Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
Je le rajoute à ma PAL, car j'aime bcp l'écriture de Makine et cette chronique me convainc de le lire.
« Qu'importe l'éternité de la damnation à qui a trouvé dans une seconde l'infini de la jouissance. » (Baudelaire) Tel serait l'esprit de cette saga lapidaire - un siècle de fureur et de sang que va traverser Valdas Bataeff en affrontant, tout jeune, les événements tragiques de son époque.
Au plus fort de la tempête, il parvient à s'arracher à la cruauté du monde : un amour clandestin dans une parenthèse enchantée, entre l'ancien calendrier de la Russie impériale et la nouvelle chronologie imposée par les « constructeurs de l'avenir radieux ».
Chef-d'oeuvre de concision, ce roman sur la trahison, le sacrifice et la rédemption nous fait revivre, à hauteur d'homme, les drames de la grande Histoire : révolutions, conflits mondiaux, déchirements de l'après-guerre. Pourtant, une trame secrète, au-delà des atroces comédies humaines, nous libère de leur emprise et rend infinie la fragile brièveté d'un amour blessé.
Un roman court mais percutant.
D'une plume élégante et nostalgique, Andreï Makine va nous emmener sur les traces de Varda.
Adolescent russe, il vit dans une famille aisée quand s'annonce la première guerre. Il rêve d'un grand destin et d'amours romantiques.
Il va traverser ce siècle, ses deux guerres, la révolution bolchevique et ses violences.
Il est questions d'un amour infini, de solidarité parfois, de trahison souvent, d'une immense solitude et d'un bonheur qui lui échappe.
J'ai été émue.
Un roman bouleversant.
De la Russie à la France tout n’est que souvenirs, exil, amours blessés, guerres et traversée du temps.
Andreï Makine a repris des thèmes de son précédent livre « L’ami arménien ». On sent bien que ces thématiques n’étaient de loin pas assez approfondies à ses yeux, qu’il avait une nouvelle fois besoin de nous les raconter tout en les plongeant dans d’autres vies humaines.
Il a livré un roman qui nous immerge dans une sorte de philosophie affutée au fil du temps, affutée au fil des évènements de la vie. Ici c’est davantage la révolution, la guerre civile, qui nous saute au visage. Comme si une guerre classique aurait été trop simple, trop confortable pour l’auteur…où pour le lecteur.
Pourquoi le titre « L’ancien calendrier d’un amour» ? Car les amours du personnage principal, Valdas Bataeff, basculent en 1918 du calendrier Julien au calendrier Grégorien.
De son apprentissage amoureux en 1913, à la guerre de 14, à la révolution russe, à la seconde guerre mondiale, à celle d’Indochine, tout aura été traversé dans ce court roman de 198 pages. On pourrait penser que tout est survolé de trop haut, mais il n’en est rien. L’amour fera la liaison. L’exil pointera l’ampleur des blessures. Les résistances pour lutter et vivre feront leur job.
Valdas regorge de force et, au passage, on se prend une belle leçon de vie.
Il a beau être né dans une riche famille russe qui se promène dans des lieux luxueux entre Saint Pétersbourg et la Crimée, la Grande Histoire ne l’épargnera pas. Et surtout, cela ne l’empêchera en rien d’aimer, de toute son âme, Taïa la serveuse contrebandière.
Il combattra dans l’armée blanche du Tsar contre l’armée rouge des anarchistes en quête d’une vie nouvelle. Et c’est au milieu de toute ces horreurs qu’il vivra quelques jours d’un amour hors du temps. Cet amour le portera dans toutes les épreuves qu’il croisera par la suite.
L’écriture ? sans fioritures, sans sophistication, presque minimaliste pour parler de sujets profonds et chargés de sens.
Des images ? Celle qui dit : « et pourtant, nous avons tous notre champs de derniers épis »
Celle qui dit : « Ne dites jamais avec reproche, ce n’est plus. Mais dites toujours avec gratitude, ce fut ».
Ou encore : « Dire le sens de nos vies est moins facile que d’exalter leur complexité ».
Ou même : « Autant reposer dans la poussière qu’on a piétiné en apprenant à marcher ».
Et celle qui confirme : « tout ce qu’il me faut c’est cette lumière et ce chuchotement »…
L’auteur, sur les traces d’un poète russe, retrouve sa tombe dans un cimetière niçois perché au-dessus de la mer. Il y rencontre un vieil homme, Valdas Bataeff, qui va lui conter sa vie.
Dans un récit très ramassé, Andréï Makine va restituer le parcours de Valdas Bataeff, malmené par la grande histoire : les deux guerres mondiales et la révolution russe.
Nous découvrons Valdas adolescent choyé qui passe l’été au bord de la mer, en Crimée. Il découvre la duplicité des adultes et ses premiers émois amoureux. Mais son monde va très vite être balayé et disparaître pour toujours.
Le 20ème siècle va montrer son visage le plus violent et le plus hideux.
Au milieu de ce déchaînement de fureur,Valdas va vivre un brève embellie. A l’écart du temps il va vivre avec Taïa un amour fugace mais unique qui va le porter toute sa vie.
Après son exil de Russie sa vie continuera à Paris et la guerre fera son grand retour. Mais son amour pour Taïa restera irremplaçable et irremplacé.
Andréï Makine déroule un récit émouvant, empreint de nostalgie. Il fait revivre un monde désormais révolu :L’ancien calendrier d’un amour est le calendrier d’avant la révolution bolchévique, le monde d’un amour défunt qui restera enraciné dans la mémoire et l’âme de Valdas.
[...Ils auraient pu, pensaient-ils, ne jamais quitter ce champ des derniers épis. Ou, mieux encore, emporter son calme loin du nouveau calendrier, de ses mensonges, de sa brutalité….]
J’ai été immédiatement séduite, en entrant dans le roman d’Andreï Makine, par l’élégance, la délicatesse d’une écriture littéraire qui sait nous toucher au cœur.
Valdas, un vieil homme exilé du côté de Nice, se souvient de la douceur, de l’insouciance et de ses premiers émois amoureux durant ses vacances en Crimée dans les années 1913. Issu d’une famille aisée, l’avenir s’ouvre à lui. Hélas ! Les bouleversements du monde vont en décider autrement.
Ce sont les soubresauts de XXe siècle avec ses guerres, sa révolution contre l’impérialisme et leurs cortèges d’horreurs que ce roman nous fait traverser.
Le jeune Valdas se retrouve officier dans l’armée des Russes Blancs contre les Rouges. Le voilà en Crimée, blessé et en fuite. Il y retrouve son premier amour, Taïa, avec laquelle une parenthèse enchantée va s’ouvrir au milieu de cette guerre fratricide et sauvage. Ils vivent encore au rythme du calendrier Julien alors que Lénine l’abroge en faveur du calendrier grégorien. Ce calendrier du passé devient le symbole d’une vie insouciante et légère. Il y a deux semaines d’écart entre les deux, deux semaines qui compteront toute une vie pour Valdas
« Leur vie s’abrita dans le temps de l’ancien calendrier, le nébuleux retard qu’avaient supprimé les hâtifs constructeurs de l’avenir radieux. »
Exilé à Paris, Valdas fera le taxi comme beaucoup de ses compagnons expatriés. Détaché de tout, miséreux, il est rattrapé par une autre guerre. Résistant par hasard, il échappe à la Gestapo. Les amours se suivent mais ne durent jamais. Aucune femme ne remplacera jamais Taïa, son grand amour et ce souvenir l’aide à supporter les vicissitudes de la vie.
« Il n’avait été véritablement vivant que pendant ces quelques jours lumineux de l’automne 1920. Dans le champ des derniers épis »
Cette nostalgie qui habite Valdas sourd dans chaque phrase et à chaque page. On ne peut être qu’en empathie avec ce personnage qui n’aura connu qu’un amour fugace et fragile mais d’une telle intensité qu’il deviendra inoubliable et fera office de talisman pour traverser un siècle de fureur et de cruauté.
J’ai été sensible à la mélancolie slave qui habille ce roman à l’écriture élégante et pudique qui nous touche au cœur.
Je remercie les éditions Grasset et Lecteur.com pour cette belle lecture.
En 1582, le pape Grégoire XIII promulguait le passage du calendrier julien au calendrier grégorien, occasionnant un rattrapage de dix jours sur le retard pris, au rythme d’un jour par siècle, sur l’heure solaire. Les pays récusant l’autorité papale ignorèrent longtemps cette réforme. En Russie, le changement n’intervint qu’après la révolution de 1917, supprimant alors d’un coup treize jours du calendrier : en 1918, on sauta directement du 31 janvier au 14 février.
C’est également pendant une dizaine de jours, comme sortis de l’écoulement habituel du temps, en une courte suspension entre le passé et l’avenir à l’image de cet écart entre l’ancien et le nouveau calendrier, que Valdas Bataeff a vécu l’aussi bref qu’éternel amour de sa vie, une parenthèse enchantée aussitôt refermée par la violence de l’Histoire, mais qui, maintenant qu’au soir de son existence il ne se nourrit plus guère que de nostalgie, lui apparaît clairement comme le seul moment où il a été « véritablement vivant ».
Le narrateur fait par hasard sa connaissance en 1991, alors que, se promenant dans un cimetière suspendu entre ciel et mer sur les hauteurs de Nice, il se prend à lier conversation avec le vieil homme, nimbé de la brume de ses souvenirs en même temps que des effluves de son cigare. Nous voilà plongés dans la mémoire de ce Russe blanc, né au tournant du XXe siècle dans une famille aristocratique de Saint-Pétersbourg. Alors qu’à quinze ans, découvrant les mensonges et les trahisons de sa jeune belle-mère adultère, il prend conscience des forces qui, comme dans les pièces de théâtre dont les siens sont férus, font tourner le monde - « l’attirance des corps, le pouvoir de l’argent » -, il entrevoit aussi, au travers de la belle et obsédante Taïa, serveuse de bar de cinq ans son aînée subrepticement croisée lors d’un été sur les bords de la mer Noire où elle se prête aventureusement à la contrebande de tabac, une autre forme de vie, « affranchie des lois de ce monde ».
Ce n’est pourtant que bien plus tard, comme dans un aparté volé à la tourmente de l’Histoire et coïncidant symboliquement à cette brève fenêtre de temps égarée entre les deux calendriers, que « l’éveil sensuel » provoqué par Taïa chez Valdas finit par éclore en véritable passion amoureuse. La Grande Guerre, puis la Révolution ont mis la Russie à feu et à sang. Blessé et de retour en Crimée dans un uniforme de l’armée blanche en déroute, le jeune homme ne vivra que quelques jours d’un amour partagé, fou et inoubliable, auprès de cette femme tant fantasmée et miraculeusement retrouvée. Une poignée de jours que la mort et l’exil ne pourront effacer, et qui, à jamais hors du temps, suffiront à illuminer sa vie entière : « Ne dites jamais, avec reproche : ce n’est plus ! Mais dites toujours, avec gratitude : ce fut. »
Andreï Makine nous livre un texte bref et intense, à l’écriture ciselée, mélancolique et émouvante, où, au vacarme d’un monde occupé à ses guerres et à ses cruautés, répondent les confidences chuchotées d’un vieil homme tout entier habité par l’essentiel et fragile instant d’un amour inoubliable, joliment symbolisé par cette curieuse inclusion hors du temps, perdue entre deux calendriers. Coup de coeur.
Je le rajoute à ma PAL, car j'aime bcp l'écriture de Makine et cette chronique me convainc de le lire.
Un chef-d’œuvre !
L’immense pouvoir évocateur de la littérature !
Magistral, « L’ancien calendrier d’un amour » est d’une puissance rare. Le sacre d’un amour infini. Une histoire sensible, précieuse comme le rythme de la mer qui n’en finit pas, guérisseuse du vivant. Ce livre est l’éphéméride que les bourrasques font vaciller.
L’écriture constante d’Andréï Makine est au summum d’une grâce si douce, renversante et impressionnante, sensible et d’une maîtrise digne d’un génie du verbe. Ouvrir ce livre, c’est déjà vivre le viscéral, l’inouï d’un roman rare.
L’incipit lève le rideau, puisque c’est l’heure d’une écoute spéculative.
« Dire le sens de nos vies est moins facile que d’exalter leur complexité ».
Valdoff Battaeff est le narrateur de ce récit historique et intime. Les entrelacs débutent en 1913 jusqu’en 1991.
Valdas à quinze ans et l’évènementiel va bousculer sa vie à jamais. Il vit à Saint-Pétersbourg dans une famille aisée. Son père reçoit des artistes et des avocats libéraux. Entre scènes de théâtre, vins fins et plénitude. Il ne côtoie que la bourgeoisie mais Valdas regarde par la fenêtre. Il écrit des vers, se pressent une carrière de militaire, jusqu’au jour où il va s’égarer dans l’autre versant, du côté du peuple. Dans le bord de la nuit, il ouvre le portillon et s’échappe. Il quitte l’Alizé (l’antre familial où gravite les nantis) et se dirige vers les corniches où déambulent les contrebandiers. Il voit une barque, des faisceaux lumineux en front de mer. Luminescence lunaire, il est brusquement projeté en arrière et une femme le protège par son manteau noir. Ombre sur ombre, le choc des sens. La crique est baignée par les vagues, dans un rythme pavlovien, il reviendra de cesse en ce lieu pour retrouver cette femme mystérieuse.
Subjugué mais inquiet, il se cachera lorsqu’il verra Taïa frapper à la porte de l’Alizé pour vendre du poisson. Clivage social, la peur du méconnu. L’heure arrêtée au cadran de l’ancien calendrier. Il sera hanté toute sa vie par cette femme. « Il était conscient d’avoir séjourné dans une vie affranchie des lois de ce monde ».
Le roman est la cartographie d’une époque. Entre les révolutions, les conflits, la trame se rebelle. Valdas est le symbole d’un homme ployé sous les affres de l’Histoire. Il n’aura de cesse toute sa vie de vivre en intensité, dans cette intégrité si loyale qu’elle fait pencher le livre du côté de la lumière.
Le récit calendaire : « Il se souvenait vaguement d’une avancée de deux semaines qu’en 1918, les Rouges avaient imposés à la chronologie, passant du calendrier julien au calendrier grégorien, pour renouer avec « le temps dans lequel vivaient les pays civilisés » selon Lénine ».
Résister aux pages du monde, le calendrier ne fait pas toujours la loi.
Valda restera toute sa vie durant sur l’astre de l’ancien calendrier. L’amour à l’infini, les rêves brisés, la rédemption comme une étoile inscrite en son cœur. Digne et voué aux sentiments indicibles. Hypnotique, tempétueux, superbe, ce roman est dans la lignée des incontournables. Ce genre de livre qui vous renforce à jamais. « Ne dites jamais, avec reproche : ce n’est plus ! Mais dites toujours, avec gratitude : ce fut ». Publié par les Éditions Grasset. En lice pour le Prix Relay des Voyageurs Lecteurs 2023.
Ma chronique : "Peut-il y avoir une chose plus horrible qu'une guerre ? Oui, une guerre civile". Qu'importe le tumulte et la violence ! L'essentiel c'est de vivre une passion partagée, dévorante. Quelques petites semaines d'un bonheur intense ont plus d'importance que tout le reste d'une existence.
Andreï Makine (dont l'écriture m'enchante chaque fois plus) nous plonge dans les tourments du XXème siècle Russe où la lumière sortira un bref instant des ténèbres.
En 1913, Valdas a quinze ans et s'imagine poète. Il vit une adolescence de luxe et de volupté dans une famille aristocratique, amie des Romanov, partageant son temps entre St Petersbourg et la maison de vacances en Crimée. Il est persuadé être du "côté ensoleillé du monde".
Comme il est naïf !! Par hasard il rencontre Taïa, serveuse dans une gargote des bas-fonds, contrebandière la nuit. Un monde qu'il ne connaît pas ! Tout Jeune officier durant la guerre, il est blessé et retrouve Taïa alors que la révolution s'installe, que les Rouges, les anarchistes et l'armée tsariste s'entretuent.
Taîa le soigne et le cache, lui le Russe blanc en danger. Malgré les incertitudes face aux répressions brutales des Bolcheviks, ils vivent une passion fulgurante qui le marquera jusqu'à la fin de sa vie.
L'exil, la solitude, des années de misère attendent Valdas. Lorsqu'il est à Paris, une autre guerre éclate avec ses drames et ses atrocités. D'autres rencontres, un ami résistant, quelques femmes de passage...mais sa mémoire le conduit toujours vers celle qui a été son unique amour.
Makine a un véritable talent de conteur, il sait tellement bien peindre l'âme russe, sa fatalité, sa souffrance, sa poésie. Il crée de la beauté dans un monde cruel.
Ce court roman, qui est l'histoire d'une vie, est à lire lentement afin d'en savourer toute l'élégance !Ne passez pas à côté !chronique :
Une collègue de bureau est une fan de cet auteur et voilà qu'elle m'a prêté son dernier texte. J'avais lu, grâce à elle, déjà, "l'ami arménien" et ce texte m'avait plu et impressionné, par son histoire et son style très plaisant à lire malgré la rudesse de l'histoire.
Avec ce titre si poétique et qui est, en référence, avec les changements de calendriers dans certaines nations, et en particulier, en Russie. Les calendriers avaient été changés lors de la révolution d'Octobre et, ironie de l'histoire, Poutine voudrait bien revenir à l'ancien calendrier grégorien.
Un décret signé par Lénine a établi que juste après le 31 janvier 1918, la Russie passerait directement au 14 février, effaçant pour toujours deux semaines de l'histoire du pays.
André Makine situe donc une belle et émouvante histoire d'amour lors de ces fameuses deux semaines.
Il va nous parler de la vie de Valdas, jeune homme en vacances en 1918, sur les bords de la mer de la Crimée, des vacances bourgeoises insouciantes et nous allons le retrouver, vieil homme, sur un banc face à la baie de Nice. Il va alors raconter des brides de sa vie, celle de jeune bourgeois puis de soldat, de réfugié en France.
Ce court texte, peut être un peu trop court d'ailleurs, va permettre à l'auteur de nous parler de l'histoire soviétique, de l'empire russe à la révolution d'Octobre puis de la deuxième guerre mondiale à nos jours.
De belles pages sur la vie de cet homme et sur un amour trop bref mais si intense, sur des rencontres, comme celle avec le concierge d'une église russe à Paris, avec les courses en taxi dans les rues parisiennes, lors de la seconde guerre mondiale.
Souvent, nous sommes désorientés face aux romans-pavés russes mais cette fois, j'ai trouvé ce texte trop concis et trop bref et aurait aimé plus d'ampleur sur certains épisodes de cette histoire et le portrait de certaines personnages.
Mais en tout cas, l'écriture et le style d'André Makine en font une agréable moment de lecture.
#Lanciencalendrierdunamour #NetGalleyFrance
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