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À soixante-dix-neuf ans, Anthony Peardew a passé la moitié sa vie à collecter les objets perdus, dans l'espoir de réparer une promesse brisée. Réalisant que son temps est compté, le vieil homme, autrefois écrivain célébré, décide de léguer sa demeure victorienne et les «trésors» qu'elle recèle à sa fidèle assistante Laura, qu'il pense être la seule à même de restituer les objets à leurs propriétaires. En exprimant ses dernières volontés, il est loin de se douter de leurs répercussions et de l'heureuse suite de rencontres qu'elles vont provoquer...
Très anglais. !
Lent, descriptif, désuet, cup of tea toutes les dix pages….
On sait comment chacun est vêtu dans les moindres détails, quel napperon est sous la théière….
Bref, des détails, des détails, de quoi annihiler toute imagination chez le lecteur.
Too british for me
Provisoirement, je vais cesser ma lecture.
J’en suis à la page 70 Je reprendrai un jour où je serai en meilleures dispositions, parce que j’ai quand même envie de connaître cette histoire.
Objets perdus par les humains….esprit perdu parmi les objets…
Un véritable bijou que ce premier roman innovant, tant par la construction du récit que par son thème. Un texte so british : tendre, drôle, suranné, émouvant…qui redonne vie aux objets perdus et dans lequel deux histoires parallèles se suivent et se croisent : Anthony Peardew, vieil écrivain à la retraite, traumatisé par la mort brutale de Thérèse son seul et unique amour et la perte d’un objet lui appartenant qui passe sa vie à racheter cette perte en donnant vie aux objets qu’il trouve. Il lègue sa passion et sa belle demeure victorienne à Laura, sa fidèle assistante, au seul devoir de poursuivre sa quête. De leur côté, Bomber, éditeur renommé et à succès et Eunice, son assistante et complice, réunis par la passion du cinéma et de la littérature vivent un amour platonique et cruel : Bomber est atteint d’Alzheimer.
Une fiction romanesque sans artifice, attachante sans mièvrerie que l’on a du mal à quitter et qui vous emporte au pays des objets perdus…
http://lechatquilit.e-monsite.com/pages/mes-lectures-2017/le-gardien-des-choses-perdues.html
Un premier roman so bristish qui se déguste comme une tasse de thé pour une lecture décontractée. Son atmosphère et la caractérisation des personnages est typiquement anglaise et fait beaucoup penser au roman "La dernière conquête du major Pettigrew".
Ruth Hogan a mis beaucoup d'ingrédients dans ce livre et nous invite à des aller-retour dans le temps avec deux intrigues qui se côtoient pour se rejoindre dans un final très original et émouvant.
Mais la véritable originalité de ce roman sont les destins mis bouts à bouts des objets égarés ou abandonnés. Comme le titre du roman l'indique, ce sont bien ces objets perdus qui forment la trame symbolique du livre, leur collecte d'abord, occupation principale d'Anthony, le vieil homme dévasté dans sa jeunesse par la mort de sa fiancée ; la recherche de leurs propriétaires, ensuite, mission dévolue à Laura, amie puis héritière d'Anthony. Livre sur la transmission, la mémoire, la différence et le sens de la vie, Le gardien des choses perdues est écrit dans un style simple avec des dialogues facétieux et une réelle capacité à mener de front plusieurs chemins narratifs.
Les images et les recits défilent pour une lecture douce et harmonieuse dans un univers so british.
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