Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Après Un récit qui donne un beau visage (10/18, n° 3159), nous retrouvons dans ce deuxième volume de la trilogie La Maison de mes pères le jeune Agojaraq, métis eskimo entouré de ses cinq pères possibles et de sa vieille nourrice Aviaja.
Dans ce Grand Nord canadien, empreint de culture eskimo, passent des antihéros magnifiques : Louis le cuisinier français en quête de saveurs nouvelles, le Père Brian, grand escroc devant l'Eternel, ou encore Ivitaq, le vieux chaman un peu déconcerté par l'évolution des mentalités. Toute la tendresse du monde, tout l'humour de Jorn Riel.
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Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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