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San Francisco, fin des années 1970.
Mary Ann Singleton débarque dans la baie après avoir coupé le cordon ombilical et quitté son Ohio natal. Elle trouve refuge dans une pension familiale au 28 Barbary Lane. La propriétaire, Madame Madrigal est, disons, pittoresque mais materne ses locataires avec une inépuisable gentillesse. Et ils en ont tous bien besoin, car « s'il ne pleut jamais en Californie, les larmes en revanche peuvent y couler à flots ». Mary Ann va devoir s'adapter à cette nouvelle vie, Mona vient de perdre son emploi, Michael cherche l'homme de sa vie...
Une très bonne adaptation du 1er tome des chroniques de San Francisco d'Armistead Maupin, assez fidèle au roman.
Les dessins, de bonne qualité, permettent de mettre des visages aux personnages du roman et ne réservent pas de grosse surprise par rapport à ce que le lecteur a pu imaginer (en cas de lecture des romans). Les 123 pages de ce roman graphique ne sont pas de trop pour rester fidèle aux intrigues de ce premier tome 1, avec beaucoup de personnages que l'on apprend à connaître et qui se croisent dans une narration dynamique.
J'ai pris beaucoup de plaisir à retrouver le 28 Barbary Lane géré par Anna Madrigal avec ses locataires, Mary Ann, Michaël, Brian, Mona mais aussi tous les autres personnages comme Beauchamp et Dede Day, Edgar Halcion, D'Orothea Wilson ou encore Jon Fielding, sans oublier le chat Boris.
Le roman graphique peut se lire sans avoir lu les romans et c'est aussi une autre manière de découvrir cette oeuvre majeure d'Armistead Maupin.
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