montrant notamment que la conscience n'est pas une création ex nihilo mais prend racine dans la genèse de l'espèce.
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