La prisonnière du cheikh de Carol Marinelli.
De grands yeux clairs et un sourire angélique : Suzanne Delaney est l'innocence incarnée. Pourtant, si Ilyas l'a convoquée aujourd'hui au palais de Zayrinia, c'est parce qu'elle représente une menace pour son frère bien-aimé qu'elle s'amuse à faire chanter, aux dires de son vizir. Mais, lorsque Suzanne s'écrie qu'elle s'appelle en réalité Maggie et qu'on lui a offert ce séjour à condition qu'elle accepte de se faire appeler Suzanne, Ilyas ne sait plus que penser... Dit-elle la vérité, ou tente-t-elle de le manipuler ? Il doit en avoir le coeur net, et vite. Car, bien malgré lui, l'idée de la relâcher au risque de ne plus jamais la revoir le contrarie profondément....
Une erreur impardonnable de Carol Marinelli.
Oh, Petra...
Petra ? Flo est folle de rage : comment Hazin ose-t-il prononcer le nom d'une autre femme alors qu'il est en train de la couvrir de baisers brûlants ? Faut-il qu'elle soit maudite pour ne tomber que sur des goujats qui lui brisent le coeur ? Pourtant Hazin - son cheikh aux yeux d'ambre - semblait si sincère avec elle, derrière la façade de play-boy invétéré qu'il s'applique à afficher ! Le coeur brisé, Flo repousse Hazin, malgré ses supplications déchirantes. Car elle l'a décidé : elle doit l'oublier à tout jamais...
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