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Le commandant Niémans a intégré l'office central contre les crimes de sang avec le lieutenant Ivana Bogdanovic .Appelés pour enquêter sur la mort suspecte d'un dirigeant d'un groupe religieux vivant suivant leurs propres règles du fruit des vendanges d'un vignoble alsacien .Ivana va s'infiltrer parmi les journaliers pour espionner les membres de la communauté tandis que Niémans bouscule tout le monde pour que l'enquête décolle au grand dam du procureur .Un bon Grangé .
Je me suis lancée dans la lecture de ce roman en sachant qu’il n’est qu’une adaptation du second épisode de la série TV Les Rivières Pourpres (1ère saison) avec Olivier Marchal dans le rôle de Niemans et Erika Sainte (Camille Delaunay dans la série, devenue je ne sais pour quelle raison Ivana Bogdanovic dans l’adaptation en livre…). Cela donne un livre court, sec, trop certainement, mais distrayant tout de même. J’ai donc imaginé les personnages en fonction des acteurs de la série que je trouve très bons.
Après la Dernière Chasse, Niemans et sa protégée Ivana, rempilent pour une nouvelle enquête en Alsace où ils sont envoyés par l’Office central contre les crimes de sang. Un homme est retrouvé mort, enseveli sous une fresque dans la chapelle d’un groupe religieux qui vit en autarcie grâce à ses exploitations vigneronnes. Dans cette secte où toute violence est proscrite, difficile de croire qu’il s’agit d’un homicide. Niemans toutefois parvient à le prouver et Ivana, infiltrée dans la communauté, découvre des faits très étranges, à ses risques et périls.
Il est certain que le scénario diabolique réserve quelques suprises de taille. En tant que peintre de la noirceur humaine, Grangé est un virtuose, il nous convie une nouvelle fois sur une enquête ténébreuse, qui convoque ce que la nature excessive de l’homme peut imaginer de pire, tout en étant persuadé de bien faire. Nous parlons ici d’eugénisme, d’une prétendue sélection génétique que se réserve une communauté élitiste…. Trouver plus grandiloquent et machiavélique est difficile. Une fois n’est pas coutume, il s’agit donc d’un scénario adapté en roman, ce qui aurait pu être très réussi et pleinement satisfaisant. Toutefois ce qui me dérange est que justement, j’ai encore l’impression d’avoir affaire à un scénario: le style est bâclé, indigne d’un grand roman de Grangé et les raisons pour lesquelles les personnages agissent tels qu’ils le font restent troubles et peu développées, de même que la psychologie des personnages principaux. Je n’ai pas l’impression d’en avoir appris plus sur eux en lisant le roman qu’en regardant la série, ce qui est dommage car les acteurs donnent envie d’en savoir plus sur les personnages du livre !
Pierre Niémans et Ivana Bogdanova, policiers à l’office centrale contre les crimes de sang, sont devant une nouvelle enquête en Alsace.
Ivana , le temps de l’enquête, va devenir saisonnière dans les vignes d’un domaine, où vivent en reclus des anabaptiste, des émissaires avec leurs propres règles, église et coutumes, à part du monde moderne.
Samuel, “l’évêque” de leur église, a été retrouvé mort, son corps enseveli sous des décombres, mort accidentelle ou meurtre ?
Débute une histoire improbable de croyances d’un autre temps, de la recherche de l’élite et de l’ADN parfait, mais aussi de coutumes étranges et incomprises par les personnes extérieures à leur “secte”.
Le duo Ivana et Niémans est complètement improbables. Elle la rebelle, impulsive qui n’en fait qu’à sa tête, lui un vieux flic borné, très réfléchi, qui n’écoute pas sa hiérarchie. Ils abordent tous les deux de façon complètement différente, l’enquête. Elle en essayant avec subtilité d’infiltrer les émissaires, lui en fonçant dans le tas, quitte à mettre tout le monde en garde à vue. Mais au final, s’est ensemble qu’ils vont résoudre cette terrible enquête, ils sont complémentaires.
Un très bon roman qui aborde des thèmes durs. Je recommande, un roman qui se lit d’une traite !
J'ai évité de lire quoi que ce soit au sujet de ce roman avant de l'avoir terminé et je découvre maintenant qu'il s'agit de l'adaptation d'un épisode de la série télé Les Rivières pourpres dont j'ignorais également l'existence… Je sais en tout cas ce que je vais regarder ce soir ! Si je suis une grande amatrice de thrillers, j'avoue que je n'avais encore jamais lu Jean-Christophe Grangé. C'est terrible, ces promesses que l'on se fait à soi-même et que l'on peine à tenir ! Je m'étais en effet toujours promis de lire un de ses romans, plutôt un des premiers, et voilà qu'on me met entre les mains le dernier ! le Jour des cendres – c'est donc le titre de ce roman paru en 2020 – conduit ses lecteurs dans une petite communauté religieuse repliée sur elle-même et dont la saison des vendanges semble être une sorte d'acmé spirituelle et sociale puisqu'exceptionnellement les portes s'ouvrent à des saisonniers en quête de travail et de tranquillité. Très vite, un corps découvert dans une chapelle en cours de rénovation sème le trouble et le capitaine Pierre Niémans chargé de l'enquête refuse d'y voir un accident. Son adjointe, Ivana Bogdanovic, ne tarde pas à s'infiltrer dans la communauté anabaptiste pour mieux comprendre son fonctionnement et recueillir de précieux indices…
J'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire et la lecture des premiers chapitres a été assez laborieuse. Pourtant, et je ne saurais dire quand précisément, j'ai par la suite été complètement happée par l'histoire et je me suis mise à dévorer ce roman, avide d'en connaître la conclusion. Je ne connaissais rien des personnages, ce n'est absolument pas gênant, quelques allusions sont faites à leur passé mais cela n'entrave en rien la compréhension de ce volume. Parce qu'il s'agit d'une enquête parmi d'autres, on pourrait reprocher des portraits un peu survolés, mais cela ne m'a pas posé problème car c'est, de fait, l'intrigue qui est mise au premier plan. C'est une narration assez dynamique qui ne s'encombre pas de descriptions inutiles. Ce n'est pas le thriller du siècle, mais la fin, qui est tout de même bien rapide, reste satisfaisante. A lire entre deux lectures plus éprouvantes émotionnellement.
A peine remis de leur enquête précédente (voir « La dernière Chasse »), Pierre Niemans et Ivana Bogdanovic sont envoyés dans le Haut Rhin où le corps d’un religieux vient d’être retrouvé dans les décombres d’un chantier de restauration d’église. Cela ressemble tellement à un accident que les gendarmes ont a peine enquêté. Mais la victime n’est pas n’importe quel religieux, c’est le membre d’une congrégation ancienne, très fermée et très particulière. La communauté vit selon les principes du XVIIIᵉ siècle (comme les Amish), elle produit un vin d’Alsace exceptionnel et cela suffit à leurs subsides. Niemans est persuadé qu’il ne s’agit pas d’un accident, et Ivana s’est fait engagé comme saisonnière pour les vendanges : lui dehors, elle à l’intérieur, ils vont fouiller les sombres secrets d’une communauté en apparence non violente, mais en apparence seulement.
Lorsque s’ouvre le premier chapitre du « Jour des Cendres », Niemans vient d’arriver sur site alors qu’Ivana est déjà infiltrée parmi les saisonniers, c’est peu dire que le roman part bille en tête ! Passionnant comme « La Dernière Chasse », peut-être même un peu plus, « Le Jour des Cendres » a peu de défauts mais il en a quand même un de taille : la crédibilité. La communauté dont il est question ici vit en cercle fermé dans une immense propriété de la route des vins d’Alsace, ses membres vivent en autarcie, les enfants ne vont pas à l’école, les malades ne vont pas à l’hôpital, les policiers ne rentrent jamais dans le domaine, les services de l’État (sécurité sociale, état civil, recensement…) s’arrêtent à leur porte. Ce qui est possible aux États-Unis ne l’est pas en France, pays laïc, centralisateur et jacobin. Et autant le dire tout de suite : on n’y croit pas une seconde ! Il faut donc fermer les yeux sur la crédibilité du postulat de départ pour rentrer dans le roman. D’un côté on a Niemans qui fait une enquête traditionnelle avec ses gros sabots et sa grande bouche, et de l’autre Ivana qui essaie de se couler dans une communauté qui exerce sur elle un attrait étrange. La morale de cette communauté tient en un seul adjectif : lénifiante. Pureté, docilité, magnanimité, exaltation du sentiment religieux, tout cela semble séduire Ivana (sûrement à cause de son passé ) mais laisse le lecteur mi-dubitatif, mi-amusé, en tous cas fort peu convaincu ! L’intrigue se déroule sans à-coup, les révélations s’enchaînent : autopsie bâclée, saisonniers soupçonnés, dissimulation d’œuvre d’art, et peu a peu se dessine une voie, sans surprise celle du sang. C’est décidément une marotte de Jean-Christophe Grangé, cette obsession du sang, du lignage, de sa pureté. Le dénouement est comme d’habitude encore plus glauque que l’enquête elle-même ! D’une certaine manière, ce roman fait écho au précédent qui se déroulait de l’autre côté de la frontière : le contexte est très différent, le fond est le même. Le roman se lit vite et facilement, on a même du mal à le lâcher ce qui est le signe d’u bon thriller, efficace et bien troussé. Grangé n’abuse pas du suspens artificiel et des cliffhangers à chaque fin de chapitres, il sait doser ses effets. En résumé, si on accepte le postulat improbable de départ, alors on passe un bon moment avec « Le Jour des Cendres », sa secte d’illuminés consanguins et ses deux enquêteurs dissemblables mais néanmoins complémentaires.
Quand le commandant Niémans est appelé en Alsace pour un cadavre trouvé dans une chapelle en restauration, il décide que son adjointe Ivana infiltrera la communauté mise en avant dans cette affaire. Ivana se fait embaucher en tant que saisonnière pour les vendanges tardives.
En effet ces gens vivent en autarcie en évitant le monde extérieur.
Comment se fait-il que l'échafaudage qui soutenait la voute se soit effondré et surtout pourquoi les débris de la fresque ont-il été ramassés si vite ?
Ivana se rend compte qu'il se passe des choses bizarres et essaie de se faire Rachel comme amie mais Rachel est méfiante ......
La fin des vendanges approche et Rachel parle à Ivana de ce jour comme un jour particulier ......
De plus d'autres morts ont lieu ....... et toujours pas de mobile ...........
Un thriller qui prend aux tripes et qu'on ne lâche pas ......... que se passe t-il ce fameux jour des cendres ?
Nous retrouvons Ivana et Niemans au pays des vendanges. L'une sera infiltrée en tant que saisonnière au sein d'une communauté des plus étranges. L'autre, enquêtera sur ce qui lui semble être un meurtre dissimulé en accident.
Les anabaptistes sont comparés à une secte, cependant ses membres le nient. il s'agit de fervents catholiques qui vivent selon des préceptes de la religion depuis de nombreuses années.
Les mondains vont entrer dans ce site sacré et y déceler le mystère, non sans rencontrer de nouveaux cadavres. Pourquoi? Que veulent-ils dissimuler?
Echappant à la mort, Ivana élucidera le mystère. A force de consanguinité et d'inceste, certains enfants naîtront avec des malformations… l'objectif de leur communauté: créer une race pure en sacrifiant les erreurs…
Ivana et Niemans découvriront que Rachel qui se cache derrière ces meurtres ne souhaitait qu'une chose: mettre un terme à ces sacrifices d'enfants, d'autant plus que cette année, c'est l'un de ses enfants qui devait être sacrifié en ce jour des cendres.
Ce n'est certes pas le meilleur roman de Grangé, mais il n'empêche, c'est toujours un plaisir de se plonger dans un thriller de cet auteur.
Manque quelque peu de profondeur, mais le suspense et le plaisir sont au rendez-vous.
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