Cinq chapitres portent chacun un nom de rue. Cinq nouvelles ?
L’écriture est très belle, mais j’avoue n’avoir pas tout compris, si ce n’est que ces notes sont le bilan d’une souffrance, d’une émotivité exacerbée, d’une grande solitude.
Dans le premier chapitre, Abel Klein est blessé,...
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Cinq chapitres portent chacun un nom de rue. Cinq nouvelles ?
L’écriture est très belle, mais j’avoue n’avoir pas tout compris, si ce n’est que ces notes sont le bilan d’une souffrance, d’une émotivité exacerbée, d’une grande solitude.
Dans le premier chapitre, Abel Klein est blessé, tourmenté, c’est un être d’une extrême sensibilité. Je l’ai assimilé à Yves Navarre lui-même.
Un court recueil que j’ai aimé lire, mais qui demanderait à ce que je l’approfondisse pour tenter d’y voir plus clair.