Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...
De 1977 à 2010, année de son décès, André Geerts n'a cessé d'enchanter les pages du Journal Spirou. "La petite chronique vénusienne", "Le commissaire Martin", "Monde cruel"... autant de pages dans lesquelles se révélait un talent qui trouvait naturellement sa place parmi celui de ses amis Hislaire, Frank Pé, Benn ou Le Gall.
En 1983, Jojo fait de timides débuts, en quart de page ; il n'est là que pour boucher les trous. Jusque-là, le rédacteur en chef du Journal Spirou voyait en André Geerts un auteur dans la lignée de Sempé. Si ses pages relevaient effectivement d'un esprit voisin, c'est avec Jojo qu'il affirme la dimension intensément poétique de son talent. Geerts développe un univers familier où la nostalgie d'une enfance heureuse, saupoudrée d'incessantes références autobiographiques, un regard tendre sur ce qu'est un enfant. En douceur, Jojo s'inscrit ainsi dans la tradition des séries familiales et ne ressemble véritablement à aucune autre.
Ce premier volume reprend les tomes 1 à 4 ainsi que 40 pages inédites.
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