Une liste des indispensables qui traitent du harcèlement
À l'origine, Bénédicte Ombredanne avait voulu le rencontrer pour lui dire combien son dernier livre avait changé sa vie. Une vie sur laquelle elle fit bientôt des confidences à l'écrivain, l'entraînant dans sa détresse, lui racontant une folle journée de rébellion vécue deux ans plus tôt, en réaction au harcèlement continuel de son mari. La plus belle journée de toute son existence, mais aussi le début de sa perte. Récit poignant d'une émancipation féminine, L'amour et les forêts est un texte fascinant, où la volonté d'être libre se dresse contre l'avilissement.
Une liste des indispensables qui traitent du harcèlement
Touché par la lettre de félicitations qu'elle lui a adressée après la lecture de son dernier roman, l'auteur/narrateur accepte de rencontrer Bénédicte Ombredanne. Au cours de leur second entretien, la jeune femme lui raconte le calvaire qu'elle vit au quotidien auprès de son mari, et ses rares tentatives pour sortir de cette domination étouffante.
Une fois n'est pas coutume, j'ai lu ce roman très rapidement après avoir vu son adaptation cinématographique par Valérie Donzelli. J'étais motivé par l'animation prochaine d'un débat sur le thème de l'emprise.
J'ai été enthousiasmé par la première partie du roman, rapportant le contenu des discussions entre le narrateur et Bénédicte Ombredanne, que l'auteur ne nomme jamais autrement, ce qui crée une ambiance très factuelle, type "témoignage de justice".
La seconde partie, qui relate un entretien avec Marie-Claire, la sœur jumelle de Bénédicte, m'a un peu déçu. Peut-être parce que cet échange vient nuancer la personnalité de la jeune femme et contrebalancer un peu la perversité de l'époux. Aussi sans doute, du fait de l'écriture ; j'y reviendrai.
Bénédicte, le personnage central du Roman, est présentée sous deux éclairages qui mettent en relief des facettes nuancées. Le comportement du mari semble faire l'unanimité contre lui. Marie-Claire, la jumelle, semble plus équilibrée. On peut juste s'étonner, et cela contribue à créer des ombres dans le portrait de Bénédicte, qu'elle n'apparaisse jamais dans les propos de sa sœur.
La forme de la narration est intéressante. L'auteur y rend compte d'entretiens un peu comme s'il avait lui-même vécu les événements. La lecture est relativement aisée. Le lecteur n'est pas perturbé par un excès de vocabulaire précieux ou un abus de figures de style.
J'ai cependant trouvé l'écriture de la seconde partie moins légère, moins fluide, que celle de la première. Dommage pour cet excellent roman qui aurait pu être un vrai coup de cœur.
Chronique illustrée : http://michelgiraud.fr/2023/11/06/lamour-et-les-forets-deric-reinhardt-chez-gallimardfolio-un-excellent-roman/
Parce qu’Eric Reinhardt sort un nouveau roman dans quelques jours (Sarah, Susanne et l’écrivain), parce qu’on a beaucoup entendu parler de l’adaptation au cinéma de ce roman, parce qu’un texte de cet auteur est toujours l’assurance d’un excellent moment de lecture, j’ai fait une pause dans les romans de la rentrée littéraire pour me plonger dans ce livre qui date de 2014.
C’est une histoire triste, mélancolique, entre une femme, Bénédicte, qui se dévoue aux autres, qui est amoureuse des lettres et de l’amour et son mari, Jean-François, handicapé de l’amour, centré sur lui-même, tyranique et dominateur.
C’est une histoire qui laisse un gout amer, qui nous fait vivre l’enfer d’une femme harcelée ; elle cherche à se prouver qu’elle peut s’échapper de l’enfer conjugal auquel elle a consenti.
C’est une histoire de découverte de la tendresse et de la forêt, de la tendresse dans la forêt.
C’est une histoire d’un amour possible, d’une fenêtre sur l’avenir.
C’est le portrait d’une femme abîmée, d’une héroïne du quotidien, comme Eric Reinhardt sait si bien les écrire, avec une plume pleine de musicalité, avec des phrases chantantes et des paysages poétiques.
Il ne me reste plus qu’à découvrir le film et l’interprétation de Virginie Effira.
Fervente admiratrice de l’écrivain Eric Reinhardt, Bénédicte Ombredanne le rencontre à deux reprises à Paris. Elle lui raconte, avec la plus grande pudeur possible, l’enfer que son mari lui fait vivre depuis des années. Intrusif, obsessionnel, jaloux et égoïste, Jean-François Ombredanne maintient Bénédicte sous sa coupe sans jamais lui laisser le moindre répit. Un jour où Jean-François est allé un peu trop loin dans les cris et les reproches, Bénédicte s’inscrit discrètement sur un site de rencontre et sympathise avec Christian, un antiquaire qui habite à 200km de chez elle. Elle s’autorisera une aventure d’un jour, sensuelle et bouleversante, avant de revenir dans le giron de son mari et de ses enfants. Mais cette parenthèse signe pour Bénédicte le début d’une spirale infernale : Jean-François monte encore d’un cran dans une folie qui semble n’avoir aucune limite.
« L’Amour et les Forêts » est un livre déconcertant sur la forme comme sur le fond. J’avoue avoir eu du mal avec l’écriture d’Eric Reinhardt, il a un style très dense, les chapitres sont interminables, il va peu à la ligne, il fait peu de sous-chapitres. Du coup, on a l’impression d’être un peu écrasé par son style à la fois très peu « aéré » et quand même très verbeux. C’est très inégal en fait, certains chapitres sont passionnants, d’autres sont inutilement longs, détaillés, plein de redites et de digressions, à la limite de l’indigeste : c’est un peu les montagnes russes que de lire « L’Amour et les Forêts » ! Le début du roman est très cru, à la lisière de la pornographie (mieux vaut être prévenu), mais ce n’est pas tellement ça qui m’a dérangé. Il y a des pages et des pages qu’on est tenté de survoler tant ce qui y est raconté est bavard, désolée de le dire aussi brutalement mais certains chapitres (tout le début avec le tir à l’arc, le chapitre 5 qui nous sort totalement du sujet, le chapitre de fin qui semble être une rêverie) sont presque pénibles à lire. Ceci dit, le roman est construit de manière originale : Eric Reinhardt est un protagoniste de son propre roman, il écoute les confidences de Bénédicte pendant les deux tiers du roman. Dit-elle la vérité ? Invente-t-elle un amant qu’elle n’a jamais eu ? On ne saura jamais… Puis, pour le dernier tiers, il rencontre sa sœur jumelle qui lui donne à son tour sa vision du couple Bénédicte/Jean-François. Deux versions d’un même couple dysfonctionnel, vu de l’intérieur puis de l’extérieur. Le dernier tiers du roman, consacré à la version de la sœur jumelle, est le plus réussi, le plus édifiant aussi. Parce que c’est la sœur qui livre sa version, ce qu’elle raconte est HALLUCINANT ! Jean-François Ombredanne y est décrit comme un fou, un taré intégral, un véritable psychopathe et le plus fort, c’est que l’on sent bien à la lecture que c’est cette version-là qui est la plus proche de la réalité. Ce qu’il fait subir à Bénédicte est totalement dingue de mesquinerie, de vexation, d’égoïsme et de méchanceté gratuite et pourtant je crois chaque mot de sa version. Ce type, il faut l’enfermer et jeter la clef ! L’adaptation du film par Valérie Donzelli, pour réussie qu’elle soit, n’est fidèle au roman que dans ses deux premiers tiers (la version Bénédicte), et quand on a vu le film, on est surpris de voir subitement le roman prendre une autre voie. J’avoue avoir été scotchée par ce dernier tiers, mais aussi par le récit ex-nihilo d’Aurélie, une jeune femme que Bénédicte a croisée en maison de repos (chapitre 6). Par la faute d’un homme elle aussi, vit un calvaire qui n’est pas moins terrible que celui de Bénédicte. Il est même pire en quelque sorte car la pauvre Aurélie est victime d’un inconnu alors que Bénédicte est victime de l’homme qu’elle a épousé. Au sortir du roman, on est pétrifié par le phénomène d’emprise qui est décortiqué ici, on le comprend mieux, on le ressent presque dans sa chair. Cette impression de vie gâchée, de malheur et de solitude est assez dévastateur, ça nous prendre aux tripes et on referme le livre une boule en travers de la gorge. Bien qu’il ait parfois été difficile à lire dans la forme, et horriblement lourd sur le fond, « L’Amour et les Forêts » ne laissera personne indifférent et certainement pas les femmes qui le liront. Oui, c’est un livre de femme écrit par un homme. L’histoire de Bénédicte est peut-être réelle, peut-être inventée par l’auteur, mais dans les deux cas, elle vous percute par sa violence sourde et vous laisse complètement sonné sur le bord du chemin.
Des critiques élogieuses, lauréat de trois prix, ce roman avait tout pour plaire.
Dès le premier chapitre, mise en abyme de l’auteur qui se met en scène et raconte ses rencontres avec sa lectrice admirative, Bénédicte Ombredanne.
« J’avais senti qu’elle avait besoin de me raconter sa vie. J’entretenais ses confidences par des questions et des encouragements affectueux, il me semblait primordial qu’elle puisse évacuer ce que j’ai compris qu’elle gardait pour elle seule depuis des années. »
Et nous lecteur, un peu voyeur, entrons dans l’intimité de cette femme qui raconte ce mari pervers et harceleur qui l’humilie et la surveille sans cesse. Voulant prendre un peu de recul, elle s’inscrit sur un site de rencontres et là, bingo ! Elle tombe sur l’homme idéal, l’opposé de son pauvre mec de mari.
Ils se retrouvent et le conte de fée continue. Tout est idyllique et la passion est au rendez-vous. On comprend alors le titre du roman puisque la rencontre amoureuse se déroule en lisière d’une forêt
« Elle entendait, provenant des arbres qui entouraient la maison, des oiseaux qui chantaient, c’était un poudroiement sonore continuel autour du lit et de leurs corps enchevêtrés. »
C’est bien joli, cet amour qui tombe du ciel et cette orgie de sexe, mais le retour à la réalité est plutôt duraille. Sans alibi bien ficelé, (elle tente bien le coup de la panne d’essence !) Bénédicte Ombredanne est victime de la jalousie perverse et du chantage odieux exercés par son mari. Sa vie devient un enfer.
L’écrivain réapparait dans l’histoire, comme un guide touristique guidant nos pas à travers les méandres de cette histoire quelque peu tarabiscotée. Car cette Bénédicte Ombredanne, pour laquelle malgré ses malheurs, je n’ai pas éprouvé une grande compassion, cette Bénédicte donc n’est peut-être pas celle qu’on croyait.
L’écrivain va découvrir qu’elle a une sœur jumelle (jamais mentionnée par l’intéressée) Et cette sœur va faire un portrait très différent de Bénédicte, racontant ses dépressions, ses cancers, et sa souffrance autant physique que psychologique auprès de ce mari toxique. Bénédicte lui aurait avoué son fantasme d’un rendez-vous secret avec un homme inconnu. Tiens donc ! L’écrivain et nous avec, aurions donc été manipulés à notre tour par une femme victime ? Où s’arrête la vérité, où commence le fantasme ? Et si l’auteur avait interprété et réécrit l’histoire de Bénédicte ? Un peu comme dans un conte (on a déjà la forêt profonde et le prince charmant !) Et donc nous manipule à son tour (facile quand on écrit l’histoire !)
Bon, je n’ai pas la réponse, et je m’en contrefiche car je me suis bien perdue dans cette histoire un peu tordue, il faut le dire. Je ne sais pas où l’auteur voulait m’emmener, et il a dû bien s’amuser avec ses personnages Playmobil. Mais moi, j’ai trouvé cela bien longuet et je ne me suis pas vraiment attachée aux personnages.
J’ai attendu, en vain, que l’auteur s’empare de la violence conjugale et développe davantage ce thème de façon plus réaliste. Hélas ! On passe à côté (ou bien c’est moi qui suis passée à côté du roman !)
Un roman que, malgré ses trois prix, j’oublierai bien vite.
Bénédicte Ombredanne a souhaité rencontrer l'écrivain pour lui dire combien son dernier livre avait changé sa vie. Elle va dès lors lui raconter sa vie auprès, de ce qu'on appelle aujourd'hui, d'un pervers narcissique.
Cette jeune femme agrégée de lettres, professeur, a tout pour s'épanouir : un travail qui lui plaît, un mari et deux enfants. Mais dès que l'on creuse un peu, cette femme est en grande position de faiblesse : son mari d'une extrême jalousie la malmène, la harcèle et manipule les enfants qui ne voient rien.
Elle a donc besoin de souffler, et pour cela, s'inscrit sur un site de rencontre. Elle va passer une très belle après midi dans les bras d'un inconnu sans penser que sa vie va dorénavant être une descente aux enfers. Elle va lutter au début et finira par baisser les bras quand la maladie va croiser son chemin.
Dans ce roman il est question du sacrifice d'une femme pour ses enfants, prête à supporter beaucoup jusqu'à y laisser sa santé sans avoir le soutien de sa famille qu'elle est en droit d'espérer. Au delà de ce sacrifice, il est question des violences faites aux femmes et du comment elles gèrent le quotidien.
J'ai apprécié ce livre poignant, fort car il aborde un sujet tristement d'actualité et contre lequel encore peu de solutions sont proposées. L'écriture est très belle, avec les choses sont dites mais sans avoir une atmosphère lourde, angoissante, pesante. Au contraire il y a toujours l'espoir.
Le rapport à la forêt est double. Elle est source de plaisir immédiate comme lors de la rencontre avec l'amour fugace mais aussi de mal être car elle représente aussi l'imbroglio dans lequel Bérénice se démène : mensonges, violence, aigreur, rancœur, souffrance.
https://quandsylit.over-blog.com/2023/07/l-amour-et-les-forets-eric-reinhardt.html
L'amour et les forêts, où, comment un être vide, dépourvu de tout sentiment, peut en tuer un autre avide d'AMOUR et ceci sans violence physique.
Quand la vie dévisse
Ce livre attend d’être lu depuis sa sortie. Mais le battage médiatique était tel que j’avais différé. C’est en écoutant la lumineuse Virginie Efira que j’ai eu enfin l’envie de m’y plonger.
Plonger est le terme, failli m’y noyer car décontenancée par l’écriture ampoulée et ce « Bénédicte Ombredanne » assené comme une litanie qui me laissait à distance d’une histoire pourtant intéressante.
Une fois accepté ces obstacles, j’ai pu apprécier quelques phrases ciselées.
Certaines scènes, comme la séquence Meetic, la rencontre avec Christian, m’ont décrispée même si le tout oscille entre obscénités et mièvreries qui parfois créent le malaise.
Les dialogues avec les enfants sonnent juste et interrogent : « Tu sais ça prend du temps de savoir qui on est, il faut y réfléchir et dans ce but il faut apprendre à penser, oui, penser, tu m’as bien entendue, donc s’équiper des outils adéquats, acquérir une culture, exercer sa sensibilité et son intelligence. C’est à ça que ça sert, les études, figure-toi, et pas à formater les esprits […] Si tu renonces dès aujourd’hui au collège pour pouvoir garder intact cet état originel où tu crois identifier ce qui fait ta singularité, eh bien dans quelques années tu te réveilleras un matin en te découvrant prisonnière d’une situation que tu n’avais pas vue, tu découvriras un système établi là où toi pensais qu’il y avait un immense territoire de liberté… »
Ce dialogue entre Bénédicte et sa fille Lola, 12 ans, ne fait qu’approfondir le gouffre qu’il y a sous les pieds de Bénédicte qui a tout, en théorie, pour ne pas subir cette situation et le fait qu’elle la subisse sans mettre de mots sur ses maux, le déni total.
Le lecteur se dit que cette femme éduquée et qui a les moyens de son émancipation a en mains les atouts pour mettre en pratique ce qu’elle essaie d’inculquer à sa fille.
Le pourquoi, reste une grande interrogation avec un embryon d’explication donné par sa jumelle à la fin du livre.
L’atout de ce livre est, indéniablement, de montrer au lecteur, pas à pas, le processus de destruction. Ici, la transformation physique de la victime, consumée par la violence, se voit. Le lecteur observe cette déliquescence, Bénédicte devient son ombre, telle une sculpture contemporaine en matières périssables. Elle se dissout sous nos yeux.
L’histoire dit aussi beaucoup sur les gens qui sont dans son entourage, qui la voit chaque jour, qui se doute et n’approfondisse pas nécessairement, la vie qui file pour chacun…
Mais l’ensemble me laisse une impression ambiguë de « trop plein » de mots et du vide de l’inachevé, comme si le style de l’écriture et la construction n’épousait pas son sujet.
L’adaptation cinématographique semble avoir pris un autre parti narratif, mais pas sûre d’aller en salle malgré la présence de Virgine Efira et Melvil Poupaud.
©Chantal Lafon
https://jai2motsavousdire.wordpress.com/2023/05/26/lamour-et-les-forets/
Un sujet profondément sociétal, quand on connait le nombre de femmes mortes sous les coups de leurs conjoints ; mais ceux-ci peuvent – au-delà de la force physique –, faire vivre un véritable cauchemar à leurs compagnes, pour aboutir au même résultat.
Si la quatrième de couverture nous spécifie que le livre de Éric Reinhardt sera " un texte fascinant", je dois reconnaître que dès le début j'ai souffert devant le style affecté voire à certains moments emphatiques de ce récit. Pourtant, j'ai insisté, diantre, pour espérer que Bénédicte Ombredanne (une anagramme ; une ombre damnée ?) arrive à trouver l'issue de sa forêt bien épaisse ou trouver la paix loin de son mari tyrannique.
Que dire de son mari Jean-François : un homme humiliant, un harceleur féroce, un adepte du chantage avec les enfants et un individu malsain, névrosé.
Enfin, Bénédicte, qui considère avoir une existence délabrée, et se désigne comme un objet mis au rebut, et donc une femme abandonnée. Une femme qui se voulait libre, et éviter les sempiternelles notions de conformisme, d'ordre établi et d'étroitesse d'esprit. Et qui ne trouvera, malheureusement, que d'ineffables coercitions.
Elle aura un seul moment dans ce lourd destin ; celui de jouir d'un instant unique, où le temps suspend la tombée des feuilles et lui octroi cet instant uniquement pour elle ; se sentir enfin désirée ; mais pour un bien court laps de temps ; pour derechef retrouver son sentiment de déréliction du ménage !
En résumé: j'ai la très nette impression d'être resté à l'orée du bois et de ne pas avoir trouvé le départ du sentier de grande randonnée de l'amour. Déçu, je suis, déçu je reste, car je n'ai pas eu l'appel de la forêt.
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J'adore cette chronique qui exprime si bien la déception d'un livre encensé par les critiques.