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« Naguère les éditeurs avaient pour mission d'accompagner une oeuvre, mais certains se font désormais censeurs, donnent des directives et des leçons, mettent la main à la pâte pour plier le roman aux goûts du jour, oubliant que le métier d'écrire est une aventure solitaire, un engagement de soi, vital et nécessaire : on écrit parce qu'on ne pourrait vivre sans. » En combattante de la liberté, Fatou Diome signe un essai engagé sur sa passion de l'écriture et sur le monde de l'édition : un vibrant plaidoyer pour la littérature et la liberté des écrivains. Membre de l'Académie royale de Belgique, Fatou Diome s'est fait connaître avec Le Ventre de l'Atlantique (Anne Carrière, 2003), grand succès traduit en une vingtaine de langues. Ont suivi plusieurs romans publiés chez Flammarion, puis aux éditions Albin Michel : Les Veilleurs de Sangomar (2019), un recueil de nouvelles, De quoi aimer vivre (2021), et un essai politique, Marianne face aux faussaires (2022).
Un essai intéressant sur l'écriture, ce souffle de vie très bien décrit. De belles métaphores, un style poétique et imagé. J'ai toutefois regretté quelques longueurs et ressassements qui m'ont fait lire certains passages en diagonale pour préserver mon moral.
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