80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
La Cité dolente, lieu imaginaire et pourtant si réel où le déclin de la vie passe de la joie mélancolique à la souffrance plaintive. Institution du mouroir ou du sur-vivoir ? La vie quotidienne avec ses bruits indigestes, ses maniaqueries, ses humiliations semble triompher par son inlassable présence des dernières aventures de la mémoire. Et « la vie du dehors », celle qu'offrent les images de la télévision, redouble le spectacle de cette misère existentielle qui donne envie de crier pour cesser enfin de gémir. Seule se trame grâce à un agencement audacieux des mots l'esthétique souveraine d'un regard porté sur le monde, - ce dernier regard qui nous fait roi.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Selma ne vit que pour les chevaux et c’est à travers eux qu’elle traverse cette période violente si difficile à comprendre pour une adolescente...
"Osons faire des choses qui sont trop grandes pour nous", suggère Maud Bénézit, dessinatrice et co-scénariste de l'album
"L’Antiquité appartient à notre imaginaire", explique la romancière primée cette année