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L'équipe Z a remporté une victoire euphorique au cours d'un deuxième match couperet contre l'équipe Y. Gonflflée à bloc, elle s'apprête à affronter sereinement l'équipe W pour son troisième match ! Malheureusement, tout ne va pas se passer aussi bien que prévu : l'équipe Z va devoir contenir les atttaques tonitruantes des frères Wanima tandis que Hyôma Chigiri est en peine de retrouver l'explosivité de son football...
L’aventure du Blue Lock continue avec ce tome 3 et Albin, mon petit-fils, m’a précisé qu’il y en aurait d’autres encore…
Alors, je plonge dans la suite de ce manga. J’apprécie tout de suite qu’au début, Muneyuki Kaneshiro pour le scénario et Yusuke Nomura pour le dessin, sûrement bien relayés par Lilian Lebrun pour la traduction et par Martin Berberian pour l’adaptation graphique, aient choisi de rappeler les protagonistes de l’équipe Z. C’est elle que je suis depuis le début et surtout Yoichi Isagi, le personnage principal du manga.
Mais attention, au cours de ce tome 3, d’autres individualités vont se faire remarquer en bien ou en mal comme Meguru Bachira, le meilleur compagnon d’Isagi. Je découvre aussi un peu mieux Yuôma Chigiri dont le passé footballistique est révélé sans oublier Rensuke Kunigami et un certain Wataru Kuon… Je n’en dis pas plus.
Si tout tourne autour du ballon, les tourments psychologiques des garçons sont bien mis en évidence. La coopération n’est pas la première valeur développée car Blue Lock pousse à un individualisme forcené.
Anri Teiri, la nouvelle venue de l’Union japonaise de football, et Inpachi Ego, le responsable du projet Blue Lock, mettent tout en œuvre pour parvenir au but recherché : trouver la perle rare qui permettra au Japon de remporter enfin la Coupe du monde.
Après bien des interrogations, la prise de conscience d’une préparation physique plus poussée, voilà le troisième match de l’équipe Z, contre W. Il ne faut absolument pas perdre mais le fait que le meilleur buteur d’une équipe éliminée soit quand même conservé au Blue Lock perturbe certains opportunistes sans scrupules.
Les images des matchs sont toujours aussi déstructurées. Je m’y perds un peu mais j’arrive au bout pour découvrir l’emploi du temps d’une journée-type au Blue Lock, de 7 h du matin à 0 h. Les auteurs ont eu la bonne idée de l’agrémenter de quelques anecdotes dessinées assez savoureuses.
La suite au numéro 4…
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