"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Rondouillard, naïf et sympathique, l'Agent 212 est la cible de tous les ennuis et de toutes les mésaventures auxquels un agent de police peut se trouver exposé. Délinquants, conducteurs imprudents ou suicidaires obstinés se succèdent, pour la plus grande joie des lecteurs et de ses auteurs, Kox et Cauvin.
Neuvième album de L’agent 212, paru en 1988, et toujours pas une ride. Les auteurs, Kox et Cauvin, savent se renouveler et nous surprendre à chaque fois avec des nouveaux gags et surtout un dessin qui ne cesse d’aller de l’avant sans jamais rester sur des acquis. Les gags ne se limitent pas à une seule planche mais s’étalent sur deux ou trois pages et il faut avouer que notre agent préféré n’est pas au bout de ses surprises. Ses camarades de jeu, ou de boulot comme vous voulez, l’accompagnent et nous apprenons à connaître un peu mieux cette brigade de bras cassé dirigé par un commissaire désemparé, et souvent énervé.
Un bon album qui ravira les grands et les petits. Je tiens à remercier Daniel Kox qui aura eu la gentillesse de nous dédicacer notre exemplaire pendant le festival de Roquebrune en septembre 2012.
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