"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Toujours en quête d'aventures extravagantes, le prince florizel et son compagnon, le colonel geraldine, rencontrent un soir un étrange jeune homme qui les convie à une soirée du club du suicide.
Les deux amis découvrent avec horreur et fascination un diabolique jeu de cartes où le seul gain est la mort... une histoire aussi inquiétante qu'ironique par l'auteur de l'étrange cas du dr jekyll et m. hyde.
Un peu déçu par ces trois nouvelles de l'auteur de « l'île au trésor » et du « docteur Jekyll ». Tout y est pourtant, l'ambiance fin 19e, ces castes qui se côtoient sans se mélanger, la désespérance de certains, le pragmatisme des autres, le sens de l'honneur surdéveloppé, la vengeance et la moooort... Plus intéressant, le désir morbide qui semble attirer un certain nombre de jeunes gens dans ce club du suicide particulièrement efficient. Il y avait là matière à creuser, malheureusement Stevenson effleure le sujet et se contente du cadre douillet des «romans-feuilletons» de l'époque.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !