"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Lina est une jeune Lituanienne comme tant d'autres. Très douée pour le dessin, elle va intégrer une école d'art. Mais un nuit de juin 1941, des gardes soviétiques l'arrachent à son foyer. Elle est déportée en Sibérie avec sa mère et son petit frère, Jonas, au terme d'un terrible voyage. Dans ce désert gelé, il faut lutter pour survivre dans les conditions les plus cruelles qui soient. Mais Lina tient bon, portée par l'amour des siens et son audace d'adolescente. Dans le camp, Andrius, 17 ans, affiche la même combativité qu'elle.
Mis à part les écrits d'Alexandre Soljenitsyne, la littérature évoque peu les camps Russes et encore moins les déportations des Lituaniens en Sibérie.
C'est cette histoire qui nous est contée par Lina, 16 ans, quand elle arrêtée avec sa mère et son petit frère.
On va la suivre de train en train, de camp en camp dans des conditions effroyables.
Son récit alterne avec ses souvenirs où elle tente de comprendre ce qu'il se passe ; il n'y a rien à comprendre.
Les personnages avec leur caractère, leurs forces, leurs faiblesses, leurs trahisons ou au contraire leurs loyautés permettent d'incarner ce pan de l'histoire.
Malgré le sujet difficile, cela se lit très facilement et rapidement.
On a les larmes aux yeux souvent et on sourit rarement.
Même si les personnages sont pure fiction, les événements rapportés sont réels. Que dire ? c'est horrifiant.
Il faut lire et relire ce type de récits pour croire et se rappeler ce que des êtres humains ont pu infliger à d'autres être humains.
J'avais pris une véritable claque avec le roman "Le sel de nos larmes" de la même autrice, et j'étais donc très curieuse de découvrir un autre bouquin de celle-ci, sur un sujet non moins important de l'Histoire.
Celui-ci met en lumière la déportation qu'ont vécu près de vingt millions de personnes des pays baltes durant la Seconde Guerre Mondiale. On a parfois tendance à oublier (moi y compris), que cette guerre, ce n'était pas que les nazis qui ont commis des meurtres en masse. On le voit bien ici avec le cas de ce qu'a fait le NKVD à cette période sous le régime de Staline.
Ainsi, l'autrice, après un travail de recherches, nous livre cette partie de l'Histoire avec des personnages fictifs. Par ce biais, elle permet de nous relater ce qu'ont vécu ces personnes, l'horreur et l'humiliation qu'elles ont subi parce qu'elles vivaient là où Staline voulait s'imposer, tout simplement. Ce roman, comme le dit Ruta Sepetys, c'est redonner une voix à ces personnes, des années après ces événements, pour ne pas oublier leur histoire.
Ce sont des passages durs auxquels nous faisons face. La peur, la faim, la soif, le cruel manque d'hygiène, entre autres, et ce sans compter la violence et les humiliations que les soldats infligent aux déportés. Les morts défilent et c'est en pleine face, en quelques phrases que l'on se prend l'horreur, qu'on se rend compte de l'atrocité dont l'homme est capable. La fin est encore plus violente, en découvrant les conditions de vie, les privations dans lesquels survivaient comme le pouvaient les déportés, entourés chaque jour de plus de cadavres.
Cette histoire, nous la suivons grâce à Lina. Je ne me suis pas attachée à elle autant que les protagonistes de "Le sel de nos larmes" de la même autrice, ce qui fait que je n'ai pas eu la même intensité d'émotion. Néanmoins, elle permet de raconter cette histoire, à laquelle je n'avais juste qu'ici jamais prêté attention.
On voit aussi qu'il y a, en elle et plusieurs personnes autour d'elle, l'envie de vivre, mais aussi l'espoir. Que malgré tout ce qu'ils endurent, la douleur et la perte, comme dit le titre, qu'ils n'ont pas pu tout leur prendre. (Attention, je ne diminue pas les actions commises contre ces personnes et ce qu'elles ont vécu, c'est un ressenti que j'ai eu avec une partie des personnages et qui me semble en accord avec les propos d'une des notes de fin l'autrice).
En conclusion, un roman percutant. J'ai une préférence pour "Le sel de nos larmes" de la même autrice car ayant eu un peu fort attachement aux personnages de ce dernier, mais cela reste un roman qui raconte une histoire importante. Ruta Sepetys donne une nouvelle fois la parole aux survivants et aux gens perdus de tragédies plus méconnues, et c'est un grand merci que je lui adresse, pour me permettre de découvrir ces histoires, mais surtout, pour eux.
Note de 4,5/5 sur le blog
Ce qu'il n'ont pas pu nous prendre de Ruta Sepetys, est selon moi un livre à lire absolument (je pèse mes mots!!).
L'école nous apprend beaucoup sur la période de la Seconde Guerre Mondiale, mais elle ne peut pas tout dire. Ce livre est, en plus d'une oeuvre de fiction superbe, une oeuvre historique à connaitre.
On y voit le sort des Lituaniens déportés (ainsi que d'autres populations Baltes), une face de l'Histoire que je ne connaissais pas.
Le récit de Lina est tragique, terrible, cruel et pourtant l'auteur parvient à y apporter de la chaleur, du réconfort, de l'amour et de l'espoir. Le voyage de Lina et sa famille est long, périlleux, terrible, mortel.
L'auteure est parvenue avec justesse à mêler fiction et histoire, nous permettant de découvrir de nombreux témoignages à travers des personnages de fiction attachants et justes.
A lire de toute urgence !
Magnifique roman, un coup de cœur.
Je ne connaissais pas le triste sort des pays baltes lors de la seconde guère mondiale. J'ai découvert leur déportation en Sibérie.
Les personnages sont fictifs (sauf un) mais les événements sont réels malheureusement.
Malgré toute l'horreur, je retiens l'humanité, la solidarité, le partage, l'entraide et l'amitié.
Je suis maintenant curieuse d'en apprendre davantage sur la Lituanie et de la découvrir. Depuis ma lecture, j'ai parcouru quelques témoignages de rescapés lituaniens.
C'est une lecture de mémoire à conseiller
Une nuit de juin 1941, Lina Vilkas, une jeune
Lituanienne de quinze ans, est arrêtée par la police secrète du régime
stalinien. Avec sa mère et son petit frère, Jonas, ils sont déportés en
Sibérie, Là, logés dans des huttes, sous-alimentés, brutalisés et harcelés par
les Soviets, Lina et les siens tiennent bon. Soutenue par une mère exemplaire
et par sa volonté de témoigner de cet enfer blanc à travers ses dessins et
écrits, elle tente de survivre au froid, à la maladie, à l'humiliation, et au
travail éreintant de la terre. Dans le camp, Andrius, un jeune déporté de
dix-sept ans, affiche la même combativité qu'elle.
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Juin 1941. Lina Vilkas est une Lituanienne de quinze
ans. Vivant paisiblement avec ses parents et son frère, elle ne se doute pas
que sa vie va basculer.
Des agents de NKVD viennent les arrêter. Ils font un long voyage dans des
wagons de train sans aucun confort ni lieu de repos. Ils sont traités tels des
animaux, eux et beaucoup d'autres personnes, avec pour seule nourriture une
infâme bouillie, sans lieu ou se nettoyer, et les toilettes ne se résument qu'a
un trou commun.
Réduits à plus bas qu'un troupeau, elle, sa seule famille restante et ses
compagnons eux aussi traités comme criminels, seront ensuite déportés dans un camp
d'infortune, où chaque jour est plus difficile que le précédent. Ou chaque
jour, le moral baisse. Où chaque jour, quelques uns des leurs abandonnent.
Menés par une mère exemplaire et dévoué à sa liberté et aux autres, Lina va
devoir apprendre à survivre. Ses dessins lui redonneront le courage, face aux
humiliations, aux brutalités et aux harcèlements incessant des gardes du NKVD.
Mais en sortira-t-elle indemne, elle, sa famille et ses amis, comme Andrius qui
luttent pour leur survie ? Une chose est sure. Jamais le NKVD ne pourra
prendre leur amour, ni leur foie. Encore moins leur espoir et leur courage...
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On parle souvent d'Anne Frank, de son combat. On parle aussi
beaucoup des déportés Français, Allemand. Certes leur histoire est terrible.
Mais pourquoi parle-t-on moins des déportés Lituaniens, Lettons et
Estoniens ?
Enfin, ce livre nous ouvre des portes. Des portes terribles, monstrueuse
certes, mais quelques unes de ces portes qui nous font comprendre que nous
sommes privilégiés. Qui nous font admettre que notre sort n'est pas si terrible
après tout. Comment osons-nous nous plaindre de ce que nous avons, alors que de
telles horreurs ont eu lieu, il n'y a pas si longtemps ?
Ce récit est un récit de vie. Ou de non-vie. Un récit poignant, un témoignage
de ce qu'on pu vivre des personnes au courage immense.
On leur a tout enlevé : famille, maison, ami. Une vie aussi. On leur a
volé leur vie, leur adolescence, pour Lina et Jonas.
Mais malgré tout, ils continuent à croire en eux, en leur avenir qui ne peut
qu'être meilleur.
Le style de l'auteur est vraiment impressionnant. Elle nous
rapporte avec réalisme et dureté le périple de Lina. Elle nous fait comprendre
les horreurs des déportements, à travers une voix accessible : celle de
Lina, a qui on peut s'identifier.
Grâce à son style d'écriture poétique et riche, elle nous fait ressentir et
comprendre de telles horreurs. Elle parvient à nous faire réaliser avec profondeur
et gravité (néanmoins avec une touche d'espoir) les actes de Staline et de son
gouvernement. Une telle critique de cette époque est vraiment révolutionnaire
et le fait qu'elle dissimule ici et là le passé de Lina, à travers des
souvenirs, nous révolte. Comment ont-ils pu leur prendre tout ce qu'ils
possédaient. C'est un mystère. Un mystère révoltant, de ce pouvoir tyrannique
qui fut accepté par tous ceux qui ne bâtèrent pas. Qui restèrent bras croisés,
confortablement installés dans leurs couvertures pendant que des millions de
personnes souffraient. Mouraient. L'auteur aborde ce thème, il faut l'avouer
très dur, avec simplicité. Ce qui est vraiment très difficile et je ne doute
pas qu'elle fasse parler d'elle avec ses romans, que j'espère nombreux... Ce
roman est une réussite. C'est le premier de l'auteure, Ruta Sepetys. On
comprend son implication à travers son style marquant : elle avait des
ancêtres qui furent déportés. Elle s'est beaucoup impliquée dans ce livre, et
on le sent. C'est aussi cela qui fait que Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre
est marquant. C'est cela qui fait qu'il n'est pas ordinaire comme livre :
l'implication. On voit que cela tient à cœur à l'auteure. On voit, on lit bien
que c'est important pour elle, comme pour se libérer. Et cela se reflète bien
dans son style : simplicité, fureur et faits historiques s'y mêlent. On
voit bien qu'elle n'a pas écrit à la légère : elle a du faire de
nombreuses recherches, sinon, son livre n'aurait pas eu cette part de vérité
puissante.
L'histoire elle est bien ficelée. On comprend qu'il y a un
début, troublant, puis une seconde phase de déportations, et une fin
douloureuse.
L'intrigue est simple, mais dans le fond complexe. Je m'explique.
L'histoire parle de moments difficiles : une arrestation, puis une déportation, un arrachement à ses
racines les plus profondes. Mais l'auteur sait écrire cela de façon simpliste
mais poétique. De façon touchante mais pas trop effondrée. Un juste milieu des
mots en quelques sortes.
Les personnages sont tous attachant, même si au début on a du mal avec les
noms, on s'y habitue.
Lina est ce qu'on appelle une battante. Elle tente tout, ne se laisse (presque)
jamais abattre, une vraie force de la nature, du haut de ses 16 ans. Elle nous inspire confiance, et est
facilement identifiable à nous même ou quelqu'un de notre entourage, ce qui
fait aussi le charme du livre : la simplicité des sentiments. Comme des
diamants bruts.
Lina est tout sauf une trouillarde. On s'attache beaucoup à elle, et à son
frère. Andrius fait aussi parti de mes personnages préférés.
Lina est bien décrite. L'auteur prend son temps avec elle.
Elle ne se brusque pas, ne donne pas trop d'informations d'un coup. C'est
vraiment très appréciable, car comme ça Lina est plus attachante. L'auteure
dissimule par ci et par là des petites touches colorés sur Lina, sa vie d'avant
et celle maintenant.
Son moral, ses sentiments ne sont pas en excès, ni trop peu affirmés, ni
présents. L'auteur a su trouver un juste
milieu, et c'est ce juste milieu qui différencie ce qu'ils n'ont pas pu nous
prendre des autres livres. Cet équilibre, cet harmonie des liens, des
personnages, de 'l'intrigue.
On en sait assez sur tout le monde (Jonas, sa mère, Andrius....) pour parvenir à
les comprendre, à les aimer.
Andrius est un de mes personnages préféré. Comment ne pas
s'attacher à lui, distant mais présent. Détaché. On croirait qu'il se fiche un
peu de tous et de tout le monde, mais c'est sa carapace. Et on apprécie cela.
Peut être est ce parce que je m'identifié un peu à lui, dans un contexte
totalement différent.
Ce livre est une véritable leçon. Une leçon de vie, de
moral, d'envie, d'amitié et d'amour aussi.
On apprend à connaître les « méchants » comme Nikolai Kretzky.
On nous apprend à ne pas détester, sans comprendre. A ne pas devenir enragé,
mais aimant. On nous apprend à ne pas laisser tomber, a toujours avoir du
courage en soi. On nous apprend a avoir la foi, tout simplement.
On nous apprend aussi des faits historiques. On prend
conscience que Staline est un salaud. Je ne peux trouver d'autres mots, moins....
Vulgaires. Ces actes sont tout sauf acceptables. Il a détruit des vies, au même
titre qu'Hitler. Pourquoi serait-il différents ? Il a commis les mêmes
actes qu'Hitler, mais dans son pays. Alors pourquoi ne pas dire de lui qu'il
est aussi un tyran ? Certaines scènes sont « dures ». Quand on
« voit » se faire fusiller des personnes que l'on commence à
connaitre, c'est un peu refroidissant.
En conclusion, c'est un livre terrible. Parlant de choses
terribles, avec légèreté. Une légèreté monstrueuse.
C'est un livre, comme un nouveau vent de liberté. Une nouvelle définition
d'enchainement, de répression.
Un livre formidable.
La couverture est elle aussi en parfaite harmonie avec le
livre. Parmi le froid, subsiste un espoir, une petite pousse, comme une idée
réprimée. Une Lina, dans le froid ambiant...
19.5/20
Existent-ils des mots assez forts pour décrire la beauté de ce livre? C'est un gigantesque coup de cœur pour ce roman. Une grande claque dans la figure, un cœur serré tout le long du livre et une FIN indescriptible.
J'ai tout adoré dans ce livre, les descriptions étaient parfaites et on se représente totalement l'horreur qu'on pu vivre les personnages. Plus d'une fois j'ai eu l'estomac retourné, le cœur brisé face à la terrible vie que tous ces gens ont pu vivre. Je remercie grandement l'auteur pour nous avoir écrit une histoire aussi prenante, troublante.
On oublie tellement vite l'horreur qu'on dû vivre les déportés, et j'espère qu'avec ce livre on se souviendra encore longtemps de toutes les horreurs qui ont pu être faites durant la guerre.
Lina est un personnage principal merveilleux, qui refuse de se laisser emporter par la peur, l'angoisse, la dépression et tous les maux qui peuvent envahir les personnes qui l'entourent. C'est un protagoniste haut en couleurs qui m'a épatée par sa vivacité et son envie de vivre. J'aimerai beaucoup avoir une once de sa force.
Le seul microscopique élément qui m'a un peu déçue est la fin: j'aurai voulu connaître un peu plus la suite. Voir Lina et son frère Jonas retrouver Andrius. Leurs retrouvailles, leur vie d'après.
Si vous hésitez à l'acheter, n'hésitez plus, c'est LE livre à lire dans sa vie.
Voilà ce que j'avais écrit à l'époque :
"Alors là, ça a été le coup de foudre pour ce livre. Le contexte historique, la personnage principale qui nous emmène vivre son aventure, les dessins, son aventure morbide et malheureuse, toute cette atmosphère m'a vraiment plu, et je conseille ce livre à tout le monde !!"
Il est vrai que c'est un des livres qui restent à ce jour dans mes favoris. C'était la première fois que je me plongeais dans une histoire un peu plus adulte, avec un fort contexte historique. D'ailleurs, après ce livre, j'avais essayé de lire Les enfants des justes de Christian Signol, mais j'avais eu un peu plus de mal à le lire. Ici, l'atmosphère décrite par Ruta Sepetys est à la fois tendre et angoissante. On se plonge dans l'univers froid et monstrueux de la seconde guerre mondiale à travers les yeux d'une enfant. Et cela donne un côté enfantin et pourtant très mature au texte.
J'ai beaucoup apprécié le côté descriptif, dans le sens où celui-ci est assez allusif, enfin d'après mes souvenirs. L'auteure nous laisse une certaine liberté pour imaginer les personnages, ou imaginer les fameux dessins de notre personnage principal. C'est un livre dans lequel l'émotif a une forte place et c'est aussi ce qui m'a plu. Je me souviens avoir vécu les aventures avec les personnages, avec pleuré et ri avec eux. Comme si j'étais là, parmi eux, invisible.
Mais ce n'est pas le seul livre de Ruta Sepetys que j'ai aimé. Son dernier livre, Big Easy, est aussi un roman sur base historique que j'ai apprécié. Comme dans Ce qu'ils n'ont pas pu nous prendre, le personnage principal a une forte personnalité, et c'est ce qui fait le charme du livre. Le scénario est simple, mais efficace, et cela permet d'être attaché au livre et de le lire vite.
Ruta Sepetys est une auteure que j'apprécie énormément, et je pense lire sous peu d'autres de ses livres.
C’est l’histoire d’une famille lituanienne sous le gouvernement de Staline qui est déportée et malmenée par le NKVD.
Un livre dans lequel malgré la force de l’écriture et de l’histoire, le texte n’est pas larmoyant. C’est un témoignage fort, qui entraine le lecteur : même mal à l’aise celui-ci ne peut pas s’arrêter.
Un livre à lire et à relire car il ne faut pas oublier. Ce livre est peut-être une fiction mais rien n’est épargné au lecteur et comment accepter de passer à côté de cela après ce que ces gens ont vécu…
1- Le titre et son implication : ce qu’ils n’ont pas pu nous prendre c’est l’espoir. L’espoir d’une vie meilleure mais c’est également l’amour, la solidarité et l’entraide : rien ne peut nous empêcher d’avancer.
2- On parle beaucoup des déportés Juifs mais je ne savais rien des Lituaniens et pour comprendre il faut savoir et c’est ce que ce livre fait : il vous apprend ce qui est arrivé à travers les yeux d’une enfant qui veut vivre.
3- Une écriture exceptionnelle qui nous fait ressentir les douleurs, les humiliations, les joies et les peines … Ames sensibles, préparez vos mouchoirs vous embarquez dans un monde d’émotions plus fortes les unes que les autres.
Bonne lecture !
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