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Henry de Monfreid entend dire que la contrebande du hachich est en Egypte une institution d'Etat, secrète et jalousement cachée. Il entreprend alors de passer de Grèce à Suez, sur son bateau, un gros chargement de chanvre.
C'est le récit de cette entreprise qu'il nous fait, depuis l'achat du hachich dans une ferme grecque jusqu'au retour à Djibouti : un voyage très mouvementé dans le mystérieux milieu des contrebandiers du golfe de Suez.
Après le négoce de pierres précieuses et de trafic d'armes, notre personnage se met en tête de transporter et vendre du hachich.
Nous voila partis dans un voyage singulier fait de mers déchainées, de voleurs, de corruption et de magouille.
Encore une fois les paysages sont magnifiques, on ressent la chaleur, on respire la poussière, on sent les fleurs et on goute les fruits.
La plume est toujours aussi élégante et le récit détaillé.
Un voyage du dèbut du 20ème siècle, farfelu et dépaysant.
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