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Préface de Roger Holeindre - Postface d'Alain Sanders
Un livre de combat qui résonne comme un tocsin, un appel à la résistance, à la révolte contre l'ennemi intérieur, celui qui détruit la Nation et qui ambitionne de changer sa population. Roger Holeindre dit de ce livre qu'il préface : « Il réussit à donner de notre pays une image exacte. Et un visage aux tripatouilleurs, aux escrocs et aux bonimenteurs qui amusent la galerie, pendant que leurs complices mènent la France aux abîmes. Chaque jour que Dieu fait, des individus, sans foi ni loi, quasiment apatrides, ayant fait main basse sur la presse, les radios, les télévisions, démoralisent le peuple, ridiculisent l'Occident et l'homme blanc. » Le ton du livre est donné...
À 85 ans, Pierre Descaves a entendu le message christique de Jean-Paul II : « N'ayez pas peur ! »
Il n'a pas peur, lui qui écrit : « S'il le faut, je défendrai encore le territoire de la métropole s'il devait être attaqué de l'intérieur par une population venue d'ailleurs. »
Ce ne sont pas des paroles en l'air. Et elles prennent une singulière résonance à l'heure où la Tunisie, la Libye et l'Égypte, « libérées » de leurs tyranneaux naguère choyés par un Occident suicidaire, viennent de se donner à l'islamisme. On rappellera au passage que les « islamistes modérés » (sic) du parti tunisien Ennahada ont obtenu, chez les votants tunisiens en France, un score supérieur à celui réalisé en Tunisie même... Ils ont bonne mine les chantres de l'intégration et de l'assimilation...
Oui, Rome n'est plus dans Rome et les Barbares sont déjà dans le Capitole... Est-il déjà très tard ? Oui. Est-il déjà trop tard ? Non. Il ne faut jamais pécher contre l'espérance. Et il est encore plus beau de croire au matin quand on est plongé dans les ténèbres. Pierre Descaves croit au matin de notre pays. Il le dit avec des mots qui résonnent comme sonnait jadis le tocsin alors que l'ennemi était à nos portes.
Aujourd'hui, l'ennemi a franchi les portes avec la complicité de ceux qui avaient mission de les garder fermées. L'erreur serait de croire pourtant que les carottes sont cuites. Et c'est très exactement le message d'espoir porté par ce livre de salut public.
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