"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'été 1978 est torride et Sarti Antonio est chargé de surveiller une exposition de numismatique au centre de Bologne. Il a fait garder les issues en oubliant qu'un vieil aqueduc arrive dans la cour du bâtiment et les trois plus belles pièces ont été volées. Notre policier est puni et affecté aux rondes de nuit dans le quartier du Pilastro. Pour lui l'enfer, le quartier des émigrés récents de la petite délinquance et de l'impuissance de la loi, là il va rencontrer le petit Claudio, futé, vif, élevé par une mère qui plaît beaucoup à notre enquêteur.
Le cadavre de Claudio est découvert peu après. Sarti Antonio va s'obstiner à trouver la vérité sous toutes les apparences et, avec son ami le philosophe Rosas, il va fouiller derrière le paravent des bonnes consciences.
Dans un style inimitable, L. Macchiavelli suit son personnage, le tarabuste, le malmène, le plaint, l'accompagne, l'aime parce qu'il est imparfait et boit autant de café que lui.
Un bon polar, cruel et tendre, sur une ville disparue.
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