On aime, on vous fait gagner 8 albums BD pour les plus jeunes lecteurs comme les ados !
1941. Rachel étudie à l'internat de la maison de Sèvres, où ses parents l'ont placée par sécurité. Elle y noue de belles amitiés mais y découvre surtout sa passion, la photographie. Bientôt, les lois contre les Juifs s'intensifient, il n'y a plus de sécurité nulle part en zone occupée. Un réseau de résistants organise la fuite des enfants juifs. Du jour au lendemain, ils quittent tout et doivent oublier, le temps de la guerre, tout de leur vie d'avant, à commencer par leurs prénoms. Rachel devient Catherine. Raconte, lui intiment ses professeurs en l'envoyant sur les routes de la zone libre, un appareil photo à la main. C'est ainsi que nous découvrons le quotidien d'une adolescente juive dans la guerre, ses rencontres, ses peurs mais aussi les quelques moments de répit et de grâce que lui offrira son art.
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J'avais lu le roman et j'ai adoré cet album de BD. Cette adaptation est vraiment une réussite.
1941. Rachel étudie à l’internat de la maison de Sèvres, où ses parents l’ont placée par sécurité. Elle y noue de belles amitiés mais y découvre surtout sa passion, la photographie. Bientôt, les lois contre les Juifs s’intensifient, il n’y a plus de sécurité nulle part en zone occupée. Un réseau de résistants organise la fuite des enfants juifs. Du jour au lendemain, ils quittent tout et doivent oublier, le temps de la guerre, tout de leur vie d’avant, à commencer par leurs prénoms. Rachel devient Catherine. Raconte, lui intiment ses professeurs en l’envoyant sur les routes de la zone libre, un appareil photo à la main. C’est ainsi que nous découvrons le quotidien d’une adolescente juive dans la guerre, ses rencontres, ses peurs mais aussi les quelques moments de répit et de grâce que lui offrira son art.
CEtte BD est une adaptation du livre de Julie BILLET mais c'est 1 MERVEILLE!!!!!!!
Déjà c'est une période historique que j'adore et l'histoire est superbement relatée et les illustrations, telles des aquarelles dans les tons jaunes et verts la rendent encore plus belles car elles laissent transparaitre de l'espoir. Les traits sont toute en douceur ce qui contrebalance la dureté de l'histoire et. Rachel/Catherine est une jeune fille très courageuse, pleine de volonté et de gentillesse. Cette lecture est une histoire remplie de poésie et de grâce qui est très prenante. Une fois dedans, on est happé par l'objectif de Catherine et le final est bien trop rapide...Elle devrait être mise dans les mains de tous et toutes afin de se souvenir et de ne pas refaire les mêmes erreurs.
Une BD intéressante sur une jeune fille d'origine juive qui doit fuir sa famille et sa région pour se protéger contre les rafles nazies. Elle va se passionner pour la photographie et s'attachera aux enfants qu'elle croisera sur son chemin. Les illustrations sont réussies et pleines de tendresse. Cette BD peut être lue par de jeunes lecteurs, dès la classe de 3èmeà mon avis.
Publié en 2017 aux Editions Rue de Sèvres, ce roman graphique est l'adaptation de l'œuvre de Julia Billet " La guerre de Catherine" paru en 2012. La collaboration de Claire Fauvel pour la qualité de ses illustrations contribue à rendre tout son charme au roman d'origine.
Confiée par ses parents à la Maison de Sèvres en ce début d'année 1940, Rachel ne quitte jamais son Rolleiflex. Passionnée par la photographie, elle s'adonne avec passion à saisir les instants où les visages se marquent d'émotion et à cerner les corps en mouvement.
A l'aube de la Seconde Guerre Mondiale, l'oppression allemande et le début des rafles vont contraindre la responsable à falsifier l'identité des enfants juifs présents pour les protéger.
p. 37 : " Je sais déjà que je ne choisirai pas mon nouveau prénom, parce que, au fond de moi, je ne veux pas me perdre. "
Rachel Cohen devient Catherine Colin.
Mais bientôt les lois contre les juifs s'intensifient, il n'y a plus de sécurité nulle part en zone occupée. C'est le temps de l'exode.
p. 42-43 : " Les enfants, j'ai le regret de vous annoncer que vous devez quitter la maison de Sèvres, vous n'êtes plus en sécurité, ici. Vous allés être dispersés dans divers lieux en attendant que les choses se calment. - Je hais cette putain de guerre. "
Par le prisme de son appareil photo elle immortalise chaque instant, chaque visage rencontré ; un témoignage bouleversant.
p. 46 : " Tu pars ? Prends des photos, collecte des images, et rapporte-nous tout ça à la fin de la guerre. Va, regarde le monde avec des yeux d'artiste, de citoyenne de la République des enfants. Ne perds rien. Nous aurons besoin de ces témoignages quand la guerre sera finie. "
Mais c'est l'espoir qui prédomine, dans l'innocence d'une enfance meurtrie.
Les 160 pages qui composent ce roman graphique sont vibrantes de réalisme. On est littéralement absorbé entre empathie et justesse. Les couleurs sont dynamiques et la rondeur du style apporte une douceur au cœur de la gravité contextuelle.
Une passionnante BD qui se déroule pendant la guerre où l'on découvre de l'intérieur la vie que pouvait être celle des enfants juifs qui ont été cachés et sauvés par le réseau de résistants. Portée par la dynamique Catherine cette histoire reste assez gaie. Grâce à sa passion elle a ramené des images totalement inédites et particulièrement intéressantes de cette période. Un moment de sa vie traumatisant rempli de doute mais qui lui a permis de mieux se connaitre et de choisir sa voie.
Inspiré de la vie de la grande mère de Julia Billet, cette histoire romancée est émouvante et pleine d'espoir.
Les illustrations sont douces, souples et glissent à l'oeil, c'est un vrai plaisir
Cette bande dessinée jeunesse, inspirée d'un roman de Julia Billet, est magnifique et mérite amplement le prix remporté au festival d'Angoulême.
L'histoire se déroule pendant la seconde guerre mondiale et retrace le destin d'une jeune fille juive Rachel, pensionnaire à la maison des enfants de Sèvres en région parisienne après la disparition de ses parents.
Cette structure accueillait des enfants de tous âges et de toutes origines, victimes de la guerre. Elle était animée par Yvonne Hagnauer surnommée "Goéland" et par son mari "Pingouin".
Cette école s'appuyait sur une pédagogie nouvelle. L'équipe éducative appliquait notamment les travaux d'Ovide Decroly. Une place importante était donnée à l'observation, l'autonomie, aux arts, à la rédaction d'un journal. Les enfants avaient des responsabilités et participaient à l'organisation de la classe.
Rachel s'y sent bien : elle est entourée de ses amis Sarah et Jeannot. Elle découvre la photographie avec Pingouin .Celle-ci va devenir sa passion, au point de devenir responsable de l'atelier photos.
Mais le gouvernement impose le port de l'étoile jaune pour les enfants juifs et l'équipe éducative de la maison refuse de se soumette à cette loi. Elle va donc créer de faux papiers pour les enfants concernés qui doivent changer d'identité. Rachel va devenir "Catherine".
Suite à l'arrestation de plus de cent mille juifs lors de la rafle du Vél d'hiv, l'école décide d'envoyer tous les enfants juifs en zone libre.
Le lecteur suit de le destin de cette jeune fille qui va devoir changer à plusieurs reprises de lieux de vie jusqu'à la fin de la guerre. Elle y fera de nombreuses rencontres donc elle gardera une trace photographique, pour ne pas oublier.
J'ai trouvé cette bande dessinée fabuleuse. L'histoire qui s'inspire de faits réels, m'a passionnée. Elle est traitée de façon très sensible.
Le contexte historique est très bien décrit. Je ne connaissais pas la maison de Sèvres. Suite à la lecture de cette BD, j'ai envie d'en savoir davantage car j'ai vraiment été intéressée par cet aspect du récit, par le fonctionnement de cette structure et le militantisme de l'équipe éducative. Si j'en ai l'occasion, j'aimerais beaucoup découvrir le livre de Goéland intitulé « Pédagogie clandestine pour une école ouverte » qui raconte l'histoire de la maison d'enfants.
Les personnages sont très attachants car un sentiment fort d'humanité se dégage d'eux. Les illustrations de Claire Fauvel sont très belles, elles ont un petit coté rétro qui m'a beaucoup plu. Elle met merveilleusement bien en valeur le récit de l'auteure.
J'ai eu un énorme coup de cœur pour « La guerre de Catherine » et j'invite chacun à découvrir cette BD passionnante.
Un grand merci aux éditions "Rue de Sèvres" !
Rachel vit dans un pensionnat, la Maison des enfants de Sèvres, dans lequel les enfants sont valorisés et peuvent s’épanouir à leur rythme. Son plus grand bonheur est de prendre tout ce qu’elle peut en photo. Sa vie est préservée de la guerre jusqu’à ce que les nouvelles lois antisémites ne l’obligent à fuir sous l’identité de Catherine Colin. Tout au long de sa fuite et des rencontres qu’elle va faire Rachel/Catherine garde son appareil photo et son regard lucide qui le monde qui l’entoure.
J’ai beaucoup aimé ce portrait d’une jeune fille pendant la deuxième guerre mondiale. Le récit sonne juste. Le graphisme tout en douceur et sensibilité accompagne parfaitement l’histoire. Une belle réussite. Coup de cœur !
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