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La Chasse de la Sagesse est un texte d'une rare importance :
Le Cusain y reprécise toutes ses intentions philosophiques et ses doctrines : sa conception, augustinienne, de la philosophie comme recherche et théorie de l'unité, sa théorie de la participation à l'un, le dernier développement de sa théorie de la coïncidence des opposés, un dernier infléchissement de sa théorie de l'intellect, et sa théorie de la nomination. Avec l'invention en 1460 du néologisme « possest », Nicolas de Cues entendait désigner en Dieu l'unité originelle de la possibilité et de l'actualité. Il développe dès lors une véritable philosophie de la puissance qui lui permet de résoudre les difficultés nées de ses thèses infinitistes antérieures et de promouvoir, en toute cohérence, son principe de coïncidence des opposés. Cherchant à éviter l'aporie aristotélicienne entre l'infinité du possible, requise par la toute-puissance de Dieu, et l'actualité finie de la création, Nicolas se rapproche de la conception bonaventurienne de Dieu comme pouvoir-même. La puissance divine se révèle et s'exprime alors successivement comme pouvoir-est (Dialogue à trois sur le pouvoir-est), pouvoir-faire (La Chasse de la sagesse) et pouvoir-même (Compendium et Cîme de la contemplation).
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