Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Valentina coule des jours paisibles sur sa petite île au large de l'Italie avec son fidèle acolyte à quatre pattes, Ferdinand, et travaille dans un bar.À Londres, Laure fait ses premiers pas en tant que journaliste, et tous les moyens sont bons pour épater le rédacteur taciturne qui la chaperonne.Tout oppose les deux jeunes femmes jusqu'à l'apparition inopinée d'une seule et unique photographie qui va bouleverser leurs existences à jamais...
Pour vous parler un peu plus de la délicieuse écriture de l'autrice, ce qui m'a aussi immensément séduite à ce niveau-là, c'est l'indéniable évidence de tout l'amour débordant qu'Angéline Michel porte à ses "enfants" d'encre et de papier. Cela se sent définitivement qu'elle ne leur souhaite rien de moins que tout le bonheur et l'or du monde et elle leur en fait cadeau avec une tendresse et une justesse infinies. Valentina et Laure, les deux irrésistibles héroïnes solaires de ce récit, ne rechignent jamais à la tâche. Elles se tracassent souvent (comme je me reconnais bien dans ce trait-là de leurs personnalités respectives - et dans beaucoup d'autres, d'ailleurs !), vont devoir prendre des décisions semblant être difficiles au commun des mortels, y compris bien entendu à elles mêmes, mais qui sont en réalité bêtes comme choux (il suffit de suivre la voie/voix de son cœur - plus facile à dire qu'à faire, j'en ai parfaitement conscience), et elles vont faire cela progressivement, en prenant en effet petit à petit la peine d'écouter leur être intérieur tout en restant fidèles à leurs principes. Vous l'aurez compris, rien n'est jamais véritablement facile. Néanmoins, quand on fait son petit bonhomme de chemin avec le sourire et toujours la main tendue vers les autres, il ne peut nous arriver que du bon. Tout est question de patience et d'efforts, c'est ce que les parcours très différents l'un de l'autre mais amenés au bout du compte à ne faire qu'un de Laure et Valentina nous enseignent, entre autres choses. Ce qui est certain, c'est que le cœur d'Angéline Michel déborde d'amour pour chacun des nombreux personnages de ce récit hors du commun et que cette déferlante de douceur, d'espièglerie et de bonté est purement et simplement contagieuse. Au fond, je dirais que mon seul minuscule regret avec Le Goût du Bonheur concerne son côté "dépaysement", ou ce qui m'avait justement le plus attiré quand j'avais lu le communiqué de presse réalisé pour sa promotion. J'aurais effectivement aimé des descriptions plus poussées et en longueur des deux lieux de vies de nos adorables héroïnes, en particulier de La Maddalena, le coin de Sicile si idyllique où vit notre superbe Valentina et le meilleur chien du monde, j'ai nommé Ferdinand. Je pense que j'aurais aimé que ce livre soit beaucoup plus porté sur le contemplatif comme cela avait pu être le cas avec La Maison au bord de la nuit de Catherine Banner qui nous dépeint avec moult détails méticuleux la magnificence de l'île Santa Lucia, en Sicile toujours. Après, si Angéline Michel avait procédé de cette manière, on aurait totalement perdu l'intérêt du roman feel good qui est d'avancer rapidement dans l'intrigue sans s'appesantir et avant toute chose sans se prendre la tête. Et puis, ce livre m'a permis de découvrir l'exceptionnel archipel qu'est La Maddalena en effectuant les recherches adéquates pour en apprendre beaucoup plus sur cet authentique paradis sur Terre et c'est tout ce qui compte !
Un livre feel good génialissisme!!! Je n'arrivais pas à m'en détacher et il est trop court.....
On suit en parallèle 2 jeunes femmes, une Italienne serveuse entourée de ses amis et de son chien et une Anglaise qui ne pense que Boulot !!! Un jour pourtant, leurs chemins vont se croiser et même s'entremêler... Pourquoi ? Comment ? Lisez !!
Une belle plume, pas gnangnan, des propos savoureux... Des personnages secondaires attachants, une envie d aller sur cette île où règne la dolce vitæ.. Un trop beau moment de lecture, de détente idéal avec cette météo
Avant tout, c'est le titre Le goût du bonheur qui m'a attiré. En ce moment, vous avez pu remarquer que je lis beaucoup de romans feelgood. J'ai envie de romans doudous qui font du bien au moral tout en m'apportant quelque chose : un message, de la fraîcheur, un moment de détente etc.
Le goût du bonheur m'a apporté un moment de lecture agréable et frais. L'écriture simple et fluide fait que nous suivons aisément les personnages dans leur histoire. N'ayant plus le résumé en tête, j'étais impatiente de découvrir quel était le lien entre Valentina et Laure. Les points de vues s'alternent entre les deux personnages et au premier abord, elles n'ont rien en commun. Je me demandais vraiment quel était l'élément déclencheur. En parallèle de cela, Angéline Michel nous offre une autre intrigue. En effet, Valentina va se retrouver embarquer dans une chasse au trésor qui la concerne et peut-être qu'au bout elle découvrira « le goût du bonheur ».
Je me suis tout de suite attachée à Valentina. J'ai aimé son caractère, sa manière de penser et son petit quotidien. Elle est bien entourée et j'ai tout autant aimé ses amis : Nikola, Mauro, Isabelle ou encore le merveilleux Ferdinand. On a envie de passer un moment convivial avec eux. Je sentais le bon air de la Sardaigne, j'attendais la langue italienne dans mes oreilles. J'ai voyagé grâce à Valentina et j'ai juste envie c'est de m'enfuir en Italie.
J'ai eu un peu plus de mal avec Laure. Je l'ai trouvé souvent superficielle et parfois hautaine dans son attitude envers les autres. Dans la deuxième partie du roman ça allait un peu mieux.
Même si j'ai passé un chouette moment de lecture certains points m'ont dérangés. En premier, j'ai trouvé qu'il y avait trop de facilités et d'évidences. Dans ce genre de récit, c'est souvent prévisible et ce n'est pas cela qui m'a le plus gêné. C'était tellement facile que ça en devenait invraisemblable. D'ailleurs beaucoup d'éléments le sont. J'ai trouvé parfois la réaction des personnages en total décalée avec la situation. Je pense que si une telle nouvelle arrivée dans notre vie, on ne la prendrait pas aussi bien et surtout je pense qu'on se poserait plus de questions et que ça bouleverserait un peu plus notre quotidien. J'ai aussi trouvé certaines incohérences dans l'attitude autant que dans les propos des protagonistes. Alors, certes c'est de la fiction et on peut rêver et tout n'est pas obligé d'être réaliste, mais dans les romans contemporains, j'ai besoin d'avoir cette touche de réalité car cela se passe dans notre monde et peut se dérouler dans notre quotidien. Qu'il y ait des éléments invraisemblables dans un roman de fantasy, fantastique, ça ne me gêne pas car tout l'univers n'est pas réel mais là... Tout cela est bien sur que mon point de vue et ce n'est pas pour autant que je n'ai pas aimé le livre.
En bref, Le goût du bonheur d'Angéline Michel est un roman feelgood sympa à lire. L'histoire est agréable malgré les quelques défauts à l'histoire. L'écriture de l'auteure et la fraîcheur de l'histoire nous les font oublier.
Merci à Babelio.com et Éditions J'ai Lu pour m’avoir permis de découvrir ce roman en avant-première.
Un mot sur le livre en lui-même que j’ai trouvé très joli, une couverture haute en couleurs et attractive. J’adore également le format car c’est finalement un bon compromis entre le broché et le poche et il se glisse parfaitement dans un sac à main.
En ce qui concerne l’histoire, je l’ai beaucoup aimée. L’auteure aborde une thématique qui me touche beaucoup et qui m’a séduite, forcément. De plus, mon côté fleur bleue a adoré les jolies romances. Les personnages ont chacun leur personnalité distincte et c’est vraiment un bon point puisque ça nous permet de toujours savoir de qui on parle, sans se mélanger. On voyage entre Londres et la Sardaigne et ça nous donne vraiment envie de visiter cette petite île Italienne et ses jolies plages.
Cependant, j’ai trouvé que le style d’écriture, simple, manquait de profondeur et d’émotions. Pour une telle histoire, j’aurais dû verser ma petite larme à plusieurs moments, ce qui n’a absolument pas été le cas, c’est dommage. Je trouve qu’on survole un peu trop l’histoire sans vraiment nous attacher, sans plonger véritablement dedans, parce qu’on ne nous en donne pas l’occasion, finalement. On passe trop vite de Valentina à Laure et je suis vraiment restée sur ma faim en ce qui concerne les sentiments que j’attendais de cette histoire. Certains aspects de l’histoire auraient vraiment mérité d’être creusés un peu plus et décrits avec plus de sensibilité.
Une lecture qui n’a pas été addictive, donc, mais ce n’est que mon (humble) avis et je pense que ce roman plaira à de nombreux lecteurs.
Pour finir, j’ai trouvé dommage qu’il reste quelques coquilles et erreurs typographiques.
En bref : un joli premier roman, qui avait, je viens de le découvrir, été d’abord autoédité. Félicitations, Angéline ! et je souhaite une belle vie à ce roman qui sort le 13 mars.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
L’écrivain franco-vénézuélien Miguel Bonnefoy poursuit l’exploration fantasmagorique de sa mémoire familiale...
Des romans policiers à offrir ? Faites le plein de bonnes idées !
Nostalgique, nomade ou plutôt romantique ? Trouvez le livre de la rentrée qui vous correspond !