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La journée du 13 avril avait bien commencé au lycée. Alors que Takashi sèche les cours et s'apprête à faire une petite sieste sur la terrasse de l'établissement, il aperçoit un professeur se faire dévorer par ce qui semble être un mort-vivant... Bientôt l'envahisseur est partout ! Takashi et une poignée d'élèves tentent de leur échapper avec un seul objectif :
Survivre !
Par un banal matin d'avril, Takeshi, élève en classe de première, s'apprête à sécher les cours après une nuit blanche. De la terrasse de son pensionnat où il pensait rattraper ses heures de sommeil, il assiste à une scène aussi insolite qu'inquiétante : un professeur se fait dévorer par ce qui lui semble être un mort-vivant ! Sans chercher à comprendre, il interrompt les cours pour alerter Rei, son amie d'enfance. Accompagnée d'Hisashi, son petit ami, elle se joint à Takeshi pour tenter de comprendre et surtout de sauver leurs vies. Dans les couloirs, d'autres groupes réussissent à combattre les zombies mais les morts s'accumulent. La situation est désespérée, le lycée devient trop dangereux, il faut quitter les lieux. Le survivants volent un bus pour fuir, essayer de récupérer les membres de leurs familles et s'éloigner de la menace. Mais le monde à changer, la planète toute entière est contaminée par cet étrange virus...
Grand format, papier glacé et tout en couleurs...la première impression est bonne, d'autant que les dessins en mettent plein la vue, hémoglobine oblige. Partant de là, l'histoire ménage le suspens tout en se conformant aux codes du genre : une horde de zombies à la dent dure, une contamination rapide par simple morsure, des survivants héroïques qui se débattent entre incompréhension et instinct de survie. C'est plutôt bien fait, suffisamment gore pour les fans de sang frais, et certaines personnalités émergent, les grandes gueules, les cœurs purs, les ''malgré eux'' et les profiteurs.
Au final, ce qui dérange dans ce manga, c'est le public visé, à savoir un public masculin libidineux qui ne se contenterait pas d'un bon scénario mais voudrait aussi se rincer l'oeil...Aussi, les jupes sont courtes, les petites culottes affriolantes, les positions équivoques, les poitrines extravagantes. Pour l'instant, on peut passer outre, mais il ne faudrait pas que ce travers prennent le dessus sur le récit. A suivre donc, puisque par ailleurs, on accroche suffisamment aux personnages et à l'ambiance apocalyptique pour avoir envie d'en savoir plus.
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