"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Par un beau matin d'août 1936, un livreur de pain ambulant découvre au bord de la route ce qu'il croit tout d'abord être le corps sans vie d'un jeune homme. Revenant sur ses pas, il s'aperçoit que l'homme n'est pas mort, ramène le blessé chez lui et le soigne. Mais, si celui-ci récupère peu à peu quelques capacités physiques, il demeure amnésique, muet et incapable d'autonomie.
Ainsi commence l'incroyable histoire qu'un mendiant ivrogne raconte au journaliste et narrateur, venu couvrir en Andalousie les célébrations du cinquantenaire de la mort de Lorca, et attendant au buffet de la gare le train qui doit le ramener chez lui.
Avec cet art de la narration qu'on lui connaît, après Je vais mourir cette nuit et L'Enfant des colonels, Fernando Marías, dans La Lumière prodigieuse, nous entraîne sur les traces d'un Lorca émouvant, errant et misérable, façon de rendre hommage dans un récit palpitant à ce poète universel qui affirmait : «Rien n'est plus vivant qu'un souvenir.»
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