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Samedi 7 octobre 2023, 6 h 30
Il ne s'agit ni d'un journal intime ni d'un journal officiel. Mais d'un journal de guerre.
Guerre contre le désarroi personnel né un 7 octobre au réveil.
Guerre contre la détestation des Juifs et de leur État.
Guerre au jour le jour contre la nuit qui vient.
Guerre contre la désinformation médiatique pour causes idéologiques, à commencer par celle de l'audiovisuel public. Cette idéologie anti-occidentale du double standard, cette préférence pour l'Autre, qui traite différemment l'immigré et le Français, le Palestinien et l'Israélien.
Guerre contre une extrême gauche ayant sombré dans l'antisémitisme après son alliance avec l'islamisme.
Guerre contre la folie qui s'est emparée de l'Occident en perdition à cause de la disgrâce d'un wokisme détestant les Français, en tant que Blancs.
Une guerre totale. Argumentée, documentée, avec les armes de l'ironie mortelle et de l'humour létal.
Une guerre sans concessions menée par un avocat qui, parce qu'il aime tant la vie, a condamné cette haine qui nous menace à la peine de mort.
Le talentueux avocat médiatique Goldnadel semble avoir eu besoin d'exorciser sa douleur et son dégoût, suite à l'horrible massacre des terroristes du Hamas du 7 octobre 2023. On le comprend. Ça se traduit par la tenue d'un journal sur deux mois à partir de l'attaque, jour par jour, avec ses réflections, ses commentaires sur l'actualité du jour, des passages de ses articles de presse, etc ...
On ne peut que partager sa souffrance et son écoeurement. Souffrance d'un juif, avec leur passé, qui sent que tout recommence. Écoeurement du comportement de nos institutions, nos politiques, notre presse...
Certes Goldnadel parle en sioniste revendiqué mais ça n'empêche qu'il a bien plus souvent raison que tort. Et on ne peut que partager cet écoeurement. À moins bien sûr d'être un islamo-extrême-gauchiste, woke pour faire bonne mesure et antisémite convaincu. Si si il y en a.
Pour revenir sur ce livre, ce n'est certes pas de la grande littérature, ce qu'il ne prétend pas être. Un simple journal (pas intime) comme annoncé dans son titre. Et semble-t-il écrit dans l'urgence, le besoin de raconter et se raconter à chaud. Peut être pour cela qu'il y a beaucoup de répétitions. Des redites qui martèlent comme un mentra ses obsessions et les convictions maîtresses qu'il veut faire partager.
Ça se lit rapidement.intéressant pour faire un peu le point, sans détour, sur ce qui cloche dans notre société actuelle.
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