7 superbes films et autant de livres qui feront votre bonheur...
«S'il faut dire la vérité, Jay Gatsby, de West Egg, Long Island, naquit de la conception platonicienne qu'il avait de lui-même. Il était fils de Dieu - expression qui ne signifie peut-être rien d'autre que cela - et il lui incombait de s'occuper des affaires de Son Père, de servir une beauté immense, vulgaire, clinquante. Aussi inventa-t-il la seule sorte de Jay Gatsby qu'un garçon de dix-sept ans était susceptible d'inventer, et il demeura fidèle à cette conception jusqu'à la fin.» Le chef-d'oeuvre de Francis Scott Fitzgerald paraît ici dans une traduction inédite.
7 superbes films et autant de livres qui feront votre bonheur...
Parce qu’on peut TOUS se souhaiter beaucoup d’amour en ce 14 Février !
Je l'ai lu après avoir vu le film. Il contient bien sure beaucoup plus de details sur cette impossible puissante et triste histoire d'amour. Je le recommande vivement
Un ancien livre du grand Francis Scott Fitzgerald : « Gatsby le magnifique », un livre ancien et un très bon livre.
Une lecture qui m'a bien passionnée ainsi que livre. Cela arrive parfois.
Je me suis laissée emportée par les soirées somptueuses des années folles, attendrie par la mélancolie d’un homme qui poursuit le rêve de revoir la belle Daisy et qui verra bien vite s'envoler ses illusions.
Avec autant d'émotions en si peu de pages, pas étonnant que ce roman ait été qualifié de chef-d'œuvre.
Un énorme coup de ❤️
Gatsby le magnifique se présente comme une peinture de la bourgeoisie américaine des années folles, avec son lot de soirées mondaines et de personnages un peu superficiels installés dans des villas luxueuses.
Au milieu d’eux, Gatsby, personnage richissime tout autant qu’empreint de mystère, mène une vie d’opulence. Il regarde sa villa s’animer au gré des fêtes qu’il offre à ses invités puis retrouver son calme lorsque la nuit s’achève.
Nick, son voisin, narrateur du récit, nous invite à observer le spectacle de ce monde si particulier, mais nous entraîne aussi dans ses coulisses, au cœur desquelles les personnages vont peu à peu dévoiler leur part d’ombre, leurs faiblesses et leurs secrets.
Couples enlisés, tromperies, mensonges et excès, tous les ingrédients sont au rendez-vous. Pourtant cette œuvre est bien plus que tout cela. Elle est une étude passionnante de la nature humaine servie par une écriture fine, ouvragée mais remarquablement confortable. Elle nous offre en prime un final magnifique d’humanité et de profondeur, entre ombre et lumière.
Même si on n'a jamais lu ce roman, on en a tous, ou presque, entendu parler. Francis Scott Fitzgerald le considérait lui-même comme son chef d'oeuvre. Il traînait dans ma PAL depuis de longues, très longues années, je l'avais acheté lors de ma première année de fac car nous en étudiions un extrait, études d'anglais obligent. Et comme souvent, lectures obligatoires ou extraits rabâchés dix mille fois, je l'avais reposé dans ma bibliothèque sans en lire l'intégralité. Il est très court pourtant, moins de 200 pages.
Ce qui est incroyable avec Gatsby le magnifique, ou The Great Gatsby pour moi, est que ce tout petit roman possède une extraordinaire force et densité. Alors oui, pendant de très très longs passages, plus de la moitié du livre, il ne s'y passe pas grand chose. On vogue de fête en fête chez ces riches Américains qui ne connaissent pas encore la crise. Ils s'amusent, ils s'encanaillent presque, sans se soucier du lendemain. À la lecture, on imagine très bien les lustres en cristal, les rideaux faits en matière soyeuse, les belles dames qui se mêlent aux mauvais garçons venus là pour les séduire et le champagne coulant à flot malgré la prohibition en vigueur. Et au milieu de tout ça, il y a Gatsby. C'est lui qui organise les plus belles fêtes, son domaine est the place to be; et lui ne voit que Daisy, son amour de jeunesse qu'il espère reconquérir. Mais Daisy est mariée, certes à un homme méprisable sous bien des aspects, raciste, misogyne, adultère, mais qui a le bon goût, par contre, d'être bien né et riche. Ce que Gatsby n'était pas dans sa jeunesse, lui qui s'est fait tout seul, par des moyens plus ou moins légaux. Cet été 1922 les changera tous à jamais...
L'histoire peut paraître banale, une femme, deux hommes, le triangle amoureux dont la littérature ne se lasse pas. Mais ajoutez -y un narrateur intelligent et lucide ainsi que des personnages secondaires qui joueront un rôle majeur dans l'histoire, et vous aurez au final un roman de moins de 200 pages que vous n'oublierez pas de sitôt.
Et le génie de F. Scott Fitzgerald réside dans son écriture, très concise et précise, et surtout une phrase d'introduction et une de conclusion qui résument à elles-seules l'essence même du livre.
Cet ouvrage n'a peut-être pas connu le succès à son époque mais il a traversé l'épreuve du temps avec brio, devenant ainsi un classique absolu de la littérature américaine et mondiale. Vous avez dit génération perdue ?
« Il y eut de la musique chez mon voisin tout au long des nuits d'été. Dans ses jardins bleus, les hommes et les femmes allaient et venaient comme des phalènes parmi les chuchotements, le champagne et les étoiles. »
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New York, années folles… Dans sa somptueuse demeure de Long Island, Jay Gatsby organise de fastueuses réceptions où les invités se pressent en foule. Mais leur hôte ne cherche à éblouir qu'une seule personne : Daisy Buchanan.
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Un chef-d'oeuvre littéraire, condensé d'une époque, témoignant des années folles, de la concrétisation du rêve américain, du chemin tortueux qui y mène parfois, ainsi que de la désillusion et de la chute brutale qui souvent l'accompagnent.
Mais on ne peut pas réduire Gatsby le magnifique au thème de l'arrivisme, c'est plus largement une remarquable étude sur la nature humaine et c'est ce qui en fait sa profondeur.
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Dès le premier chapitre, j'ai été frappé par la densité de l'écriture de Fitzgerald. Chaque phrase est ciselée, pleine de sous-entendus et lourde de sens. Et pourtant la lecture n'en reste pas moins fluide et vertigineusement élégante.
Sous le charme de ce récit indémodable, de ce personnage énigmatique, richissime romantique qui a le Tout-New York à ses pieds alors qu'il rêve de celle qui lui a échappé, autrefois.
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« C'est ainsi que nous nous débattons, comme des barques contre le courant, sans cesse repoussés vers le passé»
Plonger dans une société d'abondance matérielle, où les richesses deviennent la monnaie pour acheter une réputation, une compagnie, une amitié, un amour. Cette opulence enferme les personnages dans un rôle social qu'ils jouent à la perfection sauf lorsque l'amour "vrai" fait son apparition et les laisse face à la dure réalité de leur existence réelle et non pas imaginée. Une œuvre merveilleuse que l'on doit à F. Scott Fitzgerald, lui même amoureux d'une personne presque aussi exubérante que l'héroïne de ce roman.
En parlant d'histoire d'amour, j'ai aimé LES HAUTS DE HURLEVENT, et GATSBY LE MAGNIFIQUE, impossibles et tourmentées amours, romanesques à souhait, même si le style de Fitzgerald est plus sobre que celui de Brontë
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