Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
«J'ai pris de la boue et j'en ai fait de l'or». Baudelaire est le premier poète du monde «moderne». Le nôtre. Un «vilain monde» qui «va finir» car il n'a plus rien à faire sous «le ciel». Un monde où le culte du progrès et la passion de l'argent ont «atrophié en nous la partie spirituelle», où la mécanique nous a tellement «américanisés» que rien parmi «les rêveries sanguinaires» des utopistes n'atteint les horreurs de la réalité positive. Un monde où la «beauté» n'a plus cours. À moins que l'artiste ne puisse l'extraire du Mal, la faire apparaître sous forme de «beauté interlope», tel un «soleil agonisant», brillant d'une «splendeur triste». Condamné pour Les Fleurs du Mal par la justice de son temps, vivant comme un paria, Baudelaire - comme le montre ici Robert Kopp - a fait de l'art son idéal, mais il ne croit plus au pouvoir rédempteur de la poésie. Le soleil noir de la modernité est aussi celui de la mélancolie.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !