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Les lendemains qui chantent

Couverture du livre « Les lendemains qui chantent » de Arnaldur Indridason aux éditions Metailie
  • Date de parution :
  • Editeur : Metailie
  • EAN : 9791022614184
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Pourquoi ce teinturier sans histoire, père célibataire, a-t-il disparu un soir en laissant son fils sans famille et sans protection ? Comment ce conducteur habile a-t-il pu s'engager sur ce glacier et disparaître ? N'y a-t-il personne pour trouver cela bizarre à l'exception de Konrad ? Un roman... Voir plus

Pourquoi ce teinturier sans histoire, père célibataire, a-t-il disparu un soir en laissant son fils sans famille et sans protection ? Comment ce conducteur habile a-t-il pu s'engager sur ce glacier et disparaître ? N'y a-t-il personne pour trouver cela bizarre à l'exception de Konrad ? Un roman très noir dans lequel Konrad nous révèle l'existence des réseaux d'espionnage russes en Islande dans les années 60 et la façon dont les militants de gauche se sont trouvés enlevés ou tués au nom de la révolution soviétique.

Haletant et troublant. Un très bon Indridason.

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Avis (3)

  • Voici le volume 6 des enquêtes de Konrad que j’ai le plus aimé, pas loin de 5* d’ailleurs et je remercie les Editions Métailié de la constance avec laquelle ils ont accepté mes demandes au fil des ans avec pourtant une opinion très mitigée sur Konrad et son obsession. Mais je n’imaginais pas...
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    Voici le volume 6 des enquêtes de Konrad que j’ai le plus aimé, pas loin de 5* d’ailleurs et je remercie les Editions Métailié de la constance avec laquelle ils ont accepté mes demandes au fil des ans avec pourtant une opinion très mitigée sur Konrad et son obsession. Mais je n’imaginais pas abandonner la lecture des polars d’Indridason parce que je n’appréciais pas un personnage.

    Le personnage de Konrad m’est donc devenu beaucoup plus sympathique, moins concentré sur lui-même et ses problèmes d’enfance. Ceci a permis de le voir faire une réelle enquête qui ne débouche pas sur une réponse à ses interrogations et d’avoir de vraies relations sociales.

    Avec des retours en arrière réguliers, l’auteur raconte les relations de Islande, du Danemark et de l’URSS au temps de la Guerre froide, des idéaux radicaux de jeunes islandais. Un très bon point, le passé façonne un pays et ses habitants et influe sur la vie actuelle et Konrad ne supporte pas la retraite et son oisiveté ! Il met le nez dans les affaires d’un teinturier disparu, d’un vieux cadavre réapparu et déterre des souvenirs et des “affaires” que certains auraient voulu laisser dans l’ombre ! Chantage et corruption ne font pas bon ménage avec la vérité.

    J’adore la manière dont Arnaldur Indridason implique son héros, lentement, petit à petit, sans grands effets mais efficacement pour une enquête qui s’avère très intéressante et bien menée, plus “Erlendurienne” en fait !

    Merci au traducteur, Eric Boury, qui sait si bien mettre en valeur les écrits de l’auteur !

    #LesLendemainsquichantent #NetGalleyFrance

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  • Des vieilles Lada qui disparaissent sur des cargos russes ... Pourquoi ? Pour qui ? Et qui est ce cadavre retrouvé sur les rives du Lac Hafravatn ? Et ce corps retrouvé sur un chantier ? Des évènements étranges, apparemment sans lien entre eux, surviennent et Konrad y est lié par son passé de...
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    Des vieilles Lada qui disparaissent sur des cargos russes ... Pourquoi ? Pour qui ? Et qui est ce cadavre retrouvé sur les rives du Lac Hafravatn ? Et ce corps retrouvé sur un chantier ? Des évènements étranges, apparemment sans lien entre eux, surviennent et Konrad y est lié par son passé de flic. Il est temps de solder des comptes, de mettre à jour les mensonges du passé. Konrad se tourne alors vers Leo, son ancien coéquipier.

    Dans ce sixième volet des enquêtes de Konrad, flic à la retraite, Arnaldur Indridason revient à un schéma plus "Erlendurien" et ce n'est pas pour me déplaire. S'éloignant (pas totalement quand même) de la quête intime de vérité de Konrad sur la mort de son père et ses suites, on retrouve une enquête complexe avec une trame historique en fond, la guerre froide et ses conséquences en Islande avec des réseaux de renseignement soviétique.

    C'est le Indridason que j'avais aimé par le passé avec La cité des Jarres ou La femme en vert. J'avoue l'avoir un peu délaissé, lassé par la langueur de la quête de Konrad...Et même si je continue à trouver ce personnage moins attachant que Sveinsson Erlendur, j'ai pris du plaisir à lire cette enquête rythmée qui tend à contredire les clichés sur la littérature noire nordique.

    Qu'en est-il de l'espoir de ces lendemains qui chantent ? Ce polar géopolitique montre le rôle de l'Islande pendant la guerre froide et l'impact sur certaines vies humaines, des jeunes pleins d'illusion. 50 ans après, qu'en reste-t-il ?

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  • Sixième opus de la série avec Konrad, un très bon livre, l'affaire concernant le père de Konrad est en partie élucidé et notre anti-héros à la retraite peut enfin faire la paix avec lui même et devenir humain. L'intrigue est captivante et complexe mais moins intense que les précédents tomes on...
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    Sixième opus de la série avec Konrad, un très bon livre, l'affaire concernant le père de Konrad est en partie élucidé et notre anti-héros à la retraite peut enfin faire la paix avec lui même et devenir humain. L'intrigue est captivante et complexe mais moins intense que les précédents tomes on découvres des flashbacks sur des précédentes enquêtes, plusieurs histoires s'entremêlent, les chapitres sont assez court, la plume est fluide et agréable. Un tome difficile de lâcher avant la fin.

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