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Raúl Zurita (1950) a publié une abondante oeuvre poétique et littéraire entre 1979 et 2017. À cette oeuvre s'ajoute l'écriture de «La vida nueva» en lettres de fumée en juin 1982 dans le ciel de New York et celle du poème «Ni pena ni miedo» dans le désert d'Atacama en 1993. En décembre 2016, lors de la biennale de Cochin-Muziris (Inde), il réalise l'installation «Sea of pain» faite à partir d'immenses panneaux, et il prévoit d'écrire le poème «Verás» au moyen de lumières sur les falaises de la côte nord du Chili.
Les vingt articles contenus dans cet ouvrage tournent autour des axes des frontières, limites et échanges dans l'oeuvre de Raúl Zurita à travers une pluralité de points de vue et d'approches. Ils proposent ainsi une réflexion sur les frontières linguistiques et génériques, le traitement singulier des frontières spatiales, et la création d'une géographie déformée et étonnante, reproduction externe des passions humaines. Ils s'intéressent aussi aux dialogues littéraires et intertextuels ainsi qu'aux liens existants entre une tradition poétique et la création zuritienne, tout comme à la présence d'une histoire intime et/ou collective dans la poésie de l'auteur chilien. Cet ouvrage souhaite contribuer à la diffusion de l'oeuvre de Zurita et confirmer, à travers les différentes études qui y figurent, la richesse de son écriture qui n'a pas encore livré tous ses secrets.
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