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« Si tu sentais comme la plus belle image de toi s'épanouit souvent toute vivante en moi, alors tu sentirais aussi qu'elle éclipse tout, tout ce qui m'entoure, que la moindre impression ne fait qu'éveiller en moi le grand unique sentiment qui me livre entièrement à toi. » * Trois images, trois poèmes pour approcher la même scène sur quoi elles ouvrent. Intime et commune, infinie. Ouvrant elle-même sur rien d'autre que la nuit d'avant tout visage et tout livre.
Rien avant : la scène est d'origine. C'est elle qui fait l'origine et annonce la fin : qui fait venir ensemble nos corps seuls et les mots pour nous retenir dans la vie. Pour nous accueillir et nous quitter. Nous adorer. Nous abandonner l'un à l'autre comme celui à sauver. C'est chaque jour, chaque nuit. Chaque fois que deux s'apparaissent comme si c'était eux maintenant le visage mourant du ciel et un crie « Viens ! » Alors ça recommence, le grand unique sentiment : ça qui revient depuis le commencement, avec les cris, demander l'impossible. Franchir ainsi quand même l'abîme entre nous du ciel.
* Suzette Gontard, lettre à Hölderlin, février 1800
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