"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Alors qu'il était directeur du service des Suicidés, Roïn Venkoo a détruit l'existence légale de Syscom.dth, la plateforme informatique destinée à recevoir l'âme des morts.
La dirigeante des Défunts veut se venger de lui en le faisant disparaître sans espoir de renaissance. Engagé pour accomplir la besogne, son agent monte un plan machiavélique et l'expédie dans un lieu inconnu et dévasté. Roïn atterrit là-bas, inconscient et gravement blessé. Loin de chez lui, meurtri, sans ses automates ni aucun moyen de communiquer avec eux, Roïn sombre.
La dirigeante des Défunts consommera-t-elle sa vengeance jusqu'au bout? Quel est cet endroit hors du temps où se trouve Venkoo? Parviendra-t-il à rentrer chez lui? Et surtout, le désirera-t-il encore?
Antoine Lencou est du genre préoccupé. Nos origines, notre devenir, notre conscience, le but de notre existence, celui de l'univers, où il a rangé ses clefs... Des questions simples, quoi.
Et puis, bien sûr, la Mort. D'ailleurs, s'il était breton, son nom, Lencou, s'écrirait probablement ainsi : « L'Ankou ». La Mort.
Dans ses récits, la mort est souvent présente. Avec le nom qu'Antoine porte, elle ne devrait pas lui faire peur. Rien n'est moins sûr. Même ses personnages souffrent de ce handicap. Alors, dans le doute, restez courtois avec lui. On n'est jamais trop prudent.
Antoine Lencou est aujourd'hui l'auteur d'une trentaine de nouvelles, d'une novella et deux romans.
« Ligatures » est le troisième volet de la tétralogie « Le Bureau des Défunts ».
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