80 ans après, il est toujours essentiel de faire comprendre cet événement aux plus jeunes
Alors que les livres de scientifiques consacrés à la crise écologique foisonnent, rares sont les philosophes français qui osent affronter le sujet. Et pourtant, notre conduite vis-à-vis de la nature soulève d'authentiques questions philosophiques : les êtres naturels (les animaux, les plantes, l'eau...) ont-ils des droits ? Et si oui, ces droits renvoient-ils à des espèces ou à des individus ? Pour répondre à ces questions, Stéphane Ferret puise dans la tradition philosophique occidentale, opposant les discours anthropocentrés (le christianisme, le cartésianisme, l'humanisme) à ceux qui soit ne valorisent aucun centre soit en valorisent plusieurs (le spinozisme, le darwinisme). Nourris que nous sommes de ces traditions, quelles sont les armes dont nous disposons pour penser les droits de la nature ? Tout en soulignant les apports récents de la philosophie anglo-saxonne à ce débat, Stéphane Ferret livre une argumentation d'une remarquable clarté.
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