L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Que reste-t-il à écrire sur Yves Saint Laurent ? Tout, ou presque. Trop encombrante, la vérité de l'homme est encore tapie dans la part sombre du mythe. Qui était Yves, le petit Oranais aux yeux perçants ? Un enfant délaissé, né avec une charge impossible à porter dans cette Algérie française structurée par la prédation. Comment dans un tel contexte, ce jeune pied-noir de la classe moyenne a-t-il pu élaborer le rêve de devenir un couturier célèbre ? À Oran, Yves subit des humiliations, desquelles il sort avec un désir vital de vengeance. Richesse et renommée le consolent par intermittence, mais toujours la folie le rattrape. Le prince de Babylone raconte l'histoire d'un être structuré par la haine-de-soi et le mépris de l'autre. Un récit tissé de gloire et de désolation, brodé de secrets. Ci-gît le mensonge ; au-delà d'Yves Saint Laurent, Marianne Vic nous dit toute l'importance d'écrire pour défaire l'hégémonie des mémoires officielles.
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