Après l'immense succès du Mec de la tombe d'à côté, nous étions des centaines de milliers de lecteurs à nous demander ce qu'il advient de Désirée, la bibliothécaire, et de Benny, le paysan. Elle dévore les livres avec autant d'ardeur que les produits bio, lui élève des vaches et n'imagine pas qu'on puisse lire "de son plein gré". Pourtant, ils se sont promis de s'accorder trois essais pour avoir un enfant ensemble. Si ça ne marche pas, c'est terminé pour toujours. Sinon.
Comme le disait un critique littéraire suédois : "Le quotidien tue l'amour, la vie de famille l'enterre." Bienvenue dans le caveau de famille !
Mazetti au sommet de son art : verve, burlesque de situation et humour décapant irrésistible.
Mieux que le premier, moins de longueurs.
Une héroïne bien courageuse mais son mari aussi. Chacun à sa façon.
La suite de "Le mec de la tombe d'à côté" .
Moins drôle que le premier opus ,on s'amuse pourtant à retrouver les personnages principaux toujours aussi attachants même si la magie n'opère pas de la même manière.
Le style est très bon et la narration rondement menée.La collision entre les deux personnages qui viennent de deux mondes différents par bien des aspects reste cependant un beau moment de distraction pétillante
Et c’est donc par cette suite que j’ai commencé lundi . Alors difficile de raconter quoi que ce soit de l’histoire sans déflorer la première pour ceux qui ne l’auraient pas encore lue. Je peux vous dire que j’étais ravie de retrouver Désirée et Benny ainsi que les personnages secondaires , plutôt savoureux eux aussi, Märta, l’amie de Désirée, Violette et Bengt-Göran, les voisins de Benny, et de lire la suite de leurs tribulations. On y retrouve la même construction, avec des alternances de point de vue, c’est drôle, grinçant, caustique...Grâce à un avant-propos de l’auteur, on pourrait lire directement “Le caveau de famille” , mais ce serait dommage de se priver du plaisir jubilatoire de lire “Le mec de la tombe d’à côté” qui est , à mon avis, supérieur à sa suite. Mais attention, je n’ai pas été déçue, loin de là, mais ce deuxième opus plus sombre n’a pas l’effet de surprise du premier, par rapport au ton employé, à la drôlerie des situations, aux portraits des protagonistes, on passe à autre chose...
Si vous lisez le premier ou que vous l’avez déjà lu , vous aurez forcément envie de lire celui-ci et vous passerez un excellent moment !
lien vers ma chronique:http://www.lesmiscellaneesdepapier.com/le-mec-de-la-tombe-d-a-cote-le-caveau-de-famille-katarina-mazetti.html
Dans le caveau de famille on retrouve Benny et Désirée que la vie a séparée… Mais pas pour longtemps. N’ayant pas envie de se quitter, mais ne voyant pas d’autre alternative, le couple se laisse trois chances pour avoir un enfant. Laissant ainsi le « destin » décider de leur sort. Bien évidemment, la chance est de leur côté et l’on suit alors leurs aventures familiales.
Déçue déçue déçue... Le 1er tome était très bien. Mais là... je me suis ennuyée.. Aucun intérêt.
Katarina Mazetti propose avec « Le caveau de famille » la suite des aventures comico-sentimentales de Benny le rustique et Désirée la bobo. Ils se sont apprivoisés, séduits puis quitté et manqués. A présent, ils se donnent trois tentatives pour faire un bébé ensemble, si çà ne marche pas, ils arrêtent les frais, si çà marche, ils emménagent à la ferme. Et comme çà marche, voilà la très urbaine Désirée qui emménage dans l’exploitation laitière de Benny. Entre les efforts surhumains pour s’adapter à la différence de l’autre et les vicissitudes de la vie rurale : çà passe tout juste ou çà casse méchamment ! On retrouve le style enlevé et faussement ironique de Mazetti, un chapitre pour Désirée et un pour Benny en alternance : deux points de vue sur une même réalité, deux points de vue souvent incompatibles. Et pourtant, c’est chaotique mais çà fonctionne. Il y a beaucoup d’humour mais aussi des moments plus lourds et on frôle même le drame absolu vers le début du troisième tiers du roman. C’est drôle de rentrer en alternance dans la peau de l’un puis de l’autre, on n’arrive pas à prendre parti (encore que Benny, des fois, en vieux garçon macho il exagère !) et la fin, en forme de feu d’artifice ironique, est emblématique de cette dualité avec laquelle ils devront composer, je le crains, pour l’éternité ! Les chapitres sont courts, très courts parfois : au début (jusqu’à l’emménagement de Désirée chez Benny et ses débuts homériques à la ferme) on s’ennuis un tout petit peu mais après, on est happé par les vies compliquées de ces deux là. Je ne sais pas s’il y a un troisième tome ou même s’il y a matière. Il vaut quand même mieux avoir lu « le mec de la tombe d’à coté », le premier tome, pour mieux savourer celui-ci. Ce n’est pas obligatoire (il y a un résumé au début pour ceux qui l’auraient zappé) mais c’est mieux quand même…
la suite des aventures de Désirée et Benny, une bibliothécaire un peu intello de la ville et un fermier frustre vivant presque isolé dans sa campagne suédoise, que l’on avait découverts dans « le mec de la tombe d’à côté »..
On retrouve ce qui a fait le charme du premier roman, le ton, les dialogues qui font vrai et dans lesquels bien des couples peuvent se reconnaître, les états d'âme de nouveaux parents y sont décrits avec beaucoup d’humour et de réalisme. Ce n’est pas de la grande littérature mais on passe un très bon moment avec ce couple improbable aux aventures bien quotidiennes et ordinaires.
j'ai nettement préféré le 1er tome. celui ci me donne une impression d'assister à des querelles de couples sans fin qui semble ne pas trouver de solution.
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