Imaginez : vous vous baladez sur les quais de San Francisco un dimanche, quand soudain une bohémienne vous saisit la main pour y lire votre avenir. Amusé, vous vous laissez faire, mais son regard se fige, elle devient livide. Ce qu'elle va finalement vous dire, vous auriez préféré ne pas l'entendre. À partir de là, rien ne sera plus comme avant, et il vous sera impossible de rester sur les rails de la routine habituelle.
C'est ce qui va arriver à Jonathan. À la suite de cette rencontre troublante, il va se retrouver embarqué dans une aventure de découverte de soi ponctuée d'expériences qui vont changer radicalement sa vision de sa vie, de la vie...
" La leçon de bonheur. " Pierre Vavasseur - Le Parisien / Aujourd'hui en France
Ce roman développement personnel m'a beaucoup plu et intéresser, il nous apprend à vivre comme son nom l'indique !
C'est donc ça, la littérature "Feel Good" ...
Enfin, Feel Good... feue ma vieille tante aurais dit "Cucul-la praline", ou plutôt "Cucul-la-praloche". C'est comme ça qu'elle disait ma vieille tante, parce que, voyez-vous, quand elle se rendait compte que je déconnais, ma vieille tante, elle y allait pas par quatre chemins, elle me chopait dans un coin et me balançait ses quatre vérités ! Oui, elle était du genre droit au but, elle, pas comme cette Gnan-Gnan de tante Margie qui nous fait toute une circonvolution pour que son zozo de neveu retrouve le bon chemin... m'enfin, bref, on n'est pas là pour parler de ma vieille Tatie, elle est morte, en plus !
Donc, c'est ça le "Feel Good"...
Monsieur Gounelle, je constate que vous n'avez pas QUE une belle gueule, la vie vous a pourvu aussi de quelques neurones balancés au bon endroit... Il a senti le filon, et ça lui réussi, il faut croire !
Parce que son truc, là, il faut le dire tout net, c'est mou, c'est long et ça colle ! Mais, au passage, c'est pas déplaisant non plus !
Un p'tit peu de Coelho, un brin mystique, et qui questionne, et gnin-gnin-gnin, sur le sens de la vie, et patati, nos vies défaillantes, et patata, et qui exploite au passage les incertitudes fondamentales de tout être humain...
Un p'tit bout de Lévy, aussi, ça marche pas mal, ça, et qu'il cherche, et qu'il fait du mystère, du mystique, du paraquelquechose, s'attardant au passage sur les nouvelles sciences, celles qui dépassent l'entendement, mais qui restent quand même un peu réalistes...
Et puis, une p'tite touche d'Amélie Poulain, parce que y'a qu'ça d'vrai, ça fait rêver les gens, les Bisounours avec un coeur gros comme ça... la culture pop', elle a ça d'extraordinaire que, quand ça marche, elle rapporte le pactole !
Un peu de <a href="/auteur/Bernard-Werber/4362" class="libelle">Werber</a> aussi, si, si, remarquez bien, petites remarques éco-responsables, douleur d'un monde déconnecté de la nature, préoccupations existentielles de bas étage, vous voyez, je vous l'avais dit...
Comment dire ?
J'ai finalement passé un moment bien sympathique avec ces personnages stéréotypés, clichés à souhait... j'ai bien aimé, au final, leurs bons sentiments dégoulinants... Et puis, c'est pas faux, c'qu'elle dit la tante Margie, après tout, moi, ma tante, elle est plus là pour la contre-dire...
Tel fut donc mon premier contact avec ce Monsieur Gounelle, entre deux eaux, mais ça ne sera pas mon dernier : le cri du Feel Good s'immisce déjà en moi de façon insidieuse, et ça me plaît, finalement, de me marrer devant des héros tous plus cuculs les uns que les autres...
Alors, rendez-vous est pris, Monsieur Gounelle, j'irai voir, un de ces quatre, entre deux périodes de lecture trépidante, si les Dieux voyagent vraiment incognito, ou si je peux trouver un trésor qui dort en moi, on ne sait jamais, après tout, vous qui me promettez la liberté, me raccommoderez-vous peut-être avec les philosophes, même s'ils ne sont pas toujours sages...
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Un livre proposé par une amie dans une période où j’avais le moral en berne. Ne sont-ils pas respectables ces auteurs qui écrivent pour apporter aide et empathie à autrui ? Sait-on jamais de quoi demain sera fait ? de quoi aurai-je un jour besoin, où me tournerai-je pour remonter une grande pente ? Je ne renie rien.
Dans cette histoire, Laurent Gounelle tente de donner les outils que chacun devrait être en mesure de déployer au cours des méandres d’une vie.
Cette lecture ne m’a pas détruite, pas plus qu’elle ne m’a fait rêver.
Un début un peu long qui m'a d'abord fait pensé que je ne le lirais pas jusqu'au bout. Pourtant, un bout d'un certain temps, je me suis retrouvé prise dans l'histoire sans vraiment m'en rendre compte.
J'ai finalement bien aimé ce livre, et je trouve l'histoire vraiment intéressante et touchant. Il y a toutefois des passages dont je n'ai pas réussi à comprendre l'intérêt ni le lien avec l'histoire. Un livre qui, au final, permet de se poser des questions.
J'ai ete attiré par la couverture du livre tres jolie, puis l'hsitoire qui me paraissait gentillette , un peu a la Marc Levy ou a la Guillaume Musso, je m'attendais à un roman à defauts j'ai eut le droit a un livre sur le developpement personnel ponctué de cours d'histoire .
Le résumé vous vous baladez sur les quais de San Francisco un dimanche, quand soudain une bohémienne vous saisit la main pour y lire votre avenir. Amusé, vous vous laissez faire, son regard se fige, elle devient livide et vous annonce le pire ... Ce qui va arriver à Jonathan ...
Jonathan va croire en cette prédiction, il va alors partir voir sa tante qui lui fait des longs cours d'histoire et philosophique et Jonathan va changer ses pensées, sa façon de manger, d'être dans sa vie, mais avec les autres aussi ... Ce livre à eut le don de me faire sourire plusieurs fois ce qui n'est guère facile , les petites philosophies comme faire le bien autour de soi pour que les gens se sentent bien sont mignonnes même si on s'en doute déjà ... Se ressourcer et se déconnecter, je ne suis pas fan de la technologie, elle me sert par obligation parce qu'il faut avouer qu'aujourd'hui tout se fait ou se fera par ce biais dans le futur, on n'y échappe pas même si j'ai essayé ... Mais je continue à prôner les balades en montagne, en forêt, en ville ... Oui téléphone avec moi, mais juste en cas d'urgence si un membre qui me tient à cœur à un souci ou s'il m'arrive quelque chose ... C'est bien parfois la modernisation !
Personnellement je n'irai pas à San Francisco ayant peur de prendre l'avion, ensuite une bohémienne qui me prend la main en plein Paris je m'en méfierai et pas sure que cela m'amuserait ... Qu'elle m'annonce ma mort euh oui on va tous mourir un jour... Je ne vais pas changer et faire le bien parce que je vais mourir fallait le faire hier, faut le faire aujourd'hui pendant qu'on est encore en vie, le faire un peu tous les jours à chacun son échelle, avec ses moyens ... Pour etre bien il faut savoir penser à soi avec des petits rien un bon café, une balade, un bon livre, un bon repas ... Et penser aux autres en partageant parfois, c'est même plaisir, ou en les écoutant, en leur donnant un conseil ... Après mon cynisme va dire que les inconnus sont des inconnus et que je n'ai ni le temps, ni les moyens, ni le courage de Jonathan !
Pour finir, je citerai, Pierre Corneille :" La façon de donner vaut mieux que ce qu’on donne"
Lorsque Jonathan apprend qu'il va mourir, il va voir la vie autrement et va décider de la vivre différemment: oser certaines choses, reundre les gens heureux par des petites attentions.... se concentrer sur l'essentiel et non pas sur le superflu.
bref il en faut peu pour être heureux .
J'ai tout d'abord eu l'impression de me plonger dans un Marc Levy ! Bon pourquoi pas ?une lecture un peu légère ça ne fait pas de mal...
Et puis il y a des messages distillés tout au long du récit qui font réfléchir sur notre vision de la vie, des petits jeux que je me suis moi même amusé à faire.
On sent l'auteur engagé dans le développement personnel, l'écriture est fluide agréable les personnages attachants. ça se lit bien, il m'en restera sans doute peu de chose mais c'est une première approche qui peut plaire avant de fouiller un peu plus profondément dans ces théories et autres mises en pratique.
LE JOUR OU J’AI APPRIS A VIVRE DE L’AUTEUR LAURENT GOUNELLE 286 PAGES EDITIONS POCKET AVRIL 2016
Résumé :
Et si tout commençait aujourd'hui ?
Imaginez : vous vous baladez sur les quais de San Francisco un dimanche, quand soudain une bohémienne vous saisit la main pour y lire votre avenir. Amusé, vous vous laissez faire, mais dans l’instant son regard se fige, elle devient livide. Ce qu’elle va finalement vous dire… vous auriez préféré ne pas l’entendre. À partir de là, rien ne sera plus comme avant, et il vous sera impossible de rester sur les rails de la routine habituelle.
C'est ce qui va arriver à Jonathan dans ce nouveau roman de Laurent Gounelle. À la suite de cette rencontre troublante, il va se retrouver embarqué dans une aventure de découverte de soi ponctuée d’expériences qui vont changer radicalement sa vision de sa vie, de la vie...
Mon avis :
Une histoire qui se lit facilement que j’ai apprécié. Le héros de ce récit va pas à pas réapprendre à aimer la vie, redécouvrir les vrais petits bonheurs et aussi, voir derrière chaque être humain les sentiments sincères de chacun… Et, les fausses amitiés…
Il faudrait que je lise un deuxième roman de cet auteur que je découvre pour m’imprégner et me refaire une idée sur son écriture.
Laissez-vous tenter par cette lecture.
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