80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Je marchais dans les rues de Nice, ma Babouchka s'était accrochée à mon bras. Elle venait de poster sa vingtième lettre au directeur d'Historia. Il faisait chaud, je me demandais si Suzanne viendrait à la plage, si ma mère réapparaîtrait un jour, si Anastasia Romanov était toujours vivante et rôdait dans les parages...J'avais treize ans. Peu de certitudes. Et beaucoup d'imagination... V.O.Tandis que le spectre de la mythique Anastasia Romanov rôde sur cette Côte d'Azur où se sont réfugiés nombre de Russes blancs, Véronique Olmi égrène des secrets d'enfance, avec un humour discret qui habille le récit d'élégance. Jean-Luc Douin, Le Monde des livres.
Sonia, treize ans, vit à Nice avec sa Babouchka, extravagante grand-mère toujours empreinte de l'histoire des tsars.
Sa mère part tout le temps, sans donner de véritables explications.
Son père n'a pas très envie de l'avoir chez lui.
Entre l'aïeule et sa petite fille existe une grande complicité. Babouchka étant admise à l'hôpital après une chute, voilà Sonia livrée à elle-même, avec toutes ses questions.
L'histoire est belle, émouvante, bien écrite.
Mais les réflexions de Sonia me semblent bien matures pour une enfant de treize ans, et il semble peu probable qu'elle puisse être ainsi livrée à elle-même sans que quelqu'un n'intervienne.
Dommage, ça ôte de la crédibilité au roman.
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