"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Voulez-vous vraiment connaître la vérité ?
Le dernier message pourrait vous plonger dans des abysses d'angoisse et de folie...
Île d'Iona, à l'ouest de l'Ecosse. des plaines d'herbes brunes parsemées de roches noires. Et au bout du " Chemin des morts ", la silhouette grise du monastère.
Derrière ces murs suppliciés par le vent, un pensionnaire vient d'être retrouvé assassiné. Son corps mutilé de la plus étrange des façons. C'est l'inspectrice écossaise Grace Campbell qui est chargée de l'enquête. Après un an de mise à l'écart, elle joue sa carrière, elle le sait.
Sous une pluie battante, Grace pousse la lourde porte du monastère. Elle affronte les regards fuyants des cinq moines présents. De la victime, ils ne connaissent que le nom, Anton. Tous savent, en revanche, qu'il possédait un cabinet de travail secret aménagé dans les murs. Un cabinet constellé de formules savantes...
Que cherchait Anton ? Pourquoi l'avoir éliminé avec une telle sauvagerie ? Alors qu'elle tente encore de retrouver confiance en elle, Grace ignore que la résolution d'une des énigmes les plus vertigineuses de l'humanité repose tout entière sur ses épaules...
Après les succès du Cri, de Complot, de L'Île du Diable...
Un thriller époustouflant Avec Le dernier Message , Nicolas Beuglet met en scène sa nouvelle héroïne, l'inspectrice écossaise Grace Campbell, jeune femme solitaire et mystérieuse.
Résumé :
En Ecosse l’île Iona dans un décor de plaine d’herbe brunes et de roche noires où un sentier peut conduire à la mort au bout se dessine un monastère. Cette fois-ci ce n’est pas Sarah Geringën l’inspectrice des précédent roman (Le cri , complot et l’île du diable) mais Grace Campbell une inspectrice Ecossaise. Avec la même mécanique sur la nouvelle protagoniste, une femme forte, avec ces valeurs, ces doutes et ces failles.
Au sein de ce fameux monastère un pensionnaire trouve la mort, Grace est chargé de l’affaire après une année mise à l’écart, les moines fuyant le regard de Grace.
La victime se nomme Anton et il travaillé dans cabinet secret dans le monastère, le bureau contient des formules savantes. Quelles recherche faisait Anton ? Grace sera t’elle à la hauteur sur cette affaire car elle y joue son poste ? Va t’elle résoudre cette énigme dont dépend le bien être de l’humanité.
Nicolas Beuglet est un auteur acharné, il fait énormément de recherche pour partir sur de bonne base d’écriture, beaucoup de travaille pour s’inspirer de quelques lignes pour collé à la vérité.
Extrait :
Des plus hautes sphères des espaces infinis, une main invisible avait saupoudré le ciel d’encre d’une neige de diamants, d’émeraudes et de saphirs dans le spectacle le plus enchanteur qu’il fut offert à l’homme sur cette terre.
Envoûtée, Grace suivit la langue nacrée de la Voie lactée traversant le ciel tels les vestiges d’une éruption d’étoiles.
Pendant un long moment distendu, elle n’était plus Grace, elle n’était plus un être humain, seulement une particule flottant dans l’espace.
Au-delà de l'intrigue déjà développée par les autres lecteurs, c'est surtout la "deuxième lecture" qui m'a interpellée.
Pour ceux qui comme moi ont perçu cette "deuxième lecture", l'auteur nous délivre la panoplie de ses sources en fin de livre dans le chapitre "est-ce que tout est vrai".
Une mine de recherches et informations qui interroge et nous amène à une réflexion plus profonde qui va au-delà de ce thriller.
L’inspectrice Grace Campbell, 32 ans se rend sur l’Ile Iona à l’ouest de l’Écosse afin d’enquêter sur l’étrange mort d’Anton assassiné dans un monastère.
Pour Grace, c’est une nouvelle chance qui s’ouvre à elle, en effet, elle a été mise au placard avec interdiction d’aller sur le terrain depuis 1 an suite à une enquête ratée.
L’auteur arrive à nous faire ressentir l’ambiance pesante et sombre du roman avec ses descriptions précises et réaliste.
Même si sur le fond le sujet est très intéressent, je déplore énormément de longueurs. Je ne comprends pas trop l’intérêt et les enjeux de certains passages qui ne collent pas du tout avec le sujet central du roman ou du moins l’importance des enjeux de cette enquête (sans trop spolier, je parle de la première découverte troublante de Grace au fond d’un gouffre… Je ne comprends pas du tout le choix de l’auteur de donner autant d’importance à cela.).
J’ai trouvé le personnage de Grace vraiment intéressent et attachant et j’ai hâte de découvrir quel terrible secret elle cache au fond de son appartement.
J’adore l’auteur Nicolas Beuglet, mais là, j’avoue que même si j’ai lu rapidement ce roman, je suis un peu déçu, en effet, ses premiers romans étaient tellement géniaux, que j’avais beaucoup d’exigences avec celui-ci. Cela ne m’empêchera pas de découvrir le prochain roman de la série Grace Campbell.
Nicolas Beuglet nous entraine, à en perdre haleine, dans une enquête pleine de mystère, qui, avec Grace Campbell, son agente Ecossaise, nous transporte de l’Ile d’Iona et des Highlands aux glaces du Groenland.
Grace Campbell est depuis un an « mise au placard » pour avoir « foiré » sur une enquête. Elle est contactée un matin par son chef Elliot Baxter pour aller enquêter sur un crime commis dans le monastère de l’Ile d’Iona. Un jeune homme, Anton y a été assassiné et excérébré. D’une intelligence supérieure, il possédait un cabinet secret de travail dans lequel elle découvre des tableaux couverts d’équations et un étrange dessin constitué d’une multitude de points de couleurs différentes. C’est cette découverte qui donne une ampleur différente à son enquête et va l’amener à remonter la piste d’Edimbourg aux Highlands puis au Groenland où rôde le danger dans cette nature menaçante pour l’homme.
L’écriture est fluide, l’atmosphère générale est sombre et glaçante et c’est à un rythme d’enfer que l’auteur nous entraine, par de multiples rebondissements et un suspense savamment dosé, vers une fin énigmatique. Addiction assurée.
La réflexion engagée dans ce thriller est le risque d’abrutissement et la chute du niveau intellectuel des générations soumises aux écrans récréatifs dont les programmes créent une récompense aléatoire qui entraine l’addiction. Programmes conçus par des géants du numérique américain, dont les dirigeants envoient leurs enfants dans des écoles sans écrans !
Réflexion également menée grâce à des études qui pointent le déséquilibre observé entre l’Occident et l’Asie, Occident qui voit le QI de ses enfants chuter depuis quelques années alors qu’en Asie le contraire s’opère grâce à une politique qui valorise la réussite scolaire tout en pénalisant les parents qui ne régulent pas le temps d’écran de leurs enfants mineurs.
Toutes les études, médicales ou éducatives ont déjà alerté sur les dangers de la « captologie » des interfaces et des jeux créés, mais ont été taxées de « complotistes »…
Ce thriller très documenté dont les personnages et l’action sont fictifs , repose pour le reste sur des études et des faits scientifiques avérés.
Une vraie déception avec ce roman de Nicolas Beuglet, auteur dont j'avais pourtant apprécié "Le cri" ("le complot" m'avait déjà fait penser à un double de "Da Vinci code"). Certes, l'intrigue va à cent à l'heure (ce devrait même être un scénario de série télé plutôt qu'un roman), et permet d'occuper un lecteur dans un train ou en début de vacances, mais même dans ces circonstances qui se prêtent à des lectures où on n'a pas envie de trop réfléchir, ce livre ne remplit pas sa mission. C'est l'écriture qui m'a arrêtée très vite : les dialogues sont creux, les comparaisons ou le vocabulaire souvent mal trouvés, et cela tourne vite au ridicule et à l'insupportable. Et durant la lecture, on ne peut s'empêcher de se dire que la vie est trop courte pour perdre son temps avec ce roman... je suis pourtant allée jusqu'au bout car je n'aime pas laisser un livre en plan mais il n'était définitivement pas pour moi.
Dommage car cela fait longtemps que je n'ai pas lu un roman policier qui me laisse un souvenir marquant.
J'avais beaucoup aimé la trilogie de l'auteur composée de : Le Cri, Complot et L'Île du Diable. Il y a toujours une même composante dans ses romans qui est le mélange de personnages de fiction et d'histoires incroyables basées sur des faits scientifiques et historiques réels. J'ai donc entamé ma lecture de ce nouvel opus avec grand intérêt.
Ici, nous découvrons de nouveaux personnages dont Grace Campbell, inspectrice écossaise au passé mystérieux.
Cette première enquête nous emmène au large de l'Écosse, au sein du monastère en pierre grise de l'île d'Iona dans lequel un cadavre atrocement mutilé a été découvert. Mais ne croyez pas que nous restons en huis-clos en compagnie des moines. Bien au contraire ! Nicolas Beuglet reste fidèle à lui-même pour cette nouvelle série et nous fait voyager à un rythme endiablé !
Un point commun à tous les paysages : une atmosphère hivernale, rude et énigmatique. C'est donc un roman parfait à lire au chaud alors que la neige tombe au-dehors.
J'aime toujours autant l'écriture cinématographique de l'auteur ainsi que l'action qui, couplée au suspense, nous tiennent en haleine jusqu'aux dernières lignes. Cette fois je regrette juste que les faits soient trop poussés et donc puissent manquer de crédibilité parfois. Si les fondements sont bien réels, il faut au lecteur une grande ouverture d'esprit pour se plonger au plus profond des révélations scientifiques. Mais j'applaudis le travail de recherche de l'auteur qui, une fois encore, nous fournit une multitude d'informations souvent méconnues du grand public.
Le dénouement de l'enquête pourra laisser un petit sentiment de frustration (même s'il est légitime) et la fin ouverte nous incite clairement à lire le tome suivant paru aux éditions XO : Le Passager sans visage. Ce que je ferai avec plaisir d'ailleurs !
C'est donc le quatrième roman de l'auteur que je lis et même s'il n'est pas mon préféré, il me laisse tout de même une impression positive quant aux qualités citées plus haut qui sont une constante dans ses récits. Le rythme est soutenu, on ne s'ennuie pas une seconde. La réalité se mêle à la fiction, les personnages sont intrigants, et l'écriture est fluide et pleine de suspense. Nicolas Beuglet nous invite à nous questionner sur nos travers contemporains et nous laisse un dernier message prêt à faire frissonner l'humanité tout entière.
Sur mon blog : https://ducalmelucette.wordpress.com/2021/12/17/lecture-le-dernier-message-nicolas-beuglet/
Le dernier message est un très bon polar qui se présente, au début, comme un thriller classique, avec un meurtre sordide dans un monastère d'une île écossaise. L'intrigue de départ paraît tout à fait banale. Néanmoins, l'intrigue va bien au-delà d'une simple histoire de meurtre, mêlant ésotérisme, société secrète et interrogations sur les origines ainsi que le destin de l'humanité. J'ai apprécié le personnage de Grace, la nouvelle enquêtrice de Nicolas Beuglet, et son passé mystérieux. L'intrigue est bien menée, pleine de rebondissements et se lit très facilement. L'environnement géographique, l'Écosse et le Groenland, est bien exploité, permettant des ambiances différentes et donnant du rythme à l'action. Néanmoins, j'ai été un peu déçue par certaines révélations finales et par le contenu du fameux "dernier message".
Un thriller digne des plus grands thriller. Mais ce n'est pas juste un thriller pour le plaisir de faire "peur". La peur s'insinue vraiment en vous lorsque le sujet sérieux et bien réel, sous-jacent à l'histoire, apparait et avec lui l'analyse des méfaits des réseaux sociaux et de leur manipulations.
C'est bien fait et bien vu.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !