"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Qui n’a jamais perdu une clef ou un bouton ou je ne sais quelle petite chose un jour dans la rue ?
Voilà l’histoire d’Anthony Peardew, « Le Gardien des choses perdues » de Ruth Hogan.
Ce vieux monsieur a lui-même perdu un médaillon, seul souvenir de sa bien-aimée, et va passer sa vie à ramasser des choses trouvées dans la rue, en espérant les restituer à leur propriétaire.
Ce roman est aussi l’histoire de ces petites choses qui font la vie.
Très anglais. !
Lent, descriptif, désuet, cup of tea toutes les dix pages….
On sait comment chacun est vêtu dans les moindres détails, quel napperon est sous la théière….
Bref, des détails, des détails, de quoi annihiler toute imagination chez le lecteur.
Too british for me
Provisoirement, je vais cesser ma lecture.
J’en suis à la page 70 Je reprendrai un jour où je serai en meilleures dispositions, parce que j’ai quand même envie de connaître cette histoire.
Objets perdus par les humains….esprit perdu parmi les objets…
Un véritable bijou que ce premier roman innovant, tant par la construction du récit que par son thème. Un texte so british : tendre, drôle, suranné, émouvant…qui redonne vie aux objets perdus et dans lequel deux histoires parallèles se suivent et se croisent : Anthony Peardew, vieil écrivain à la retraite, traumatisé par la mort brutale de Thérèse son seul et unique amour et la perte d’un objet lui appartenant qui passe sa vie à racheter cette perte en donnant vie aux objets qu’il trouve. Il lègue sa passion et sa belle demeure victorienne à Laura, sa fidèle assistante, au seul devoir de poursuivre sa quête. De leur côté, Bomber, éditeur renommé et à succès et Eunice, son assistante et complice, réunis par la passion du cinéma et de la littérature vivent un amour platonique et cruel : Bomber est atteint d’Alzheimer.
Une fiction romanesque sans artifice, attachante sans mièvrerie que l’on a du mal à quitter et qui vous emporte au pays des objets perdus…
J'avoue avoir avant tout été attirée par la couverture et le titre. Puis je me suis plongé - c'est le cas de le dire - dans la lecture.
Depuis 12 ans, Masha, psychothérapeute, est hantée par la mort de son fils, Gabriel, dont elle se sent responsable.
Elle se rend depuis quotidiennement dans une vieille piscine de son quartier et reste le plus longtemps possible sous l'eau, résignée à enfin réussir (!) un jour à se noyer. Mais l'instinct de survie étant le plus fort...
Et puis il y a Alice. Mais qui est-elle? On le devine au fur et à mesure de la lecture.
J'ai aimé l'ambiance (j'ai un gros faible pour les auteurs anglais dont j'apprécie beaucoup l'humour), les personnages haut en couleur et le fait que malgré l'horreur (y-a-t-il quelque chose de pire au monde pour un parent que de perdre son enfant?), la vie se poursuit et on peut (re)naître, autrement.
Une lecture agréable.
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