"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Pourquoi une ancienne réfugiée d'Éthiopie, Izraïla, arrivée enfant dans un camp de Khartoum, assiste-t-elle au procès de l'âme damnée d'Al Mokhtar, l'insaisissable tyran du Soudan ?
Nous sommes dans une Afrique de l'Est imaginaire, au milieu du XXIe siècle, alors qu'une guerre de l'eau oppose les pays qui se disputent le Nil et renforce les pouvoirs militaro-religieux. Sur les toits des immeubles s'entassent les plus pauvres de Khartoum, dans des villages de toile et de tôle, tel celui où Izraïla a vécu : La terrasses des égarés. Elle raconte son histoire comme un conteur une fable, le destin de tout un peuple et le nôtre, nous qui vivons dans un monde où tout semble un éternel recommencement.
Ce roman est aussi un hymne à l'amour, dans les folies d'une dictature où sont entraînés les personnages. La poésie y tient une place essentielle comme une voix qui rappelle que, tant qu'il y aura des artistes, la vie ne sera pas perdue.
Quelle parole est légitime quand la guerre ravage tout et justi??e tout, surtout le pire ? Aucune. Sauf pour témoigner. Et je veux témoigner.
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