80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Depuis l'atroce mort de sa femme, l'inspecteur Mat Joubert est au bord du suicide. L'arrivée d'un nouveau chef, le lieutenant Bart de Wit, ne l'émeut guère. Pourtant, le programme de redressement moral et physique imposé par de Wit va le réveiller : Joubert doit cesser de fumer, perdre des kilos et consulter une analyste de la police, et son collègue Griessel devra arrêter de boire. En outre, deux enquêtes leur tombent dessus. La première, dont l'inspecteur Griessel va s'occuper, a trait à un homme, surnommé « Monsieur Mon Coeur » car il s'adresse toujours aux caissières des banques qu'il dévalise en les appelant « Mon coeur ». Pour la seconde enquête, Joubert et Griessel sont confrontés à une série de meurtres qui commence par l'assassinat d'un homme d'affaires, retrouvé avec la poitrine défoncée par une balle de gros calibre. Après analyse balistique, on découvre que le projectile n'a pu sortir que du canon d'un Mauser, arme dont on ne se sert plus depuis la guerre des Boers, ou d'un Tokarev, arme dont se servaient les guérillas marxistes de l'Angola. S'agit-il, le Mauser étant l'arme fétiche de l'extrême droite sud africaine, d'un meurtre politique ? Le lieutenant de Wit penche, lui, pour un meurtre crapuleux commandité par la mafia chinoise. Ainsi commence ce roman policier qui allie maîtrise de l'intrigue et coups de théâtre.
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