Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique
Nicolas d'Estienne d'Orves pèse 68,88 kg sans noeud papillon et n'aime pas l'autofiction. Comme c'est un garçon paradoxal, il ne parle que de lui dans Bulletin Blanc ! À sa manière, allusive, insolente et drôle. Quand il raconte sa journée, il revoit, réentend sa vie. La voix de Fernandel dans la Volvo paternelle, les lettres d'une charmante hystérique au pensionnat, un hommage à Jean-Pierre Mocky, une séance de cinéma porno au milieu des clodos. Ce n'est pas sordide, c'est humain, trop humain. Parfois élégiaque, comme ces vues de Paris. Souvent éclairant, comme ces considérations sur l'art musical et littéraire. D'Estienne d'Orves a aussi un coeur, mais il faut s'approcher de lui, le lire entre les lignes, pour l'entendre battre. Voici l'autoportrait d'un mauvais garçon du siècle, atteint d' insensibilité créative , qui défend l'outrance, l'imagination et le devoir d'amnésie . Ce bréviaire fera grincer les dents cariées, d'autres l'ouvriront comme une boîte aux trésors pleine de secrets et de surprises.
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