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Le corps calciné d'une femme menottée, une balle dans la nuque, est retrouvé dans un parc de Madrid. Diego Martin, journaliste radio d'investigation, connait la victime, rencontrée vingt ans auparavant... En Argentine. Jeune reporter à l'époque, il avait couvert l'assassinat du frère de la victime : Alex Rodrigo, photographe pour un grand hebdomadaire, tué selon le même mode opératoire.
Un meurtre identique à des milliers de kilomètres de distance, à deux décennies d'écart. Il n'en faut pas plus au présentateur d'"Ondes confidentielles" pour se lancer dans une enquête qui le mènera à Buenos Aires, où il retrouvera une femme qu'il n'a jamais pu oublier...
Entre corruption politique, flics ripoux et groupes mafieux, ce voyage va faire ressurgir les fantômes du passé. Car parfois, ceux qu'on croyait morts reviennent hanter ceux qui sont restés.
L'auteur de l'acclamé Mala Vida, finaliste du Prix des lectrices de Elle, et de Guerilla Social Club, revient avec un nouveau polar aussi trépidant que furieusement engagé, à l'arrière-plan historique fascinant.
Diablement réussi. Paris Match Marc Fernandez s'avère un redoutable conteur. M, le magazine du Monde Comme on aime Almodovar, on aime Fernandez. Le Progrès
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Marc Fernandez continue sa série hispanique. Après « Mala Vida » qui se déroulait essentiellement en Espagne et « Guerilla Social Club » qui emportait le lecteur au Chili, le récit alterne dans « Bandidos » entre Madrid et Buenos Aires, avec toujours au centre de l'histoire le journaliste et animateur radio Diego Martin.
Le meurtre d'une jeune femme dont le corps a été retrouvé dans un Parc de la capitale espagnole ramène Diego vingt ans en arrière, puisqu'il s'agit de la sœur d'un photographe assassiné en Argentine, affaire que jeune reporter il avait suivie à l'époque.
C'est l'occasion pour lui de retrouver à Buenos Aires Isabel Ferrer, l'avocate rencontrée dans le premier opus quelques années avant et exilée depuis. Je recommande d'ailleurs de lire les romans dans l'ordre car, si les intrigues sont indépendantes, les personnages se sont créé au cours des deux précédentes histoires un relationnel très fort, formant avec Diego une véritable petite famille extrêmement soudée.
L'intrigue, qui trouve ses racines dans un passé que visiblement certaines personnes n'ont pas envie de voir remonter à la surface, est plutôt bien construite, avec une peinture bien sombre d'un pouvoir argentin noyauté par l'argent, et d'une police locale particulièrement corrompue. En revanche, Diego et ses amis trouvent une aide impressionnante auprès de la police madrilène et même des services secrets auxquels un membre de la petite famille a appartenu. Le récit est rythmé, dans un style sobre et efficace, jusqu'à un dénouement final qui me m'a personnellement pas réellement bluffé, car un peu trop convenu à mon goût. Je reste, comme dans « Guerilla Social Club », un peu sur ma faim avec ce roman qui assure l'essentiel, mais ne m'a pas procuré beaucoup d'émotions.
Ode à la liberté journalistique…
3ème roman de l’auteur, il s’agit encore d’une enquête, cette fois entre l’Argentine et l’Espagne, toujours menée par Diego MARTÍN et ses acolytes (Ana DURÁN, Lea GUZMÁN, Isabel FERRER…)
Cette enquête va ramener le personnage principal -Diego- 20 ans en arrière lors de sa première enquête, quand il faisait ses débuts comme journaliste. Elle va aussi le faire voyager de nouveau jusqu’à Buenos Aires et revoir son amie Isabel…
L’intrigue parait plus prenante que les autres, elle est aussi inspirée d’un fait réel mais, beaucoup plus modifié que les enquêtes précédentes (surtout en comparaison avec Mala Vida, son premier roman). Cependant, encore une fois, la fin tombe d’un coup comme pour les deux premiers tomes. Tout comme Diego, on se doute rapidement de qui est derrière tout ça, c’est assez flagrant. Par contre, tout comme lui, on est surprit par l’identité du complice, même si en y réfléchissant bien, on aurait pu s’en douter, l’auteur nous a laissé un indice, ils ont un point commun qui aurait dû nous mettre la puce à l’oreille…
Il s’agit de la fin de la trilogie, même si l’auteur n’exclut pas le retour de ses personnages fétiches (cf les remerciements à la fin du livre). Il ajoute aussi qu’il n’en a pas fini avec l’Amérique Latine et que son prochain roman nous emmènera au Mexique. Et bah si c’est le cas, disons que pour ma part, je n’en ai pas fini avec cet auteur.
La soeur d'un journaliste argentin est assassinée de la même manière que lui vingt ans après, jour pour jour. Une balle dans la tête, menottés et brûlés, lui à Buenos Aires, elle à Madrid.Lui pour une photo qu'il n'aurait jamais dû prendre, elle, on ne le sait pas encore mais la date nous laisse à penser qu'il y a un lien avec le meurtre de son frère. Il n'en faut pas moins à Diego journaliste espagnol et à son équipe, que nous avons déjà rencontré dans ''Mala vida'' et ''Guérilla Social Club'', pour se lancer dans l'enquête.
Définitivement conquise par cet auteur. Parti d'un fait réel, il nous fait voyager d'un continent à l'autre, à la recherche de la vérité.
Nouvelle enquête avec encore une fois, un fond d'histoire vraie.
Résumé : le 20 janvier 1997, un journaliste est tué à Buenos Aires pour avoir pris LA photo qu'il fallait pas. Mauvais moment, mauvais endroit. 20 ans plus tard, c'est la sœur qui est tuée à Madrid avec le même mode opératoire. S'en suit une enquête entre l'Espagne et l'Argentine, sur un fond de corruption politique.
Avis perso : C'est un petit polar bien mené, malgré des éléments sans trop de surprise (même si le dernier rebondissement je l'ai senti venir, je ne pensais pas qu'il arriverait). Le contexte historique est présent sans trop l'être, ce qui pour moi est à la fois un avantage et un inconvénient. Bref, j'ai bien aimé l'histoire et cela me donne envie de lire les autres romans de Marc Fernandez.
Alors qu’à Paris le corps d’une femme est retrouvé calciné et exécuté d’étrange façon, un rapprochement est fait entre la victime et l’assassinat en Amérique du sud 20 ans auparavant d’Alex Rodrigo, son frère. Alex, exécuté pour avoir pris la photo de trop, celle qu’il ne fallait pas montrer, ce qui prouve une fois de plus si c’était nécessaire que la vie d’un journaliste d’investigation ne vaut parfois pas bien cher sous certaines latitudes, tant hier qu’aujourd’hui d’ailleurs ! Rapidement il est évident qu’aucun hasard ni coup du sort n’est à chercher du côté de ces deux meurtres, mais bien au contraire il faut en étudier les similarités, les rapprocher, pour tenter de comprendre.
C’est ce que va s’empresser de faire notre journaliste animateur d’émission radiophonique, en allant sur place, même en sachant qu’il va y retrouver Isabel, celle qu’il évite depuis l’épilogue de Mala Vida. Alors que Diego vient d’arriver en Argentine, Rafael Roca, un de ses contacts qui connaissait également le frère assassiné, va être lui aussi violemment attaqué devant chez lui, puis disparaitre à son tour. C’était un ami de longue date d’Alex, avec cette disparition, le mystère s’épaissit et les ombres nauséabondes s’approchent, il se pourrait bien que la police en place, les autorités, et sans doute la mafia aient elles aussi des manières aux relents de dictature.
Diego, Isabel, Ana, et la police française tentent alors, malgré quelques bâtons dans les roues, de résoudre cette énigme… pour le plus grand bonheur du lecteur qui se laisse prendre au piège du récit. Toujours bien étayés, les intrigues et les romans de Marc Fernandez nous donnent l’impression d’en savoir plus – ici avec le thème abordé de la liberté d’expression par exemple – car il a les mots pour dire et sous couvert de romanesque, on sent la véracité, la connaissance, le travail derrière le roman et sa trompeuse légèreté. Il me semble que l’on souhaiterait même le voir approfondir un peu plus encore la réalité historique, tant ce qu’il évoque nous intéresse …
lire la chronique complète sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2018/12/14/bandidos-marc-fernandez/
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