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En vidant l'appartement de sa mère qui vient de mourir, Christina, journaliste berlinoise, trouve une vieille carte postale en noir et blanc coincée derrière un tiroir. Dessus, des joueurs de tango du Buenos Aires des années 1930. Derrière, un mystérieux message.
Intriguée, Christina décide de fouiller le passé de sa mère et apprend que celle-ci n'était pas celle qu'elle croyait. Elle remonte le sillage de son arrière-grand-mère, Emma : jeune femme audacieuse, elle a quitté son Allemagne natale dans les années 1920 pour trouver le bonheur auprès d'un Argentin épousé dans la précipitation. Mais la jeune mariée est troublée par Eduardo, un joueur de bandonéon... Une passion soigneusement enfouie, qui bouleversera son existence, mais aussi celle de ses descendants.
« Quel superbe roman ! Quelle histoire passionnante ! » Gérard Collard
Christina, berlinoise, vient de perdre sa mère. En vidant la maison de celle-ci, elle trouve une vieille carte postale venant d'Argentine et représentant des joueurs de bandonéon. Derrière, une phrase énigmatique, signée "E". Christina pensait que sa mère avait perdu ses parents lors des bombardements berlinois pendant la guerre 39-45. Mais un lien avec l'Argentine ??? Lequel ? Et la voilà partie à la recherche de ses ancêtres, sur les traces d'abord de ses grands-parents qui vont l'amener petit à petit en Argentine.
Un chapitre sur deux, pour mieux comprendre ce qui s'est réellement passé, l'auteur nous raconte la vie d'Emma, berlinoise qui a cru au grand amour et qui n'hésita pas à suivre Juan Hechtl, gros propriétaire terrien en Argentine. Emma m'a quelquefois agacée par son côté un peu coincé. Elle finit pourtant elle aussi par tromper son mari (certes, elle a de bonnes excuses). Sa vie ne fut finalement pas facile.
La montée du nazisme ne l'a pas laissée indifférente et le contexte historique est toujours présent en arrière plan : la crise de 29, l'arrivée au pouvoir d'Hitler, la guerre et l'exil des Juifs se réfugiant pour certains en Argentine.
Un bon roman, même s'il m'a paru parfois un peu long au début.
Christina, berlinoise, vient de perdre sa mère. En vidant la maison de celle-ci, elle trouve une vieille carte postale venant d'Argentine et représentant des joueurs de bandonéon. Derrière, une phrase énigmatique, signée "E". Christina pensait que sa mère avait perdu ses parents lors des bombardements berlinois pendant la guerre 39-45. Mais un lien avec l'Argentine ??? Lequel ? Et la voilà partie à la recherche de ses ancêtres, sur les traces d'abord de ses grands-parents qui vont l'amener petit à petit en Argentine.
Un chapitre sur deux, pour mieux comprendre ce qui s'est réellement passé, l'auteur nous raconte la vie d'Emma, berlinoise qui a cru au grand amour et qui n'hésita pas à suivre Juan Hechtl, gros propriétaire terrien en Argentine. Emma m'a quelquefois agacée par son côté un peu coincé. Elle finit pourtant elle aussi par tromper son mari (certes, elle a de bonnes excuses). Sa vie ne fut finalement pas facile.
La montée du nazisme ne l'a pas laissée indifférente et le contexte historique est toujours présent en arrière plan : la crise de 29, l'arrivée au pouvoir d'Hitler, la guerre et l'exil des Juifs se réfugiant pour certains en Argentine.
Un bon roman, même s'il m'a paru parfois un peu long au début.
En vidant l'appartement de sa mère qui vient de mourir, Christina, une jeune journaliste berlinoise, trouve une vieille carte postale représentant un groupe de joueurs de tango, sur au dos de laquelle est écrit un mystérieux message.
Intriguée, Christina décide de fouiller le passé de sa mère et apprend que celle-ci n'était pas celle qu'elle croyait. À la recherche de ses véritables origines, la journaliste part pour l'Argentine.
De l'autre côté de l'Atlantique, elle enquête dans le sillage de son arrière-grand-mère Emma, une jeune femme audacieuse qui a quitté son Allemagne natale dans les années vingt pour trouver le bonheur auprès de Juan, un riche exportateur argentin ambitieux épousé dans la précipitation. La jeune mariée est pourtant troublée par Eduardo, un joueur de bandonéon qui exerce sur elle une fascination irrésistible. Cette passion bouleversera son existence, mais aussi celle de ses descendants.
Ce roman nous fait voyager et nous entraîne en Argentine.
Il comporte une enquête pour découvrir la véritable histoire qui se cache derrière le message de la carte postale, mais aussi une histoire d'amour qui sera réellement le coeur du mystère.
Mais plus sérieusement, nous en apprenons aussi beaucoup sur l'Histoire de l'Argentine, sur certains aspects du nazisme et de la résistance et tout cela en traversant les mers et les époques.
J’ai commencé ce livre après en avoir entendu une très bonne critique. Et j’ai été plutôt déçue… J’ai eu des difficultés à rentrer dedans : après avoir lu les premières pages, il a traîné de longs mois dans ma bibliothèque avant que je me décide à persévérer, et j’ai dû réfréner à plusieurs reprises l’envie de passer à autre chose.
L’histoire n’est pas inintéressante et l’auteur réussi à maintenir un peu de suspens, mais le style narratif est on ne peut plus classique, et reste très en surface du sujet, de l’action, et surtout des personnages. De plus, certains éléments semblent tellement gros que finalement, je n’ai pas cru à l’histoire que l’auteur me racontait : une défunte mère qui apparaît au détour d’un cimetière au moment où sa fille en a le plus besoin ; deux personnes, dans l’Argentine des années 1920-1930, issues de classes sociales opposées, qui tombent éperdument et à jamais amoureux au premier regard (littéralement !), faisant fi des conventions sociales et du « racisme de classe » (encore plus) en vigueur à l’époque et que l’auteur met pourtant en avant ; d’inconnus ancêtres qui parlent à travers la bouche de leur descendante, etc.
De plus, la description des personnages souffre de trop peu de nuances, il y a les (très) gentils d’un côté et les (très) méchants de l’autre, et cette lecture manichéenne rend le tout globalement assez prévisible et simpliste.
Bref, je suis donc bien contente de l’avoir terminé et de pouvoir passer à autre chose !
La photo jaunie d'un groupe de joueurs de tango argentins et au dos ces quelques mots énigmatiques : ''Le bandonéon porte ma vie. E.''. Voilà ce que trouve Christina, bien caché derrière un tiroir, en vidant l'appartement de sa mère qui vient de mourir d'un cancer. La jeune journaliste berlinoise est d'autant plus intriguée qu'elle pensait tout connaitre de sa mère avec qui elle entretenait une relation fusionnelle. Accrochée par cette énigme et irrémédiablement attirée par le regard du joueur de bandonéon de la photo, Christina décide de mener l'enquête et s'envole vers Buenos Aires, laissant en Allemagne, un mari qu'elle n'est plus certaine d'aimer. Ses pas la mèneront dans ceux d'Emma von Schaslik, elle aussi berlinoise, jeune fille des années 20, belle et romantique, tombée amoureuse d'un beau et riche argentin qu'elle suivit dans son pays sans savoir qu'elle connaitrait la passion, non dans les bras de son ambitieux mari, mais dans ceux d'Eduardo, un irrésistible joueur de tango.
Un roman magnifique, entraînant, passionné, langoureux, une magnifique saga qui couvre l'histoire mouvementée du XXè siècle, de Berlin à Buenos Aires. Romance, passion, secrets, musique, trahison, manipulation se mêlent dans la moiterur argentine sur fond de deuxième guerre mondiale. On y côtoie la communauté allemande expatriée, les juifs prudents qui commencent à fuir l'Europe, les nantis, mais aussi les bas-fonds de la capitale, les quartiers mal famés où de beaux et ténébreux joueurs de tango font chavirer les sens des dames venues s'encanailler dans les bars du port. Mais le charme du roman tient aussi à la personnalité de la tendre Emma, jeune fille sensible emportée par la passion malgré les convenances, femme forte qui tient tête à une belle-mère acariâtre, à un mari violent et à l'antisémitisme ambiant dans les rangs de la communauté allemande.
Si l'on devait mettre un bémol, ce serait le manque de nuances des personnages. Emma, belle, bonne, sensible est toujours du bon côté -même son adultère semble aller de soi -, alors que son mari Juan est doté de tous les défauts, prend toujours les mauvaises décisions et, bien sûr, se rallie à la cause nazie. Mais ce n'est là qu'une chicanerie. La mélodie du passé possède le souffle romanesque des plus grandes sagas. C'est un premier roman très réussi, un véritable coup de coeur.
Moins heureuses dans le genre thriller, les éditions Les Escales sont imbattables quand il s'agit de dénicher les meilleurs romans de littérature étrangère. Après Un goût de cannelle et d'espoir découvert avec bonheur l'an dernier, cet été sera placé sous le signe du tango argentin. A ne pas manquer !
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